Pour le troisième trimestre 2014, Bank of America rapporte un bénéfice net de 168 millions USD sur des recettes de 21,4 milliards USD (A) et une perte de 0,01 USD par action après dividendes sur actions privilégiées

Bank of America Corporation a déclaré aujourd’hui un résultat net de 168 millions USD, pour le troisième trimestre 2014. Après déduction des dividendes sur actions privilégiées, la Société a déclaré une perte de 0,01 % par action. Les résultats incluent les frais avant impôts précédemment annoncés de 5,3 milliards USD liés au règlement d’un litige avec le ministère de la Justice, certains organismes fédéraux et six États (DoJ Settlement), qui a réduit de 0,43 USD le bénéfice par action. Les résultats de l’exercice précédent ont atteint 2,5 milliards USD, ou 0,20 USD par action diluée.

Le chiffre d’affaires, net des charges d’intérêts, sur une base EPI a baissé de 1 % par rapport au T3/13, pour atteindre 21,4 milliards USD. Le revenu net d’intérêts débiteurs, sur une base EPI, hors gains de placement en actions (9 millions USD au T3/14 et 1,2 milliard USD au T3/13) et les ajustements de valeur liés à l’évolution des écarts de crédit de la Société a augmenté de 1 % en glissement annuel pour atteindre 21,2 milliards USD au lieu de 21,0 milliards USD^(G).

« Nous avons constaté une solide activité client et une amélioration de la rentabilité dans la plupart de nos segments d’activité par rapport au trimestre de l’année précédente », a déclaré le président-directeur général Brian Moynihan. « Nous restons concentrés sur la rationalisation et la simplification de notre entreprise et sur la connexion entre les clients et l’économie réelle, une approche qui leur rapporte des dividendes ainsi qu’à nos actionnaires ».

« Nous avons continué à mettre l’accent sur l’optimisation du bilan de ce trimestre afin de mieux répondre aux besoins financiers de base de nos clients tout en restant en mesure de répondre aux nouvelles exigences de capital et de liquidité dans un cadre réglementaire en pleine évolution », a déclaré le chef de la direction financière Bruce Thompson. « Nous avons également amélioré considérablement notre structure de coûts, afin de garder le cap sur les objectifs que nous avons établis il y a trois ans, et nos mesures de qualité de crédit reflètent à la fois l’amélioration de l’environnement et notre évaluation des risques ».

^{1 La base d’imposition comparable (BIC) est une mesure financière non définie par les PCGR. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24 de ce communiqué de presse. Le revenu net d’intérêts sur une base PCGR a atteint 10,2 milliards USD, 10,0 milliards USD et 10,3 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013. Le revenu total, net des charges d’intérêts, sur une base PCGR a atteint 21,2 milliards USD, 21,7 milliards USD et 21,5 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement.}

^{2 Représente une mesure financière non-PCGR. Les gains (pertes) AVP totalisaient 205 millions USD, 69 millions USD et (444) millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013.}

^{3 Les charges autres que d’intérêt incluent des frais de litiges de 5,6 milliards USD, 4,0 milliards USD et 1,1 milliard USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement.}

Le revenu net des intérêts, sur une base EPI, a été comparable à celui du trimestre de l’exercice précédent à 10,4 milliards USD ^(A) car les soldes et les rendements sur prêts ont été largement contrebalancés par des réductions de la dette à long terme et des coûts de financement améliorés.

Le revenu autre que d’intérêts a diminué de 2 % par rapport au troisième trimestre de 2013 à 11,0 milliards USD. Hors ajustements de valorisation sur passif (AVP), nets d’évaluation de débit (DVA) et revenu de placement en actions dans les deux périodes, le revenu hors intérêts a augmenté de 2 % par rapport au trimestre de l’année précédente, car les augmentations modestes dans la plupart des catégories ont été largement compensées par une baisse du revenu des activités bancaires hypothécaires ^(G).

