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Achilles : les entreprises mondiales gaspillent 30 milliards de dollars dans la bureaucratie liée à la chaîne d’approvisionnement

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Les enterprises en Europe centrale gaspillent 7,1 milliards de dollars dans la bureaucratie liée à la chaîne d’approvisionnement selon Achilles Les entreprises mondiales gaspillent plus de 30 milliards de dol

Les enterprises en Europe centrale gaspillent 7,1 milliards de dollars dans la bureaucratie liée à la chaîne d’approvisionnement selon Achilles

Les entreprises mondiales gaspillent plus de 30 milliards de dollars chaque année pour la gestion des informations critiques concernant leurs fournisseurs – car elles ne parviennent pas à travailler ensemble pour assumer la charge administrative.

Dans une étude de marché, seul un tiers des grandes entreprises dans les secteurs des services publics, de la fabrication, de l’exploitation minière, de la construction, de l’ingénierie ainsi que du pétrole et du gaz déclarent travailler de manière collaborative avec des entreprises similaires pour effectuer une mission de "due diligence" sur leur fournisseurs.

Cela en dépit du fait que 88 % de ces compagnies – situées au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Espagne, au Brésil et en Scandinavie – déclarent que les branches nationales et internationales de leurs organisations exigent les mêmes standards de la part des fournisseurs en termes de santé et de sécurité, d’environnement, de qualité, de durabilité et de déontologie. En effet, de nombreuses entreprises comptent sur les mêmes fournisseurs.

Différences régionales

La Scandinavie – comprenant la Suède, le Danemark et la Norvège – réalise le meilleur score en matière de collaboration parmi toutes les régions sondées. Un peu plus d’un tiers (37 %) des entreprises ont affirmé travailler avec d’autres compagnies du même secteur pour gérer les informations concernant leur fournisseurs. L’Espagne arrive en dernière position – avec moins d’une société sur cinq (18 %) partageant la charge administrative avec ses equivalents dans son secteur d'activité.

Travaillez-vous avec d’autres entreprises du même secteur pour gérer les informations concernant leur fournisseurs ?

Oui Non Ne sait pas Scandinavie 37 % 58 % 5 % États-Unis 32 % 68 % 0 Royaume-Uni 31 % 64 % 5 % Brésil 23 % 73 % 4 % Espagne 18 % 78 % 4 %

L’étude a été menée par le cabinet de recherche indépendant IFF, qui a réalisé des interviews téléphoniques auprès de professionnels de la chaîne logistique travaillant dans 300 grandes entreprises.

L'enquête a été commandée par Achilles, qui exploite des plateformes en ligne à travers le monde, permettant aux acheteurs et aux fournisseurs de partager des informations critiques en matière de réglementation et de conformité – mais pas de nature commerciale. Des fournisseurs dans chaque secteur créent des ‘profils’ en ligne incluant leurs informations en matière de conformité et de gestion du risque, qui sont visibles par toutes les entreprises de ce secteur. Cela signifie que les informations concernant leur fournisseurs ne sont soumises, validées et auditées qu’une seule fois pour le compte du secteur dans son ensemble.

Adrian Chamberlain, le PDG d’Achilles, a déclaré : « Au niveau mondial, les entreprises dépensent 60 milliards de dollars par an pour la gestion des informations concernant leurs fournisseurs – dont la moitié sont gaspillés.

« L’efficacité est bien meilleure lorsque des secteurs entiers s’entendent sur des normes communes requises pour tous leur fournisseurs en termes de santé et de sécurité, de déontologie et de conformité, puis partagent la charge administrative liée à la collecte, à la vérification et à l’audit de ces informations. Ils peuvent mettre les détails à disposition de tout le secteur sur un portail central en ligne. »

« Nous constatons que de nombreuses entreprises sont toujours inquiètes à l’idée de partager avec leurs concurrents des informations concernant leur fournisseurs – mais ces informations ne sont pas commercialement sensibles. Il n’y a pas d’avantage concurrentiel à obtenir des informations obligatoires en matière de conformité et de réglementation. »

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Achilles
Susie Carter
Directrice mondiale des RP
+44-7827-997497
press.office@achilles.com

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