On en parle dans les blogs
Vente liée ordinateur-logiciels : à quand les actes ?
La synthèse. Si April salue le discours d'Eric Besson sur le potentiel économique du logiciel libre à l'Open World Forum, l'association appelle le ministre de l'Economie numérique à s'attaquer enfin aux distorsions de concurrence qui pénalise encore le secteur. Sur les marchés publics, de nombreux appels d'offres exigent une marque ou une technologie propriétaire particulière. Le problème de la vente liée, qui subordonne celle d'ordinateur à l'achat de logiciels, reste aussi entier. Ce découplage était pourtant un des engagements pris par Eric Besson dans le cadre du Plan France numérique 2012. Avec le projet de loi sur la protection des consommateurs, le gouvernement a une occasion idéale pour réparer cet oubli.Un billet de l'April, association en faveur de la démocratisation et de la diffusion du logiciel librehttp://goo.gl/BfMHY
Le grand public, un indicateur pour anticiper l'informatique de demain
La synthèse. Jusqu'en 1995, les outils informatiques mis à la disposition de leurs collaborateurs par les entreprises étaient, dans la majorité des cas, plus avancés que ceux qu'ils utilisaient chez eux. Avec le décollage du web, ce décalage s'est inversé. Aujourd'hui, la majorité des individus disposent d'outils plus performants que ceux qu'ils utilisent au bureau. Les DSI doivent faire de ces usages grand public un indicateur pour anticiper les technologies à déployer en entreprise. A l'image d'United Airlines qui a équipé ses pilotes d'iPad, dix-huit mois après l'arrivée de la tablette sur le marché. En conséquence de quoi, “ la liste est longue des antiquités dont il est urgent de se séparer : réseaux X25, PC Windows et suites bureautiques obèses, applications en mode client-serveur, schémas directeurs à cinq ans… ”Une analyse de Louis Naugès, président de Revevolhttp://goo.gl/zKtiO
Le “ cygne noir ” du trading haute fréquence
La synthèse. Ce billet reprend le témoignage publié dans The Guardian d'un informaticien à la City londonienne. Notre ingénieur a coécrit un programme de trading haute fréquence. Un système qui permet à “ des ordinateurs d'acheter et de vendre des actions des dizaines de milliers de fois, en les détenant pendant parfois moins d'une minute. Si le “ moteur ” dysfonctionne ne serait-ce qu'une seconde, le nombre de transactions effectuées pendant ce temps est si énorme qu'il est essentiel de le surveiller d'aussi près que possible. ” La marque d'un bon programme dépend de son bon fonctionnement, mais aussi de sa capacité à réagir à des événements inattendus. C'est ce qu'il appelle le “ cygne noir ”, un fait sans précédent qui peut ne pas avoir été pris en compte par le système.Une traduction de Xavier de la Porte, producteur de Place de la Toile sur France Culturehttp://goo.gl/BcBSR
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