Gemplus : ' Plutôt au Mexique que chez un concurrent '
Didier Lachaud, directeur mondial des ressources humaines chez Gemplus
L'homo mobilis de talent, la société Gemplus n'entend pas le laisser filer et compte bien prendre le temps de l'identifier au sein d'une université qu'elle a mise en place l'an passé :
" Nous préférons voir un bon informaticien chez Gemplus au Mexique que chez un concurrent ", souligne Didier Lachaud, directeur mondial des ressources humaines.
Des sessions courtes de formation au management ont lieu en France, aux Etats-Unis ou en Asie pour aider les cadres à prendre en main une filiale ou à exercer des fonctions de conseil à l'étranger.
Condition: une ancienneté de un an au minimum. " Sur la centaine de collaborateurs que nous avons à l'étranger, vingt-cinq sont patrons de filiale. Le développement à l'international de notre activité de conseil offre de nouvelles opportunités de mobilité. " Celles-ci n'excluent pas les passerelles fonctionnelles.
Des applications de serveurs à la signature électronique, en passant par l'informatique embarquée, les projets sont multiples et variés. Alors, partir, oui! Pour deux ou trois ans avec un billet de retour assuré pour le congé annuel de toute la famille, la prise en charge par l'employeur des frais de déménagement, des dépenses scolaires locales et des impôts sur le revenu en France. Tout cela à la charge de l'employeur. De quoi faire rêver... Mais gare au retour! " Nous continuons de réfléchir à la réintégration -pas toujours facile- des expatriés devenus autonomes et dont les prétentions en matière de salaire et de poste sont bien légitimes. "
" Nous préférons voir un bon informaticien chez Gemplus au Mexique que chez un concurrent ", souligne Didier Lachaud, directeur mondial des ressources humaines.
Des sessions courtes de formation au management ont lieu en France, aux Etats-Unis ou en Asie pour aider les cadres à prendre en main une filiale ou à exercer des fonctions de conseil à l'étranger.
Condition: une ancienneté de un an au minimum. " Sur la centaine de collaborateurs que nous avons à l'étranger, vingt-cinq sont patrons de filiale. Le développement à l'international de notre activité de conseil offre de nouvelles opportunités de mobilité. " Celles-ci n'excluent pas les passerelles fonctionnelles.
Des applications de serveurs à la signature électronique, en passant par l'informatique embarquée, les projets sont multiples et variés. Alors, partir, oui! Pour deux ou trois ans avec un billet de retour assuré pour le congé annuel de toute la famille, la prise en charge par l'employeur des frais de déménagement, des dépenses scolaires locales et des impôts sur le revenu en France. Tout cela à la charge de l'employeur. De quoi faire rêver... Mais gare au retour! " Nous continuons de réfléchir à la réintégration -pas toujours facile- des expatriés devenus autonomes et dont les prétentions en matière de salaire et de poste sont bien légitimes. "
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