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Tous égaux devant le cloud computing
La synthèse. Universalité, égalité, compétitivité… Les solutions de cloud constituent un facteur clé d'égalisation des chances entre les entreprises. En mode Saas (Software as a Service), il n'existe qu'une seule version de l'application, la meilleure, la dernière : “ Une PME à Casablanca, une entreprise moyenne à Vienne ou une multinationale à San Francisco partagent exactement la même application ! Cette égalisation par le haut est une première dans le monde de l'informatique ; il n'y a plus de primes à la taille, au secteur d'activité, au pays où se trouve une entreprise. ” Egalité également dans les infrastructures, avec des conditions d'accès au cloud sensiblement proches d'une région à l'autre. Les réseaux sans fil (3G, LTE, WiFi) et les nouveaux terminaux (smartphones, tablettes, netbooks…) participant à cette démocratisation.Un billet de Louis Naugès, président de Révevolhttp://goo.gl/C79X7
La Silicon Valley estelle en danger ?
La synthèse. Installé à San Francisco, l'auteur réagit à un article du site The Next Web. La journaliste, qui a visité 200 start up de la Valley, en a trouvé (à peine) deux qui lui ont semblé susceptibles de changer le monde, les autres étant des clones de Twitter, Facebook, Google ou Groupon. Pourtant, d'autres pays (Israël, Inde) se “ siliconent ” à vitesse grand V. Un portable et une connexion WiFi étant suffisants pour créer une technologie perturbatrice. Mais “ Silicon Valley reste le meilleur endroit pour trouver vite des investisseurs disposant de grosses masses d'argent et des gens compétents qui aident à lancer une start up ”. Un cocktail unique.Une analyse de Francis Pisani, journaliste indépendanthttp://goo.gl/KyKia
Les services achats doivent s'adapter à l'offshore
La synthèse. Dirigeant d'une SSII nearshore, l'auteur s'étonne que les directions achats de grands groupes se focalisent sur le taux journalier moyen (TJM) d'un salarié, “ alors que le modèle offshore ne peut se réduire au prix d'un homme. Elles demandent les salaires moyens, les charges afférentes dans le pays et tentent de faire l'impasse sur les coûts d'infrastructure… Mais la différence entre la SSII parisienne et son homologue offshore, c'est la formation de masse, la logistique ou la gestion internalisée du personnel. ” Ces directions excluent ainsi les pure players offshore, “ qui font les efforts d'investissement. Aux EtatsUnis, les premières questions posées concernent la protection de la propriété intellectuelle, la plateforme de télécommunications et sa sécurisation, les process qualité… ”Un point de vue de Frédéric Lasnier, président de Pentaloghttp://goo.gl/RVh1U
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