La provision pour pertes sur créances a augmenté de 340 millions USD par rapport au troisième trimestre de 2013 pour atteindre 636 millions USD, en raison des 400 millions USD en coûts de crédit supplémentaires liés à la portion allègement de la dette des consommateurs dans le règlement DoJ. Les créances irrécouvrables nettes ont baissé de 38 % par rapport au troisième trimestre 2013 pour atteindre 1,0 milliard USD, avec une chute de 0,46 % du ratio de ces créances irrécouvrables nettes au troisième trimestre 2014 par rapport à 0,73 % au trimestre correspondant de l’exercice précédent. En incluant les coûts de crédit supplémentaires liés au règlement DoJ, la libération des réserves a atteint 407 millions USD au troisième trimestre 2014, comparé à une libération des réserves de 1,4 milliard USD au troisième trimestre 2013.

Les charges autres que d’intérêts ont été de 19,7 milliards USD contre 16,4 milliards USD au trimestre de l’exercice précédent, en réponse à des frais de litiges liés aux hypothèques accrus, en partie compensés par une réduction des frais de personnel. À l’exclusion des frais de litige de 5,6 milliards USD au troisième trimestre 2014 et de 1,1 milliard USD au trimestre de l’exercice précédent, les charges autres que d’intérêts ont baissé de 7 % en glissement annuel, pour atteindre 14,2 milliards USD, reflétant les progrès continus réalisés par la Société pour générer des économies de coût dans son activité Actifs patrimoniaux et Gestion hypothécaire et, dans une moindre mesure, dans son projet New BAC^(C).

Le taux d’imposition effectif pour le troisième trimestre 2014 était attribuable à la portion non déductible des frais liés au règlement DoJ, partiellement compensé par certains avantages fiscaux ponctuels (qui contribuèrent environ 0,04 USD par action et incluaient notamment la résolution de certains contrôles fiscaux) et d’autres avantages fiscaux récurrents. Le taux d’imposition effectif pour le troisième trimestre 2013 s’explique principalement par un impact négatif de 1,1 milliard USD sur l’actif fiscal différé de la Société suite à la modification du taux d’impôt sur les sociétés au Royaume-Uni mise en place en juillet.

Au 30 septembre 2014, la société comptait 229 538 employés à plein temps, soit une baisse de 7 % par rapport à l’exercice précédent et de 2 % par rapport au deuxième trimestre 2014.

Résultats par segment d’activité

La société déclare les résultats de ses cinq segments d’activité : Services bancaires aux particuliers et aux entreprises (Consumer and Business Banking - CBB), Services immobiliers aux particuliers (Consumer Real Estate Services - CRES), Gestion mondiale de patrimoine et d’investissements (Global Wealth and Investissement Management - GWIM), Services bancaires mondiaux et Marchés mondiaux, les autres opérations étant comptabilisées dans Autres postes.

^{1 Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24 de ce communiqué de presse.}

Faits saillants de l’exploitation

• Les soldes des dépôts moyens ont augmenté de 23,1 milliards USD, soit 4 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent, pour atteindre 545,1 milliards USD. Cette augmentation était essentiellement attribuable à la croissance des produits liquides dans l’environnement à faibles taux d’intérêt actuel.
• Les actifs de courtage clients se sont appréciés de 19,0 milliards USD, soit 21 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 108,5 milliards USD, en réponse à une amélioration de l’évaluation du marché et des flux de comptes.
• Les émissions de cartes de crédit sont restées solides. La Société a émis 1,2 million de nouvelles cartes de crédit au cours du troisième trimestre 2014, une hausse de 15 % par rapport aux 1 million de cartes émises au cours du trimestre de l’exercice précédent. Environ 64 % de ces cartes ont été envoyées aux clients existants au cours du troisième trimestre 2014.
• Le nombre de clients actifs dans les services bancaires mobiles a augmenté de 15 % par rapport au même trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 16,1 millions USD, et plus de 11 % des transactions de dépôt sont à présent effectués par des dispositifs mobiles comparé à 8 % durant le trimestre de l’exercice précédent.
• Le taux de rendement du capital alloué moyen a été de 25,0 % durant le premier trimestre 2014, comparé aux 23,7 % du troisième trimestre 2013.

