La centralisation bute sur la dernière marche
" Il faut centraliser l'administration des ressources qui participent à la sécurité, car, lors d'une attaque, plusieurs d'entre elles peuvent être concernées ", expose Raphaël Marchand, architecte
sécurité chez ABN-Amro. La banque a donc créé une cellule sécurité de dix-huit personnes, chargée de fédérer droits d'accès, pare-feu, détection d'intrusions, antivirus et contrôle d'intégrité. Côté droits d'accès, l'objectif était compromis par
l'hétérogénéité des applications. La difficulté a été contournée grâce à Control-SA, de BMC. L'outil concentre les droits et les propage vers les ressources, via des agents. " Contrairement aux offres de CA ou de Tivoli, il ne
nécessite pas de restructuration préalable ", explique Raphaël Marchand.
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