On en parle dans les blogs
À quoi ressemble le commerce en ligne en 2011 ?
La synthèse. Aujourd'hui, plusieurs facteurs reconfigurent les réflexes et les habitudes d'achat en ligne. A commencer par les médias sociaux. Facebook est devenu une destination privilégiée pour promouvoir ou vendre des produits et des services. Avec des premiers retours mitigés. L'auteur croit davantage aux systèmes experts de recommandations fondés sur l'intérêt déclaré des utilisateurs de type Hunch ou Pandora. Par ailleurs, nous sommes, selon lui, au tout début du m-commerce. Les terminaux mobiles facilitent l'acte d'achat (micropaiement, réalité augmentée, code à barres 2D, etc.) et améliorent le suivi du client (infos livraison et points de retrait, SAV, conseils d'installation…). Enfin, Groupon, “ LE phénomène de l'année 2010 ”, a remis au goût du jour les achats groupés avec une dimension locale.Une analyse de Frédéric Cavazza, consultant indépendanthttp://goo.gl/70i3F
Les ressources humaines, co-leaders de la transformation numérique
La synthèse. Dans de nombreuses entreprises, la stratégie en matière de médias sociaux est portée par le marketing, la communication ou la fonction commerciale. Les principaux leviers de transformation se trouvent pourtant au cœur des ressources humaines. Les RH sont capables de percevoir les grandes tendances de la société et, notamment, les aspirations de la génération Y. Les ressources humaines définissent, par ailleurs, les besoins en termes de nouvelles compétences digitales, ainsi que les profils des candidats ad hoc. Et lorsqu'un poste est créé, à elles de gérer la carrière de ces nouveaux entrants, carrière “ pouvant être pour certains atypiques ”. Enfin, les RH font monter en compétences les salariés en poste à travers la formation et différents programmes d'apprentissage.Un billet de Nicolas Rolland, directeur de la prospective sociale de Danonehttp://goo.gl/odFEz
La Silicon Valley coince une nouvelle bulle
La synthèse. La Silicon Valley a retrouvé son niveau d'activité et de dynamisme antérieur à la crise financière. Et déjà une nouvelle bulle se dessine avec des valorisations élevées, des entrepreneurs qui dictent leurs conditions aux investisseurs, et un marché du recrutement tendu pour les bons développeurs. Et s'il y a peu d'introductions en Bourse, elles sont remplacées par l'émergence de marchés alternatifs permettant de rendre liquides les actions et stock-options des start up. Des fonds étrangers comme le Russe DST peuvent ainsi acheter les stock-options d'employés. L'auteur se veut néanmoins rassurant : pour l'instant, cette bulle ne touche que le monde du private equity, et son explosion éventuelle n'affectera pas toute l'économie, comme en 2000-2001.Un article d'Olivier Ezratty, conseil en stratégies de l'innovationhttp://goo.gl/v07aY
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