Vue d’ensemble de la situation financière

Le segment Services bancaires aux particuliers et aux entreprises a enregistré un résultat net de 1,9 milliard USD, soit une hausse de 69 millions USD, ou 4 %, par rapport au même trimestre l’an dernier, en raison d’une baisse de la provision pour créances irrécouvrables. Le chiffre d’affaires a été relativement stable comparé au trimestre de l’exercice précédent, la baisse du revenu net d’intérêts résultant des soldes de crédit et des rendements sur prêts étant partiellement contrebalancée par de meilleurs revenus nets d’intérêts en raison de la hausse des frais de service et des revenus des cartes.

La provision pour créances irrécouvrables a baissé de 144 millions USD par rapport au trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 617 millions USD, reflétant une amélioration constante de la qualité du crédit. Les charges autres que d’intérêts se sont élevées à 4,0 milliards USD, comparables au trimestre de l’exercice précédent. La Société a réduit de 76 autres centres bancaires son empreinte détail qui comprend 4 947 centres en raison de la croissance continue des services bancaires mobiles et d’autres points de contact clients en libre-service.

^{1 Les charges autres que d’intérêt incluent des frais de litige de 5,3 milliards USD, 3,8 milliards USD, et 338 millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013.}

Faits saillants de l’exploitation

• La Société a financé 11,7 milliards USD en prêts hypothécaires résidentiels de premier rang et 3,2 milliards USD en prêts sur valeur domiciliaire durant le troisième trimestre 2014, comparé à 11,1 milliards USD et 2,6 milliards USD respectivement, au deuxième trimestre 2014, et 22,6 milliards USD et 1,8 milliard USD respectivement, durant le trimestre de l’exercice précédent.
• Le nombre de prêts hypothécaires de premier rang en souffrance pendant plus de 60 jours gérés par le segment Actifs patrimoniaux et Gestion hypothécaire (APGH) a baissé de 16 % au cours du troisième trimestre 2014 à 221 000 prêts contre 263 000 prêts à la fin du second trimestre 2014. En glissement annuel, ces prêts ont baissé de 44 % par rapport aux 398 000 prêts à la fin du troisième trimestre 2013.
• Les charges autres que d’intérêts du segment APGH, hors litiges, ont baissé à 1,3 milliard USD au troisième trimestre 2014 comparé à 1,4 milliard USD au second trimestre 2014 et à 2,2 milliards USD au troisième trimestre de l’exercice précédent alors que la Société continue de s’efforcer à réduire le nombre des prêts hypothécaires en souffrance ^(H).

Vue d’ensemble de la situation financière

Le segment Services immobiliers aux particuliers a déclaré une perte de 5,2 milliards USD au premier trimestre 2014, comparé à une perte de 990 millions USD pour la même période en 2013, due principalement à l’impact du règlement DoJ, y compris la portion non déductible du règlement.

Le revenu a diminué de 484 millions USD par rapport au troisième trimestre 2013 pour atteindre 1,1 milliard USD, en raison principalement d’un déclin du revenu des services hypothécaires, ce qui reflète un portefeuille de services hypothécaires moins important, la faible performance, hors couverture, des droits de gestion hypothécaire (MSR) ainsi qu’un moindre revenu de production principale dû à un recul des montages de prêts. Ces réductions ont été partiellement compensées par une baisse de la provision pour représentations et garanties, par rapport au troisième trimestre de l’exercice précédent. Le revenu de production principale a diminué de 172 millions USD par rapport au même trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 293 millions USD en raison principalement d’un volume plus faible.

La provision pour créances irrécouvrables a augmenté de 594 millions USD par rapport au même trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 286 millions USD en raison des coûts de 400 millions USD liés à la portion allègement du règlement DoJ et au ralentissement de l’amélioration de la qualité du crédit.

