' la 14e édition du Showcase a réuni 110 exposants et 3 500 visiteurs '
Christian Bittebierre, directeur général d'Ingram Micro France.
Quels ont été les temps forts du Showcase cette année ?
Christian Bittebierre : Le Showcase est pour nous l'événement le plus important de l'année. À chaque fois, il grandit un peu plus. Organisée les 17 et 18 octobre derniers, cette 14e édition a rassemblé plus de 110 exposants et 3 500 visiteurs. Le nombre d'exposants a augmenté de 7 à 8 % par rapport à 2005. L'espace d'exposition est passé de 3 800 m2 à près de 5 000 m2. Nous atteignons les standards habituels des salons professionnels. Pour démontrer notre capacité à assembler des solutions et donner des idées commerciales aux revendeurs, nous avons mis en scène, sur plus de 400 m2, une ville numérique. Elle est dans la suite logique des Showcase précédents, où nous avions montré la maison numérique et l'entreprise numérique. Nous avons aussi organisé, pour la première fois, une soirée avec l'élection par les revendeurs des meilleurs fournisseurs.Pourquoi mettre les fournisseurs sur un podium ?
C.B. : Au départ, nous pensions récompenser les meilleurs revendeurs. Mais leurs profils sont très différents et il est difficile d'être objectif. Nous avons donc retourné la situation. Les revendeurs élisent les meilleurs fournisseurs sur la base de quatre critères : la qualité des produits, le support et le SAV, la politique de distribution et l'innovation. Nous avons défini huit catégories : mobilité, affichage, impression, composants, réseaux, multimédia, accessoires et logiciels. Plus de 1 300 revendeurs ont participé au vote.Vous venez aussi de créer une division Services. Pourquoi ?
C.B. : L'objectif est de mettre à la disposition de nos clients un savoir-faire qu'ils ont du mal à trouver ailleurs. Cette nouvelle entité regroupe quatre axes de services qui visent à simplifier la vie des revendeurs : l'intégration et la configuration de matériels, du plus simple au plus complexe ; un centre de formation agréé qui propose, à la demande, des formations certifiantes et des ateliers pratiques ; une assistance téléphonique disponible sous deux formules : standard ou comme délégation du support technique de premier niveau. Et enfin des prestations d'installation pour des sites de 5 à 500 postes, dans le domaine des réseaux, des serveurs, du stockage et de la sécurité.Ne marchez-vous pas sur les plates-bandes des revendeurs ?
C.B. : C'est une appréhension que certains ont eue quand nous leur avons présenté cette offre. Mais c'est tout le contraire. Nous intervenons à la demande du revendeur et sous sa propre marque. Pour le client final, c'est transparent. Et pour le revendeur, c'est la possibilité de répondre à une demande, même s'il n'a pas les ressources adéquates. Un revendeur qui se trouve confronté à un problème ponctuel ne peut pas se permettre d'engager un ingénieur à temps plein. C'est pour ces cas-là que nous voulons apporter une solution.Quelles sont les ressources mises en place pour ces services ?
C.B. : Nous avons cinq personnes pour la formation et cinq pour l'assistance téléphonique. Nous pouvons aller jusqu'à trente personnes pour les services de configuration. Pour l'installation, nous nous appuyons sur un ingénieur et un commercial. Mais des recrutements sont prévus.La convergence informatique-électronique est-elle prometteuse ?
C.B. : C'est devenu une réalité et, pour nous, un CA en croissance constante. Dans ce domaine, nous remarquons d'ailleurs une forte percée des revendeurs en ligne. Le XXe siècle aura été l'avènement de la grande distribution, le XXIe siècle sera celui du commerce électronique !Allez-vous être présent à la prochaine édition d'IT Partners ?
C.B. : Comme l'année dernière, nous n'avons pas prévu d'y investir. Il n'y a aucun intérêt pour nous de participer à cet événement, concurrent du nôtre.
Christian Bittebierre : Le Showcase est pour nous l'événement le plus important de l'année. À chaque fois, il grandit un peu plus. Organisée les 17 et 18 octobre derniers, cette 14e édition a rassemblé plus de 110 exposants et 3 500 visiteurs. Le nombre d'exposants a augmenté de 7 à 8 % par rapport à 2005. L'espace d'exposition est passé de 3 800 m2 à près de 5 000 m2. Nous atteignons les standards habituels des salons professionnels. Pour démontrer notre capacité à assembler des solutions et donner des idées commerciales aux revendeurs, nous avons mis en scène, sur plus de 400 m2, une ville numérique. Elle est dans la suite logique des Showcase précédents, où nous avions montré la maison numérique et l'entreprise numérique. Nous avons aussi organisé, pour la première fois, une soirée avec l'élection par les revendeurs des meilleurs fournisseurs.Pourquoi mettre les fournisseurs sur un podium ?
C.B. : Au départ, nous pensions récompenser les meilleurs revendeurs. Mais leurs profils sont très différents et il est difficile d'être objectif. Nous avons donc retourné la situation. Les revendeurs élisent les meilleurs fournisseurs sur la base de quatre critères : la qualité des produits, le support et le SAV, la politique de distribution et l'innovation. Nous avons défini huit catégories : mobilité, affichage, impression, composants, réseaux, multimédia, accessoires et logiciels. Plus de 1 300 revendeurs ont participé au vote.Vous venez aussi de créer une division Services. Pourquoi ?
C.B. : L'objectif est de mettre à la disposition de nos clients un savoir-faire qu'ils ont du mal à trouver ailleurs. Cette nouvelle entité regroupe quatre axes de services qui visent à simplifier la vie des revendeurs : l'intégration et la configuration de matériels, du plus simple au plus complexe ; un centre de formation agréé qui propose, à la demande, des formations certifiantes et des ateliers pratiques ; une assistance téléphonique disponible sous deux formules : standard ou comme délégation du support technique de premier niveau. Et enfin des prestations d'installation pour des sites de 5 à 500 postes, dans le domaine des réseaux, des serveurs, du stockage et de la sécurité.Ne marchez-vous pas sur les plates-bandes des revendeurs ?
C.B. : C'est une appréhension que certains ont eue quand nous leur avons présenté cette offre. Mais c'est tout le contraire. Nous intervenons à la demande du revendeur et sous sa propre marque. Pour le client final, c'est transparent. Et pour le revendeur, c'est la possibilité de répondre à une demande, même s'il n'a pas les ressources adéquates. Un revendeur qui se trouve confronté à un problème ponctuel ne peut pas se permettre d'engager un ingénieur à temps plein. C'est pour ces cas-là que nous voulons apporter une solution.Quelles sont les ressources mises en place pour ces services ?
C.B. : Nous avons cinq personnes pour la formation et cinq pour l'assistance téléphonique. Nous pouvons aller jusqu'à trente personnes pour les services de configuration. Pour l'installation, nous nous appuyons sur un ingénieur et un commercial. Mais des recrutements sont prévus.La convergence informatique-électronique est-elle prometteuse ?
C.B. : C'est devenu une réalité et, pour nous, un CA en croissance constante. Dans ce domaine, nous remarquons d'ailleurs une forte percée des revendeurs en ligne. Le XXe siècle aura été l'avènement de la grande distribution, le XXIe siècle sera celui du commerce électronique !Allez-vous être présent à la prochaine édition d'IT Partners ?
C.B. : Comme l'année dernière, nous n'avons pas prévu d'y investir. Il n'y a aucun intérêt pour nous de participer à cet événement, concurrent du nôtre.