Renault/Nissan: l'Etat ne cherche pas à déstabiliser l'alliance, assure Macron
Emmanuel Macron a démenti mardi que l'Etat cherche à déstabiliser l'alliance Renault-Nissan, dont il est actionnaire, en réponse à des inquiétudes exprimées la veille par le constructeur japonais.
"Rappeler les faits, la réalité de ce qu'est l'alliance, de son texte constitutif (...), rappeler que l'Etat avait 40% à ce moment-là, et qu'aujourd'hui nous avons 15%, c'est montrer qu'il n'y a pas de déstabilisation de l'alliance de notre part", a affirmé le ministre de l'Economie, au cours d'une intervention aux Assises de l'industrie.