Les charges autres que d’intérêts ont augmenté de 3,9 milliards USD par rapport au trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 7,3 milliards USD, en réponse à une augmentation de 5,0 milliards USD des frais de litige, liés principalement au règlement DoJ, en partie compensée par la baisse des frais de personnel liés aux défaillances APGH et autres frais liés à la gestion des défaillances, ainsi que la réduction des frais de prêts immobiliers due au ralentissement de la demande de refinancement.

^{1 Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24 de ce communiqué de presse.}

^{2 Le total des soldes clients est défini comme des actifs sous gestion, des actifs de courtage clients, des actifs détenus, des dépôts et des prêts clients (y compris les créances sur marge).}

Faits saillants de l’exploitation

• Les soldes clients ont augmenté de 8 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 2,46 billions USD, en raison d’une augmentation des niveaux des marchés et des entrées nettes. Au troisième trimestre 2014, les flux d’actifs gérés à long terme de 11,2 milliards USD représentaient le 21e trimestre consécutif de flux positifs.
• Le segment Gestion mondiale de patrimoine et d’investissements a réussi le déploiement national de Merrill Lynch One, une nouvelle plateforme d’investissement qui offre une vue d’ensemble de tous les comptes d’un client. Au 30 septembre 2014, plus de 157 milliards USD en actifs sous gestion, dont 37 milliards USD de nouveaux soldes, et plus de 400 000 comptes étaient gérés sur cette plateforme.
• Les frais de gestion d’actifs ont augmenté pour atteindre le chiffre record de 2 milliards USD, en hausse de 19 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent.
• Les soldes de prêts moyens ont augmenté de 7 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 121,0 milliards USD au lieu de 112,8 milliards USD.
• La marge avant impôt était de 27,4 % au troisième trimestre 2014, comparé aux 25,5 % du trimestre de l’exercice précédent, ce qui représentait le septième trimestre d’affilée à plus de 25 %.

Vue d’ensemble de la situation financière

Le segment Gestion mondiale de patrimoine et d’investissement a enregistré un résultat net de 813 millions USD, comparé à 720 millions USD au troisième trimestre 2013. Le chiffre d’affaires a augmenté de 6 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent pour atteindre le chiffre record de 4,7 milliards USD, en réponse à une augmentation des produits hors intérêts liés à l’amélioration de l’évaluation du marché et des flux d’actifs sous gestion.

La provision pour pertes de crédit a baissé de 38 millions USD par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent pour atteindre un bénéfice de 15 millions USD dû à une meilleure qualité des actifs. Les charges autres que d’intérêt ont augmenté de 5 % pour atteindre 3,4 milliards USD, partiellement en réponse à une hausse des rémunérations incitatives liées au chiffre d’affaires et autres dépenses liées au volume.

Le rendement du capital alloué moyen a été de 27,0 % au troisième trimestre 2014, en baisse par rapport à 28,7 % au trimestre de l’exercice précédent, l’amélioration des revenus ayant été plus que compensée par l’augmentation des attributions de fonds.

^{1 Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24 de ce communiqué de presse.}

Faits saillants de l’exploitation

• À l’échelle de la Société, les frais bancaires d’investissement ont augmenté de 4 % durant le troisième trimestre 2013 pour atteindre 1,4 milliard USD.
• Bank of America Merrill Lynch (BAML) s’est classée parmi les trois plus grandes institutions financières mondiales en termes de prêts à effet de levier, créances de société de qualité investissement, titres adossés à des actifs, souscription d’actions ordinaires et prêts syndiqués durant le troisième trimestre 2014^(I).
• Les soldes de prêts et crédit-baux moyens ont augmenté de 7,0 milliards USD, soit 3 %, à 267,0 milliards USD par rapport au trimestre de l’exercice précédent, la croissance étant enregistrée dans les portefeuilles de prêts industriels et commerciaux et d’immobilier commercial.

