Et aussi...
Mieux que Dallas. Même les scénaristes du feuilleton américain n'auraient pu imaginer de tels rebondissements dans la saga Microsoft. Dernier épisode en date : la Cour européenne confirme la condamnation du groupe à
497,2 millions d'euros. Une paille.Lourd de sens. Selon des études concordantes, 70 % des managers chargés de faire passer un entretien d'évaluation à leurs collaborateurs défaillants sont, finalement, plus stressés que leurs interlocuteurs. Mince
consolation : cette statistique ne concerne que les Etats-Unis. Ouf ! On a eu peur.Question : dans la crise des ' subprimes ', pourquoi les systèmes d'information des banques américaines, qui, pour la plupart, fonctionnent sous Sarbanes-Oxley, n'ont-ils pas alerté leurs
responsables sur les énormes risques d'insolvabilité encourus par les prêteurs ? Un beau sujet denquête pour un grand reporter spécialisé.pa.merlin@01informatique.presse.fr
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