On en parle dans les blogs
Tant que les SSII ne sortiront pas du “ développeur as a service ”…
La synthèse. Après les marges bénéficiaires des SSII qui ont dévissé en 2009, sans se relever depuis, c'est au tour du chiffre d'affaires de certaines d'entre elles de baisser. La crise n'explique pas tout. “ Le problème numéro un, c'est le management et l'ADN commercial. ” La plupart des sociétés de services sont dirigées par des ex-commerciaux hermétiques à toute évolution. Pour eux, le métier n'a pas changé depuis vingt ou trente ans. Leurs modèles restent liés à la marge brute sur le taux journalier moyen. Peu ou pas de prestations au forfait et rares sont les fournisseurs capables de s'élever vers… le nuage. Ils glissent vers la “ commodité ” au lieu de se hisser dans le vrai partenariat avec leurs clients (centre de services, offshore, cloud, …) et leur marge tend naturellement vers zéro.Une tribune de Frédéric Lasnier, président de Pentaloghttp://goo.gl/7PPJF
Le poste de travail de 2015 selon Apple, Google et Microsoft
La synthèse. Google et Microsoft se livrent un combat de titans sur le marché du poste de travail. Pour quel(s) vainqueur(s) en 2015 ? Les portables, smartphones et tablettes d'Apple devraient ? enfin ? entrer en force dans les entreprises. En revanche, la marque à la pomme “ aura un impact faible sur les applications professionnelles ”. De son côté, Google poussera l'adoption de HTML 5, de Chrome et d'Android par les développeurs afin de vendre davantage encore de services et de publicité. Dans une stratégie défensive, Microsoft joue gros avec Windows 8. Mais pour l'auteur de ce billet, le nouveau système d'exploitation ne s'imposera pas en entreprise. “ Les développeurs auront majoritairement compris que nous avons changé d'époque. Ce n'est plus au niveau de l'OS qu'il faut travailler, mais pour les navigateurs, et donc HTML 5. ”Une analyse de Louis Naugès, président de Revevolhttp://goo.gl/1ktWB
Le département formation survivra-t-il à l'entreprise collaborative ?
La synthèse. Selon une étude, 70 % de l'expertise engrangée par un salarié sur son poste de travail proviennent des discussions avec ses pairs, ses collaborateurs et managers. La part de ce “ social learning ” va s'accroître avec l'essor de l'entreprise 2.0. Pourquoi attendre une formation alors que l'on peut mobiliser l'intelligence collective d'un réseau professionnel pour obtenir une réponse rapide ? Dans l'entreprise collaborative, l'apprentissage deviendra plus important que la formation. Du coup, les départements développement RH et formation vont-ils fusionner ? Ou est-ce les métiers qui deviendront plus autonomes, ne mobilisant que les ressources humaines pour l'administratif de la formation, et la DSI pour la fourniture de plates-formes d'apprentissage 2.0 ?Un billet de David Guillocheau, directeur associé du cabinet de conseil Talentyshttp://goo.gl/SYtSS
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