On en parle dans les blogs
La DSI face à la “ consumérisation ” de l'informatique
La synthèse. C'était bien dans les années 1990… Les Mac étaient cantonnés aux secteurs artistiques. Ailleurs, tout le monde était PC. Pendant vingt ans, le tandem DSI et direction des achats n'avait qu'à organiser des appels d'offres pour faire baisser les prix des constructeurs. Si ce parc homogène à base de Wintel a longtemps réduit la liberté de choix des utilisateurs, ils tiennent, depuis deux ans, leur revanche avec les smartphones et autres tablettes. On assiste à une “ consumérisation ” de l'informatique où chacun choisit son terminal. Avec l'aide de l'informatique grand public, les utilisateurs vont “ construire le système d'information dont ils ont besoin et ce sera une mauvaise nouvelle pour la gouvernance des entreprises. ”Un billet de Frédéric Charles, stratégie et gouvernance du SI Lyonnaise des eaux-Suez Environnementhttp://goo.gl/cA1yp
Intelligence économique : ne dédaignez pas les outils !
La synthèse. Comment expliquer l'utilisation encore très limitée des solutions informatiques dans la conduite des projets d'intelligence économique ? La profession traîne des pieds à utiliser cette large palette d'outils qui lui permettraient d'exploiter “ la masse phénoménale de traces informationnelles électroniques ”. L'auteur avance trois raisons pour expliquer cette attitude. Il y voit tout d'abord “ un sentiment mal placé de supériorité de l'homme vis-à-vis de la machine ”. Cette réticence peut aussi découler de déconvenues antérieures, “ quand par exemple l'utilisation d'un dispositif automatisé d'extraction sémantique de concepts n'a fait apparaître que des associations triviales. ” Enfin, cette méfiance reflète un désarroi face à des outils perçus comme complexes à appréhender et plus encore à manipuler.Une analyse d'Antoine Schoen, membre du Collège de l'Académie de l'intelligence économiquehttp://goo.gl/RJ4iW
Dark site ou la communication de crise à l'heure du web 2.0
La synthèse. Les rumeurs se répandent très vite sur internet. Pour contrecarrer un “ bad buzz ”, il est non seulement indispensable d'être en permanence à l'écoute du web et des réseaux sociaux mais aussi de préparer un dispositif de communication de crise. La réaction de l'entreprise doit être immédiate, l'opinion publique se forgeant dans les toutes premières heures. Le dark site ou “ site fantôme ” est un site ou un blog, créé pour répondre à ces situations sensibles. Préparé de longue date, il ne sera activé qu'en cas d'urgence. Son objectif ? Délivrer une information officielle mise à jour en temps réel. Il vise les journalistes, les partenaires de l'entreprise et, plus largement, les internautes.Un article de Philippe Gérard, consultant en communication, concepteur formateur des cessions communication on-line de Cegoshttp://goo.gl/iEpla
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