Conseil général de la Manche, participant dans la catégorie Architecture : Intrinsec, intégrateur, Nanterre (92)
Le Conseil général de la Manche voulait une meilleure utilisation de ses ressources serveurs. Il confie l'opération à son partenaire sécurité, Intrinsec, filiale de Neurones. Résultat, le nombre de serveurs passe de trente à quatre
grâce à la virtualisation.Sur quels critères avez-vous été retenus pour réaliser ce projet ?
Nous avons été choisis essentiellement sur notre expertise en sécurité et en audit. Nous avons été associés au Conseil général de la Manche en août 2004 à un projet d'assistance relative à la problématique de sécurité. C'est un vaste projet qui va de l'analyse du risque à l'intégration de produits de sécurité. Nous avons ensuite répondu à un appel d'offres qui couvrait toutes les démarches de sécurité, de la dématérialisation jusqu'aux coupe-feu.Avez-vous été consultés en amont ?
Oui. Le Conseil général de la Manche nous a demandé de valider la fiabilité de son projet de sécurisation. Nous avons réalisé une pré-étude qui les a satisfaits, puis nous avons lancé une maquette et peu de temps après, on est entré en production.Avez-vous rencontré des difficultés lors de la mise en ?"uvre ?
Comme souvent, dès qu'il y a une problématique de serveurs existants, cela devient plus complexe à cause de la migration. Sinon, cela s'est bien passé. Nous avions prévu l'utilisation d'un SAN pour une mise en ?"uvre pérenne du système d'information et pour éviter des failles sur VMware ESX Server.Y a-t-il eu des modifications entre le cahier des charges et la réalisation ?
Non, le dimensionnement initialement prévu était correct. Comme on travaillait depuis longtemps avec le Conseil général de la Manche, on maîtrisait bien leur environnement et leur problématique. Nous avons beaucoup travaillé sur la mutualisation des serveurs, afin de mieux répartir des machines peu sollicitées jusque-là et sur une meilleure utilisation des ressources, afin de réaliser des économies.Aujourd'hui préconiseriez-vous la même solution ?
Oui, c'est une très bonne référence qui a renforcé notre expertise technique, notamment pour tout ce qui est dimensionnement et utilisation des ressources, les problématiques de migration, lusage de SAN... Nous avons un projet de virtualisation comparable en cours.
Nous avons été choisis essentiellement sur notre expertise en sécurité et en audit. Nous avons été associés au Conseil général de la Manche en août 2004 à un projet d'assistance relative à la problématique de sécurité. C'est un vaste projet qui va de l'analyse du risque à l'intégration de produits de sécurité. Nous avons ensuite répondu à un appel d'offres qui couvrait toutes les démarches de sécurité, de la dématérialisation jusqu'aux coupe-feu.Avez-vous été consultés en amont ?
Oui. Le Conseil général de la Manche nous a demandé de valider la fiabilité de son projet de sécurisation. Nous avons réalisé une pré-étude qui les a satisfaits, puis nous avons lancé une maquette et peu de temps après, on est entré en production.Avez-vous rencontré des difficultés lors de la mise en ?"uvre ?
Comme souvent, dès qu'il y a une problématique de serveurs existants, cela devient plus complexe à cause de la migration. Sinon, cela s'est bien passé. Nous avions prévu l'utilisation d'un SAN pour une mise en ?"uvre pérenne du système d'information et pour éviter des failles sur VMware ESX Server.Y a-t-il eu des modifications entre le cahier des charges et la réalisation ?
Non, le dimensionnement initialement prévu était correct. Comme on travaillait depuis longtemps avec le Conseil général de la Manche, on maîtrisait bien leur environnement et leur problématique. Nous avons beaucoup travaillé sur la mutualisation des serveurs, afin de mieux répartir des machines peu sollicitées jusque-là et sur une meilleure utilisation des ressources, afin de réaliser des économies.Aujourd'hui préconiseriez-vous la même solution ?
Oui, c'est une très bonne référence qui a renforcé notre expertise technique, notamment pour tout ce qui est dimensionnement et utilisation des ressources, les problématiques de migration, lusage de SAN... Nous avons un projet de virtualisation comparable en cours.