Weezevent, Inside Secure, Webhelp voient leur performance récompensée par Deloitte

43 200 % de croissance du chiffre d'affaires sur cinq ans ! C'est ce qu'a réalisé Weezevent entre 2009 et 2013 ce qui place cette billetterie en mode Saas en tête du palmarès national Technology Fast 50 de Deloitte pour 2014.
Comme chaque année, le cabinet Deloitte vient de publier son classement Technology Fast 50 des entreprises technologiques, PME et ETI françaises ayant eu la plus forte croissance ces cinq dernières années. Au total, les 428 entreprises candidates représentent un chiffre d’affaires cumulé en 2013 de 11,1 milliards d’euros et plus de 35 000 emplois créés sur cinq ans.
En tête du classement, Weezevent est un logiciel de billetterie en Saas destiné aux organisateurs d’événements, pour ventre des billets, gérer des inscriptions et envoyer des invitations. L’outil permet aussi de suivre les ventes selon les canaux de distribution et propose un système de contrôle d’accès avec listing et scan des billets. Créée en 2008, la startup dijonnaise affiche une croissance de 43 200 % sur cinq ans et a écoulé plusieurs millions de billets via sa solution essentiellement en Europe et au Canada.
Le Prix Fast 5 est décerné aux cinq premières entreprises du palmarès dont le chiffre d’affaires en 2009 était supérieur à 10 millions d’euros. Il a récompensé cette année, deux sociétés du numérique : Inside Secure spécialisée dans les solutions de sécurité embarquées pour les appareils mobiles et connectés, et l’agence digitale Netbooster.
Enfin, le prix ETI récompense les entreprises dont le chiffre d’affaire 2009 était supérieur à 50 millions d’euros. Il a notamment été attribué à la société de service Akka Technologies et à Webhelp, spécialisée dans le service clientss et le support technique. Webhelp affiche un chiffre d’affaires de 490 millions d’euros, multiplié par 3 en cinq ans.
L’année dernière, Ymagis était arrivée première du classement avec un taux de croissance sur cinq ans de 59 096 % et un chiffre d’affaires de 39,696 millions d’euros en 2012. Et l’année d’avant, Criteo était monté sur le podium tout juste un an avant son entrée en bourse au Nasdaq américain.


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