L'Externalisation de l'impression
La nature des services d'infogérance d'impression évoluerait-elle ?
L'externalisation de l'impression ne concernait, il y a trois ou quatre ans, que l'impression de production. Elle était motivée par l'acquisition de technologies récentes. Depuis, cette externalisation a évolué vers les environnements bureautiques. Elle inclut un coût à la page et une gestion multimarque des systèmes d'impression. Elle s'étend, surtout, aux processus documentaires dans leur ensemble tels que la prise en charge complète d'un système de facturation ou le traitement des courriers entrants de l'entreprise.Y a-t-il eu choc des cultures, au sein de Xerox Global Services, à l'unification des équipes d'infogérance avec les consultants dédiés à l'intégration de solutions documentaires ?
Pas vraiment. Les deux types de population travaillaient déjà ensemble. La plupart des projets d'infogérance d'impression exigent de repenser les processus humains, logiciels et matériels. Faute de quoi la situation vire vite au cauchemar. Notre branche d'outsourcing a donc toujours été guidée par les services même si, aujourd'hui, cette tendance s'accentue. Cela n'avait aucun sens de garder dans des divisions séparées des compétences complémentaires.Que pèsent les services chez Xerox ?
Avec 3 milliards de dollars en 2004 (hors maintenance), les services affichent une hausse de 20 %. C'est notre plus forte croissance avec celle des machines couleur. Depuis un an et demi, nous recrutons chaque trimestre des centaines de consultants sur les problématiques d'intégration. Ils sont, aujourd'hui, un millier chez Xerox. Ces profils nexistaient pas, il y a trois ans. En revanche, ils sont 14 000 personnes sur la partie outsourcing, en croissance de 10 % sur les trois dernières années. En France, 600 travaillent ainsi en délégation chez les clients.
L'externalisation de l'impression ne concernait, il y a trois ou quatre ans, que l'impression de production. Elle était motivée par l'acquisition de technologies récentes. Depuis, cette externalisation a évolué vers les environnements bureautiques. Elle inclut un coût à la page et une gestion multimarque des systèmes d'impression. Elle s'étend, surtout, aux processus documentaires dans leur ensemble tels que la prise en charge complète d'un système de facturation ou le traitement des courriers entrants de l'entreprise.Y a-t-il eu choc des cultures, au sein de Xerox Global Services, à l'unification des équipes d'infogérance avec les consultants dédiés à l'intégration de solutions documentaires ?
Pas vraiment. Les deux types de population travaillaient déjà ensemble. La plupart des projets d'infogérance d'impression exigent de repenser les processus humains, logiciels et matériels. Faute de quoi la situation vire vite au cauchemar. Notre branche d'outsourcing a donc toujours été guidée par les services même si, aujourd'hui, cette tendance s'accentue. Cela n'avait aucun sens de garder dans des divisions séparées des compétences complémentaires.Que pèsent les services chez Xerox ?
Avec 3 milliards de dollars en 2004 (hors maintenance), les services affichent une hausse de 20 %. C'est notre plus forte croissance avec celle des machines couleur. Depuis un an et demi, nous recrutons chaque trimestre des centaines de consultants sur les problématiques d'intégration. Ils sont, aujourd'hui, un millier chez Xerox. Ces profils nexistaient pas, il y a trois ans. En revanche, ils sont 14 000 personnes sur la partie outsourcing, en croissance de 10 % sur les trois dernières années. En France, 600 travaillent ainsi en délégation chez les clients.
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