Ségolène Royal:"j'ai ma liberté de parole"
Ségolène Royal défend son rôle. Ce mardi 14 octobre, la ministre de l'Ecologie a émis l'idée de rendre gratuites les autoroutes pendant le week-end. Une hypothèse qui a été vite balayée par Manuel Valls. "Je crois que c'est une éventualité qu'il ne faut pas envisager", a ainsi déclaré à la mi-journée par le Premier ministre.
Lors d'une conférence de presse quelques heures plus tard, la ministre de l'Ecologie a affirmé avoir "le droit en tant que ministre chargée des Transports de mettre des idées sur la table". "J'ai mis des idées sur la table, j'ai ma liberté de parole", a-t-elle insisté.
"A partir du moment où il y a du bon sens et que les choses sont dites, nous faisons bouger les choses", a-t-elle poursuivi.
"Si on ne peut plus rien dire, c'est un problème"
La ministre a ensuite remis une couche sur BFMTV, où elle était invitée: "si on ne peut plus rien dire parce qu'il ne faut rien bouger, c'est un problème".
"J'ai parlé avant que le Premier ministre parle, j'ai la liberté de faire des propositions et c'est tout, cela n'a que cette valeur là", a-t-elle répété.
Quant au débat sur les sociétés d'autoroute, dont elle a encore fustigé les marges, ce mardi, Ségolène Royal a affirmé être certaine "que l'on va trouver des solutions intelligentes".
Cette dernière déclaration est, cette fois, plus en phase avec les propos du Premier ministre Manuel Valls qui recevait ce mardi les représentants des sociétés d'autoroutes.
Le chef du gouvernement avait déclaré à l'issue de cette réunion qu'il voulait "un partenariat gagnant-gagnant entre l'Etat et les sociétés concessionnaires d'autoroutes".
Quant au débat sur les sociétés d'autoroute, dont elle a encore fustigé les marges, ce mardi, Ségolène Royal a affirmé être certaine "que l'on va trouver des solutions intelligentes".
Cette dernière déclaration est, cette fois, plus en phase avec les propos du Premier ministre Manuel Valls qui recevait ce mardi les représentants des sociétés d'autoroutes.
Le chef du gouvernement avait déclaré à l'issue de cette réunion qu'il voulait "un partenariat gagnant-gagnant entre l'Etat et les sociétés concessionnaires d'autoroutes".