Vediorbis perd moins de missions d'intérim en centralisant ses 110 bases
L'entreprise de recrutement et de travail temporaire a regroupé les données de ses agences dans une base centralisée.
' Faute de visualiser les ressources des agences voisines, nous ne pouvions pas satisfaire la demande d'un client, alors qu'un intérimaire se trouvait disponible à moins de cinq
kilomètres ', explique Pascal Anquetin, DSI de Vedior France. En effet, lorsque la visibilité d'une agence d'intérim est limitée à un périmètre restreint, il lui est difficile d'optimiser l'adéquation entre la disponibilité
des ressources et les besoins des clients.Filiale de Vedior France ?" groupe spécialisé dans le recrutement et le conseil en ressources humaines ?", Vediorbis avait découpé la France en 110 régions, auxquelles correspondaient autant de bases n'hébergeant que les
données locales. Pour obtenir une visibilité globale, la société décide, à la fin 2003, de consolider ses 110 bases Progress.A l'époque, seul Oracle s'engage face aux volumétries importantes de la société (1 To de données et 1 800 connexions simultanées). Vediorbis choisit donc la solution Oracle 9i. La mise en ?"uvre opérationnelle s'effectue
en octobre 2004, après la réalisation d'une maquette pour vérifier la faisabilité de la migration et six mois de pilote dans quinze agences. Vediorbis ne souhaitait pas remettre en cause l'application développée avec le L4G de Progress qui exploite
chacune des 110 bases de données. Celle-ci a pourtant dû être adaptée, car le mode procédural se mariait mal au mode de requête SQL de la base Oracle.