Sortie du SGBD gratuit Oracle Database XE
Les grands éditeurs de SGBD proposent des versions gratuites de leurs bases. Cela vous tente-t-il ?
Ces versions d'entrée de gamme visent à contrecarrer l'avancée des bases open source. Et à attirer les développeurs vers les versions moins limitées et payantes. Les bases open source peuvent satisfaire nombre d'applications fondées sur des modèles de données standards. Et prendre ainsi des parts aux grands éditeurs, quitte à les rendre méfiants. Avec Caché, nous nous impliquons plutôt dans des projets où les modèles de données sont complexes et les performances importantes. Tels les systèmes du dossier médical personnel.Des projets open source tel Postgre-SQL ne peuvent-ils pas devenir de sérieux concurrents pour Caché ?
Beaucoup dépend du réseau de partenaires. Nos clients sont surtout des développeurs de solutions verticales, et le SGBD est transparent dans leurs produits. Dans de nombreux cas, ils ont conçu leurs produits pour fonctionner soit sur des bases open source, soit sur Caché, selon les contraintes de performances et de volumétrie. Nous collaborons étroitement avec eux, et essayons d'avoir une réactivité proche de celle des communautés open source. Pour nous, la notion de support est fondamentale. Les utilisateurs discutent directement avec les experts.Mises sur la touche par les bases relationnelles, les bases objet semblent refaire surface...
L'envol des bases relationnelles a correspondu à celui des progiciels : des tables comptables stockées dans des tables relationnelles. C'est cohérent. Il restera toujours des applications pour lesquelles les SGBDR seront mieux adaptés. Mais désormais les applications, plus riches et évolutives, emploient des données fort diverses, souvent multimédias. Ce qui induit, pour les développeurs, un problème de correspondance entre les objets de l'application et les données du SGBD. Avec les bases objet, on peut s'en affranchir.
Ces versions d'entrée de gamme visent à contrecarrer l'avancée des bases open source. Et à attirer les développeurs vers les versions moins limitées et payantes. Les bases open source peuvent satisfaire nombre d'applications fondées sur des modèles de données standards. Et prendre ainsi des parts aux grands éditeurs, quitte à les rendre méfiants. Avec Caché, nous nous impliquons plutôt dans des projets où les modèles de données sont complexes et les performances importantes. Tels les systèmes du dossier médical personnel.Des projets open source tel Postgre-SQL ne peuvent-ils pas devenir de sérieux concurrents pour Caché ?
Beaucoup dépend du réseau de partenaires. Nos clients sont surtout des développeurs de solutions verticales, et le SGBD est transparent dans leurs produits. Dans de nombreux cas, ils ont conçu leurs produits pour fonctionner soit sur des bases open source, soit sur Caché, selon les contraintes de performances et de volumétrie. Nous collaborons étroitement avec eux, et essayons d'avoir une réactivité proche de celle des communautés open source. Pour nous, la notion de support est fondamentale. Les utilisateurs discutent directement avec les experts.Mises sur la touche par les bases relationnelles, les bases objet semblent refaire surface...
L'envol des bases relationnelles a correspondu à celui des progiciels : des tables comptables stockées dans des tables relationnelles. C'est cohérent. Il restera toujours des applications pour lesquelles les SGBDR seront mieux adaptés. Mais désormais les applications, plus riches et évolutives, emploient des données fort diverses, souvent multimédias. Ce qui induit, pour les développeurs, un problème de correspondance entre les objets de l'application et les données du SGBD. Avec les bases objet, on peut s'en affranchir.