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Wall Street: la hausse devrait reprendre.

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(CercleFinance.com) - Wall Street devrait reprendre sa hausse jeudi en ouverture, après avoir fini sur une note relativement mitigée hier dans un climat terne après les annonces de la Fed. A une trentaine de minutes de l'ouverture, les contrats fu

(CercleFinance.com) - Wall Street devrait reprendre sa hausse jeudi en ouverture, après avoir fini sur une note relativement mitigée hier dans un climat terne après les annonces de la Fed.

A une trentaine de minutes de l'ouverture, les contrats futurs sur indices affichent des gains autour de 0,7%.

Le Dow Jones a fini par reculer de 0,1% mercredi après avoir atteint un nouveau record absolu (15.634,3 points), alors que le Nasdaq pulvérisait son record annuel à 3.649,3 points avant de terminer sur un modeste gain de 0,3%.

La publication du communiqué final de la Réserve fédérale n'a entraîné que peu de réaction, les professionnels jugeant que l'analyse de la Fed n'apporte que peu de changement.

'Le fait que la Fed ait évoqué l'évolution future de ses taux directeurs laisse quand même penser qu'elle se prépare à sortir progressivement de son programme d'assouplissement quantitatif', souligne un observateur.

'L'annonce d'un retrait des mesures de rachats d'actifs lors de la réunion de septembre, qui sera suivie d'une conférence, demeure donc d'actualité', poursuit-il.

En Europe, la BCE a décidé de ne pas modifier ses taux directeurs à l'issue de la réunion de son conseil des gouverneurs qui s'est tenue ce jour, une décision sans surprise pour les marchés.

Des indicateurs économiques favorables - avec notamment un indice PMI indiquant un retour de la croissance dans l'industrie- soutiennent également la tendance.

Du côté des valeurs, Procter & Gamble affiche un BPA ajusté un peu meilleur que prévu sur son quatrième trimestre comptable, lui permettant ainsi de dépasser légèrement sa fourchette cible annuelle.

ExxonMobil a dévoilé des bénéfices bien inférieurs aux attentes du consensus pour le deuxième trimestre 2013, pénalisés par des cessions et des taxes.

J.C. Penney a démenti pour sa part des informations de presse selon lesquelles CIT, le géant américain du crédit aux PME, avait décidé d'arrêter de financer les fournisseurs de la chaîne américaine de grands magasins.

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