Régis Novi : ' Nous virtualisons MailInBlack à la demande du marché '

MailInBlack lance une version virtualisée de son antispam et s'associe avec Futur Telecom. Rencontre avec son directeur marketing.
01net. : Avec MailInBlack Virtual, vous transposez
votre solution antispam sur des plates-formes virtuelles. Pourquoi une telle offre ?
Régis Novi : Cela répond à un besoin du marché. Certains de nos clients ont des serveurs virtuels, donc ils ne veulent pas de boîtes supplémentaires. Ils ne se sentent pas non plus concernés par une offre en ASP (Application Service Provider). Avec une architecture virtualisée, ils peuvent augmenter rapidement la taille du disque virtuel où se trouve MailInBlack pour faire face à une multiplication des adresses électroniques à protéger, ou à une attaque massive de spam.Nous l'installons sur n'importe quel hyperviseur (VMWare, Xen, etc, NDLR) en fournissant notre propre version de Linux [Red Hat Entreprise Server 4 reconfigurée, NDLR]. Le tout pour un prix identique à la version classique, moins l'achat du boîtier. Soit de 20 à 28 euros par an et par adresse protégée.Parallèlement vous avez annoncé un partenariat avec Futur Telecom. Dans quel but ?
Stratégiquement, notre c?"ur de cible est entre 50 et 10 000 boîtes aux lettres par entreprise. En deçà, le marché ?" les TPE et PME ?" est difficile à atteindre. Futur Telecom est spécialisé sur cette tranche de clientèle et dispose d'un réseau d'agents commerciaux sur tout l'Hexagone pour les approcher. Notre antispam vient donc compléter l'offre Futur Office qui propose aux PME d'accéder à leurs messageries et aux fonctions de partage d'agenda d'Outlook à partir de leurs PDA et téléphones [Futur Telecom utilise la version ASP de l'antispam, NDLR].Est-ce votre seul moyen d'adresser les PME ?
Non, parallèlement à cette offre, nous lançons Maps (MailInBlack As a Partner Service). Il s'agira de faire héberger notre solution MailInBlack par nos partenaires intégrateurs ?" et non directement par nos services ?" en leur donnant la main pour paramétrer, configurer et dépanner les boîtiers à notre place. La solution sera officiellement lancée mi-2008 avec la commercialisation de notre Mibox version 4. Mais certains l'utilisent déjà en version bêta. Envisagerez-vous un retour vers le grand public ?
On y songe, mais nous restons focalisés sur le professionnel d'abord. Le grand public sera sans doute abordé sous une autre marque et avec des fonctions légèrement différentes.
Régis Novi : Cela répond à un besoin du marché. Certains de nos clients ont des serveurs virtuels, donc ils ne veulent pas de boîtes supplémentaires. Ils ne se sentent pas non plus concernés par une offre en ASP (Application Service Provider). Avec une architecture virtualisée, ils peuvent augmenter rapidement la taille du disque virtuel où se trouve MailInBlack pour faire face à une multiplication des adresses électroniques à protéger, ou à une attaque massive de spam.Nous l'installons sur n'importe quel hyperviseur (VMWare, Xen, etc, NDLR) en fournissant notre propre version de Linux [Red Hat Entreprise Server 4 reconfigurée, NDLR]. Le tout pour un prix identique à la version classique, moins l'achat du boîtier. Soit de 20 à 28 euros par an et par adresse protégée.Parallèlement vous avez annoncé un partenariat avec Futur Telecom. Dans quel but ?
Stratégiquement, notre c?"ur de cible est entre 50 et 10 000 boîtes aux lettres par entreprise. En deçà, le marché ?" les TPE et PME ?" est difficile à atteindre. Futur Telecom est spécialisé sur cette tranche de clientèle et dispose d'un réseau d'agents commerciaux sur tout l'Hexagone pour les approcher. Notre antispam vient donc compléter l'offre Futur Office qui propose aux PME d'accéder à leurs messageries et aux fonctions de partage d'agenda d'Outlook à partir de leurs PDA et téléphones [Futur Telecom utilise la version ASP de l'antispam, NDLR].Est-ce votre seul moyen d'adresser les PME ?
Non, parallèlement à cette offre, nous lançons Maps (MailInBlack As a Partner Service). Il s'agira de faire héberger notre solution MailInBlack par nos partenaires intégrateurs ?" et non directement par nos services ?" en leur donnant la main pour paramétrer, configurer et dépanner les boîtiers à notre place. La solution sera officiellement lancée mi-2008 avec la commercialisation de notre Mibox version 4. Mais certains l'utilisent déjà en version bêta.
On y songe, mais nous restons focalisés sur le professionnel d'abord. Le grand public sera sans doute abordé sous une autre marque et avec des fonctions légèrement différentes.
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