Premier prix : la centralisation dleuscinontenu sans convénients
De grands groupes français testent la solution d'intégration de contenu d'Entropysoft. Ils apprécient la technologie de cette start up fondée en 2005 par deux anciens de Hummingbird.
On peut tout faire ?" ou presque ?" avec des connecteurs. Entropysoft, jeune pousse parisienne, a bâti une solution d'intégration de contenu (ECI), que les grands comptes français commencent à apprécier. L'un d'eux a
déjà testé la qualité des connecteurs proposés en faisant migrer les dossiers publics de Microsoft Exchange vers Workplace Collaboration Service. Un beau défi pour la start up, qui, mi-2005, ne prenait pas encore en compte la plate-forme
collaborative d'IBM. Pour le relever, elle a dû développer en urgence un nouveau connecteur. Satisfait par les compétences techniques affichées et par la réactivité de son partenaire, l'industriel envisage désormais d'aller plus loin. Ce dernier
souhaite en effet agréger le contenu stocké dans ses multiples référentiels (Stellent, Open Text, et Filenet) pour l'exposer dans le portail d'entreprise. Un vrai projet d'intégration de contenu, tel que l'espéraient les deux fondateurs
d'Entropysoft, deux anciens de Hummingbird.Un autre beau projet est en cours, à l'initiative d'un client du secteur financier, cette fois. Il s'agit d'offrir au service des ressources humaines une interface web commune pour manipuler les documents stockés dans les
serveurs de fichiers et dans les référentiels de Documentum et de Filenet. Avec une particularité : les collaborateurs pourront non seulement consulter les documents, mais aussi les modifier. Une option rendue possible par le fait
qu'Entropysoft dispose de connecteurs bidirectionnels. Ce qui n'est pas le cas de toutes les solutions se réclamant de l'ECI. Certaines ne savent que remonter de l'information, et s'apparentent ainsi davantage à des métamoteurs.
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