On en parle dans les blogs
Nous faudra-t-il payer pour préserver notre vie privée sur internet ?
La synthèse. Google ou Facebook ont bâti leur modèle économique sur l'exploitation de nos données personnelles. L'argent vient des annonceurs, et, pour répondre à leurs attentes et produire leurs bénéfices, “ ces sociétés sont engagées dans une course aux données, qui menace notre vie privée ”. Pour autant, il est difficile de spéculer sur un rejet global des médias sociaux, tant ils rendent des services, non seulement incontournables mais gratuits. Directeur du Enterprise Privacy Group, Toby Stevens se dit, lui, prêt à payer pour un service s'il a l'assurance que son utilisation et ses relations ne seront jamais analysées. Mais cela suppose que ces entreprises soient capables de montrer “ le cœur sombre de leur modèle d'affaires ”.Un billet de Hubert Guillaud, rédacteur en chef d'InternetActu.net et responsable de la veille à la Finghttp://goo.gl/QQ6iq
Le web social implique une évolution des mentalités des employeurs
La synthèse. Avec les réseaux sociaux, les connexions entre pairs prennent le pas sur les statuts hiérarchiques. Les organisations pyramidales ont vécu, et la multiplication des points de contact rend illusoire le maintien de frontières entre l'interne et l'externe. Si l'on ose changer radicalement de mentalité, cette entreprise ouverte est une chance inouïe pour l'innovation, la connaissance et la performance. Pour cela, la stratégie RH doit s'aligner sur la stratégie 2.0. “ Il faut apprendre à travailler de façon plus collaborative, partager l'information plutôt que la protéger, persuader plutôt qu'imposer, influencer et mobiliser, former des managers aptes à conduire ce changement… Une révolution en somme ! ”Un point de vue de Françoise Gri, présidente de Manpower Group Francehttp://goo.gl/GzTO0
La révolution du financement participatif
La synthèse. La finance participative qui permet de financer des projets en direct auprès d'un grand nombre de personnes (“ crowdfunding ”) touche, avec un temps de retard, la France. A la suite de Mymajorcompany, pour le financement en coproduction d'artistes, se sont développés des services comme Babyloan, Microworld (prêts sans intérêt), Ullule, Kisskissbankbank, Babeldoor (financement contributif), Friendsclear (prêts avec intérêt), Wiseed ou Finance Utile (financement en capital). Jusqu'alors restreinte aux proches, la “ love money ” ? la collecte de financement pour des projets de petite taille ? s'étend aux dimensions de la planète. Internet autorise aussi une transparence sur l'affectation des fonds, le choix des projets et la traçabilité des montants affectés.Une tribune de Nicolas Guillaume, cofondateur et directeur général de Friendsclearhttp://goo.gl/1koLa
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