• Les dépôts moyens ont augmenté de 26,5 milliards USD, soit 11 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 265,7 milliards USD, essentiellement attribuable à une augmentation de la liquidité des clients et à la croissance à l’international.

Vue d’ensemble de la situation financière

Le segment Services bancaires mondiaux a déclaré un revenu net de 1,4 milliard USD au troisième trimestre 2014, une hausse de 277 millions USD ou 24 % par rapport au même trimestre de l’exercice précédent, en raison principalement d’une réduction de la provision pour pertes de crédit et d’une augmentation des revenus. Le chiffre d’affaires de 4,1 milliards USD était en hausse de 2 %, par rapport au troisième trimestre 2013, reflétant une hausse des frais bancaires d’investissements et du revenu net d’intérêt.

La provision pour pertes sur créances a dégagé un avantage de 32 millions USD au troisième trimestre de 2014, comparé à une provision de 322 millions USD au trimestre correspondant de l’exercice précédent lorsque la société a augmenté les réserves en raison de la croissance des prêts. Les charges autres que d’intérêts ont baissé de 19 millions USD, soit 1 % par rapport au même trimestre de l’année précédente, à 1,9 milliard USD.

Le rendement du capital alloué moyen a été de 18,1 % au troisième trimestre 2014, en baisse par rapport à 19,6 % au trimestre de l’exercice précédent, l’amélioration des revenus ayant été plus que compensée par l’augmentation des attributions de fonds.

^{1 Au cours de l’année 2014, la gestion des dettes structurées et de l’AVP associé a été transférée des Autres postes aux Marchés mondiaux pour mieux aligner le risque de performance de ces instruments. Comme tel, l’AVP net représente le total combiné de l’AVP net sur les produits dérivés et les dettes structurées. Certains résultats de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.}

^{2 Représente une mesure financière non-PCGR. Les gains (pertes) AVP totalisaient 205 millions USD, 69 millions USD et (444) millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013. L’impact sur l’impôt différé actif de l’ajustement du taux de l’impôt sur les sociétés au Royaume-Uni a été de 1,1 milliard USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2013.}

^{3 Le retour sur capital alloué moyen pour les trois mois clos le 30 septembre 2013 n’a pas été significatif en raison de l’ajustement du taux de l’impôt sur les sociétés au Royaume-Uni et de l’AVP net. Hors ces éléments, le retour sur capital alloué moyen a été de 7,0 pour cent.}

^{4 Le rendement du capital alloué moyen est une mesure financière non PCGR. La société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats des segments. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24 de ce communiqué de presse.}

Faits saillants de l’exploitation

• Le revenu des ventes et négociations de titres à revenu fixe, devises et produits de base (FICC), hors AVP net, a augmenté de 11 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 2,2 milliards USD^(J).
• Hors AVP net, le revenu des Ventes et négociations d’actions a augmenté de 6 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent pour atteindre 1,0 milliard USD^(K).

Vue d’ensemble de la situation financière

Les Marchés mondiaux ont fait état d’un revenu net de 769 millions USD au troisième trimestre 2014, par rapport à une perte de 875 millions USD pour le même trimestre de l’exercice précédent. Hors AVP net dans les deux périodes et l’impact sur l’actif d’impôt différé de l’ajustement du taux de l’impôt sur les sociétés au Royaume-Uni durant l’exercice précédent, le bénéfice net a augmenté de 110 millions USD ou 21 % pour atteindre 641 millions USD^(L).

Le revenu a augmenté de 917 millions USD, soit 28 %, par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent pour atteindre 4,1 milliards USD. Hors AVP net, le revenu a augmenté de 268 millions USD ou 7 % pour atteindre 3,9 milliards USD, reflétant l’amélioration de la performance FICC et des Ventes et négociations d’actions^(L). Les gains AVP ont atteint 205 millions USD, comparé à une perte de 444 millions USD au trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le revenu des ventes et négociations de titres à revenu fixe, devises et produits de base (FICC), hors AVP net, a augmenté de 11 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent, grâce à de solides résultats en devises en raison de la volatilité accrue de la période ainsi que des gains générés par les prêts hypothécaires et les produits de base^(J). Hors AVP net, le revenu des Ventes et négociations d’actions a augmenté de 6 % par rapport au trimestre de l’exercice précédent, grâce à des gains de financement client^(K).

