La chute du groupe Doux
Le volailler français Doux cherche à sauver les meubles. Son pôle frais,une des 23 sociétés du groupe, a déjà vu son sort être scellé, lundi 10 septembre, par le tribunal de commerce de Quimper. L'instance juridique a validé la reprise de cinq sites sur huit, ce qui se traduit par la destruction de 1000 emplois sur 1700. Les 22 autres sociétés bénéficient d'un léger sursis, jusqu'au 30 novembre prochain.Le temps pour Charles Doux, patron du groupe, d'approfondir son plan de continuation de l'activité.