Johnny Depp contraint de vendre aux enchères son ranch du Kentucky

Endetté, l'acteur n'a d'autre choix que de se séparer du ranch américain de 17 hectares acheté en 1995 pour y loger sa mère. Et comme les acheteurs ne se précipitent pas, Johnny Depp s'est résigné à le mettre aux enchères.

Johnny Depp continue de liquider son patrimoine immobilier pour se renflouer. Endetté à hauteur de 40 millions de dollars (34 millions d'euros), selon la presse américaine, la star des "Pirates des Caraïbes" a cette fois décidé de se séparer d'un ranch acquis en 1995 pour y loger sa mère, décédée l'an passé. Et cette propriété de 17 hectares sera proposée aux enchères le 15 septembre prochain, croit savoir le Wall Street Journal. On ne connaît cependant ni le montant de la mise à prix, ni celui du prix de réserve, c'est-à-dire le montant en dessous duquel le bien ne sera pas vendu.

Johnny Depp a tenté de le vendre une première fois en décembre dernier au prix de 3,4 millions de dollars, et une seconde fois en mars à 2,9 millions, affirme l'agence immobilière Rector Hayden en charge de la transaction.

Grand propriétaire terrien

Le professionnel indique avoir reçu trois offres au total, sans qu'aucune ne puisse aboutir à une vente. Évalué à 2,3 millions de dollars, le haras est notamment composé d'une maison en briques de 560 mètres carrés comprenant sept chambres et six salles de bain, d'une dépendance pour les invités, de trois granges d'une piscine extérieure.

Johnny Depp est un important propriétaire terrien. Comme le rappelle Paris Match, la star possède plusieurs maisons dans le quartier très prisé de Hollywood Hills, un atoll aux Bahamas ou encore un hameau du XIXe siècle dans le sud de la France dont il souhaite également se séparer. Mais l'acteur en demanderait désormais 50 millions d'euros. Pas sûr en revanche qu'il trouve preneur à ce prix.

Cette propriété de 17 hectares est située à Lexington. © Rector Hayden

- © Le domaine comprend une maison en briques de 600 m².

La demeure comprend notamment une piscine extérieure. © -

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Julien Mouret