Microsoft compte, non content
Où l'on reparle de Microsoft. L'éditeur conteste, en effet, les astreintes journalières infligées par Bruxelles pour abus de position dominante. Trop chères, ces pénalités ? Que nenni ! Environ 280 millions d'euros par jour,
c'est une petite plaisanterie de bon aloi, qui ne prête pas à conséquence. Non, si Microsoft proteste, c'est pour le principe. Cette situation appelle deux réflexions de notre part. D'abord, certaines entreprises seront heureuses d'apprendre que
l'on peut sortir ?" non content, mais comptant tout de même ?" 280 millions d'euros par jour pour s'acquitter d'une obligation légale. Ensuite, il existe une incroyable ressemblance entre le feuilleton Microsoft et celui, tout aussi
américain, mais plus rigolo, de Desperate Housewives. Le point commun saute aux yeux : ce sont deux sagas dont on commence très sérieusement à se demander si on en verra la fin avant dêtre mort.pa.merlin@01informatique.presse.fr