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Destiné aux grosses PME (de 500 à 2 000 employés), le PGI Sage X3 Entreprise, issu du rachat d'Adonix, évolue. Sa principale innovation concerne l'ajout du moteur décisionnel XI de Business Objects. Cette brique sert à effectuer du reporting de masse, à bâtir des requêtes ad hoc, et à gérer la performance via des tableaux de bord. Par ailleurs, Sage fournit en standard des indicateurs métier pour analyser la production, les prix de revient... L'éditeur britannique gomme ainsi un des griefs faits aux PGI : la difficulté d'exploitation des données qu'ils renferment. La base décisionnelle est rafraîchie en temps réel, ou par lots à un moment défini par l'administrateur.
Une connexion aux outils bureautiques
Sage s'ouvre également à de nouvelles interfaces clients. Le logiciel reste accessible en mode client-serveur ou web, mais certains traitements se pilotent depuis Outlook. ' Une demande d'achat reçue par courriel peut être validée en cliquant sur un lien, contenu dans le corps du courrier ', souligne Dominique Bopp, responsable produits au sein de la division moyennes et grandes entreprises de Sage. L'intégration avec les outils de Windows s'étend également à Word ou Excel. Il est ainsi possible d'enregistrer dans le PGI un fichier .doc ou .xl. Par exemple, un devis, dont la modification de l'un des champs entraînera une actualisation de la base de données. La synchronisation s'effectue via le composant ActiveX DSO Framer ou le protocole Webdav, selon que l'on fonctionne en client riche ou en mode web.Dernière nouveauté : la mise à jour de champs préalablement marqués de la base génère une alerte par courriel à la personne concernée.
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