On en parle dans les blogs
À qui profitera l'attribution des licences 4G ?
La synthèse. Alors que l'appel d'offres pour les licences de quatrième génération de téléphonie mobile est lancé ce mois-ci, se pose la question de savoir à qui profiteront les recettes. Ce sera à l'armée. Ces licences étaient, en effet, préalablement utilisées par les systèmes de défense Félin et Rubis. L'armée a d'ailleurs prévu deux milliards de ressources exceptionnelles sur trois ans, provenant du produit des enchères sur les fréquences hertziennes. “ Or, une analyse des prix de certaines cessions réalisées dans des pays voisins, notamment en Allemagne, permet d'envisager environ quatre milliards d'euros dans des conditions à peu près équivalentes. ” Une manne supplémentaire qui aiderait l'armée “ à éponger les hausses du prix de l'essence, les frais d'opérations extérieures sur plusieurs fronts, ainsi que le retard des cessions immobilières. ”Un billet du blog Société numérique et nouvelles technologies : (r)évolutionshttp://goo.gl/kMYxD
Montrez-nous les données ! Ce sont les nôtres après tout…
La synthèse. La récolte et la diffusion des informations personnelles par des entreprises commerciales soulèvent des problèmes de confidentialité. Aux Etats-Unis, les sénateurs John Kerry et John McCain ont proposé d'y répondre avec le Commercial Privacy Bill of Rights. Cette démarche fait toutefois l'impasse sur le droit d'accès à nos propres données. L'auteur propose que la société qui collecte électroniquement les informations associées à un utilisateur soit en mesure de les lui restituer sous un format facile à télécharger et à exporter. “ Vous prêtez vos données à une entreprise, et vous en voudriez une copie pour votre usage personnel. ” Le gouvernement britannique vient d'annoncer une initiative en ce sens, intitulée Mydata.Une analyse de Richard Thaler, économiste (traduit sur Framablog)http://goo.gl/lc6L6
SSII françaises : entre immigration ou offshore, le choix est clair
La synthèse. Ministre de l'Intérieur, Claude Guéant a récemment indiqué qu'il avait “ demandé que l'on réduise le nombre de personnes admises au titre de l'immigration du travail ”. Cela a suscité un vif émoi parmi les SSII. Pour l'auteur, cela n'a rien de choquant. L'essence même de l'immigration consiste à faire venir la main-d'œuvre étrangère dont le pays a besoin. L'offshore représente une alternative, mais elle rencontre des difficultés de mise en œuvre. “ Du point de vue d'une SSII, on ne peut pas se contenter de “ vendre du CV ”. L'offshore n'est pas soluble dans la régie, contrairement à l'immigration qui est, elle, parfaitement “ régie-compatible ”. ”Une humeur de Jean-François Renault, dirigeant d'Offshore Boostinghttp://goo.gl/W7I3o
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