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L’extrait de crête de coq de Bioiberica obtient l’autorisation de mise sur le marché d’un nouvel ingrédient alimentaire de la part de l’UE

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La Commission Européenne a autorisé l'usage d'extrait de crête de coq comme ingrédient alimentaire dans l'Union Européenne. Il s'agit de la toute première autorisation de mise sur le marché d'un nouvel ingrédient a

La Commission Européenne a autorisé l'usage d'extrait de crête de coq comme ingrédient alimentaire dans l'Union Européenne. Il s'agit de la toute première autorisation de mise sur le marché d'un nouvel ingrédient alimentaire en Espagne, et il a été développé par une société de biotechnologie espagnole, Bioiberica S.A. C'est également une première mondiale car c'est le tout premier ingrédient destiné au soin des articulations pouvant être ajouté à des produits laitiers de consommation courante. La semaine dernière, le Journal Officiel de l'UE a publié la décision d'exécution.

Cette autorisation constitue l'aboutissement d'un processus administratif de près de trois ans, qui a débuté en février 2011 et qui a obtenu l'approbation définitive en septembre de cette année, lorsque l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a émis une opinion favorable concernant l'innocuité de l'ajout d'extrait de crête de coq à des produits laitiers de consommation courante. Parallèlement, un groupe d'experts américains indépendant a également publié une déclaration accordant le statut GRAS (généralement reconnu inoffensif) à l'ajout d'extrait de crête de coq à un large éventail de produits alimentaires et de boissons.

Marché potentiel
On estime qu'en Europe, plus de 15 millions de personnes actives âgées de 40 à 65 ans souffrent de douleurs articulaires. Aux États-Unis, ce chiffre atteint 19 millions de personnes. De plus, l'ostéoarthrose deviendra la quatrième cause d'invalidité dans le monde d'ici 2020 selon l'OMS, en raison du vieillissement progressif de la population.

« Notre société, spécialisée dans le soin des articulations, a compris il y a de nombreuses années que les problèmes articulaires ne devaient pas être traités uniquement avec des médicaments, mais aussi par la médecine personnalisée et la nutrition. L'étape logique suivante consistait donc à prendre pied dans l'industrie alimentaire », a déclaré José Escaich, le PDG de Bioiberica.

Bioiberica commercialisera l'extrait de crête de coq sous la marque « Mobilee ». Elle est déjà en cours de négociation avec plusieurs grandes sociétés du secteur agroalimentaire, au plan national comme international. « Notre défi actuel consiste à faire que cet ingrédient soit ajouté à un nombre aussi important que possible de produits alimentaires de consommation courante - et le plus tôt sera le mieux. L'autorisation accordée par la Commission Européenne ouvre de nouvelles opportunités commerciales et de nouvelles possibilités d'innovation sur un marché en pleine croissance », a déclaré M. Escaich

Axe de recherche stratégique
Durant les cinq dernières années, la société a réalisé un certain nombre d'essais pour tester l'efficacité, la stabilité, la sécurité et la toxicité de l'extrait de crête de coq. Ces essais ont été menés conjointement avec des universités et des instituts de recherche en Espagne et à l'étranger. Ils ont établi qu'il s'agissait d'un produit sûr et stable qui ne modifie pas l'odeur ni le goût des aliments, et qu'il pouvait être bénéfique pour préserver la santé des articulations.

À propos de Bioiberica
Bioiberica est une société de biotechnologie spécialisée dans la recherche, le développement, la production et la commercialisation de biomolécules et de nouvelles technologies pour le secteur pharmaceutique, vétérinaire et agrochimique. En l'espace de 35 ans, cette société est devenue le premier producteur mondial d'héparine non-chinoise et l'un des chefs de file dans le domaine des produits et des principes actifs pour la santé des articulations.

Le texte du communiqué issu d'une traduction ne doit d'aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d'origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Alba Soler, 934904908
Directrice RP - Communications
Division Pharmaceutique de Bioiberica
asoler@bioiberica.com

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