CAC 40: à la recherche de nouveaux catalyseurs.

Le 12/09/2013 à 10:52 | MAJ à 11:00

(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris fait du surplace jeudi matin, à la recherche - comme beaucoup d'autres places mondiales - d'un nouveau catalyseur pour pouvoir reprendre sa marche en avant. A 10h30, l'indice CAC 40 cale sous ses plus hauts a

(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris fait du surplace jeudi matin, à la recherche - comme beaucoup d'autres places mondiales - d'un nouveau catalyseur pour pouvoir reprendre sa marche en avant.

A 10h30, l'indice CAC 40 cale sous ses plus hauts annuels et reste parfaitement inchangé, à 4118,9 points.

Si l'intérêt pour les actions semble quelque peu retomber aujourd'hui, tous les analystes s'accordent à décrire un environnement devenu plus porteur pour les marchés.

'Le contexte économique mondial s'est incontestablement amélioré ces dernières semaines et a été couronné par la publication d'indicateurs chinois plus vigoureux cette semaine', font remarquer les stratèges de Société Générale.

Un avis partagé par les équipes de Goldman Sachs.

'Nous sommes en train de passer d'une phase dite 'd'espoir' - où les marchés se redressent fortement sur la foi de meilleures perspectives - à une phase de 'croissance' où le cycle est porté par la croissance des résultats et des dividendes', explique la banque d'affaires américaine.

La journée sera marquée par la parution aux Etats-Unis des inscriptions hebdomadaires au chômage avant la publication, demain, des ventes au détail.

Les signes de reprise économique et la multiplication d'annonces de fusions-acquisitions (M&A) soutiennent largement le segment des valeurs technologiques ce matin.

Vivendi progresse de 2,5% à 17,1 euros, les projets de 'split' (scission) des activités ne déclenchant pas véritablement d'hystérie haussière.

Dans le même secteur, Orange progresse de 1,7%, Bouygues de 1,9% tandis que STMicroelectronics (+4,1%) et Technicolor (+2,7%) prennent également de l'avance.

EDF trébuche de 2,6% à 21,7 euros alors qu'une filiale de la banque centrale norvégienne, Norges Bank, aurait mandaté UBS pour vendre 13 millions d'actions de l'électricien, d'après des analystes qui citent Bloomberg. Le placement aurait lieu à 21,45 euros.

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