Les charges hors intérêt d’un montant de 2,9 milliards USD, ont augmenté de 55 millions USD par rapport au trimestre de l’exercice précédent, en raison d’incitations liées au revenu plus élevées.

^{1 Les autres postes regroupent les activités ALM, les investissements de capitaux propres, les cartes de crédit à la consommation internationales, les entreprises en liquidation et autres. Les activités ALM englobent l’ensemble du portefeuille de prêts hypothécaires résidentiels et les titres de placement, les taux d’intérêt et les activités de gestion des risques des devises étrangères, y compris l’allocation du revenu net des intérêts résiduel et l’impact de certaines méthodologies d’allocation et de l’inefficacité de la comptabilité de couverture.}

^{2 Le chiffre d’affaires inclut le revenu (perte) tiré des investissements de capitaux propres de (51) millions USD, 56 millions USD et 1,1 milliard USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement et les gains sur les ventes des titres de créance de 410 millions USD, 382 millions USD et 347 millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement.}

^{3 Durant 2014, la gestion des dettes structurées et de l’AVP associé a été transférée des Autres postes aux Marchés mondiaux pour mieux aligner le risque de performance de ces instruments. Certains résultats de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.}

Le segment Autres postes a déclaré un résultat net de 500 millions USD au troisième trimestre 2014, par rapport à un produit net de 718 millions USD pour la même période de l’exercice précédent.

Le revenu autre que d’intérêts a diminué de 1,1 milliard USD par rapport au trimestre de l’exercice précédent, reflétant de moindres gains de placements en actions et une augmentation de la provision d’assurance de protection de paiement dans l’activité des cartes de crédit au Royaume-Uni durant le troisième trimestre 2014. La baisse des gains de placements en actions s’explique en grande partie par un gain avant impôts de 753 millions USD sur la vente des actions restantes de la China Construction Bank au cours du trimestre de l’exercice précédent.

La provision pour pertes sur créances a généré un produit de 265 millions USD, comparé à un produit de 549 millions USD durant le trimestre de l’exercice précédent, principalement en raison d’un ralentissement de l’amélioration de la qualité du crédit lié au portefeuille de prêts hypothécaires résidentiels. La charge d’impôt sur le revenu a généré un produit de 545 millions USD au troisième trimestre 2014, et inclut la résolution de certaines questions fiscales.

Les charges hors intérêts ont diminué en raison de la baisse des frais de litige et des charges de personnel comparé au trimestre de l’exercice précédent.

^{1 Exclut des radiations de prêts PCR de 246 millions USD, 160 millions USD, et 443 millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement.}

^{2 Les ratios des montants nets passés par pertes et profits sont calculés en tant que montants nets passés par pertes et profits divisés par l’encours moyen des prêts et crédit-baux pour la période ; les résultats trimestriels sont annualisés.}

^{3 Les ratios des prêts ou baux non performants et des propriétés saisies sont calculés sous forme de prêts ou baux non performants et des propriétés saisies, divisés par l’encours des prêts, baux et propriétés saisies en fin de période.}

^{4 La provision pour ratios de créances irrécouvrables et baux est calculée sur la base de la provision pour créances irrécouvrables et baux, divisée par l’encours des prêts et baux en fin de période.}

^{Remarque : Les ratios n’incluent pas les prêts comptabilisés selon l’option de la juste valeur pendant la période.}

L’amélioration de la qualité du crédit s’est poursuivie au troisième trimestre 2014, avec une baisse des créances irrécouvrables nettes dans tous les portefeuilles principaux par rapport au trimestre de l’exercice précédent. Le nombre de prêts en souffrance productifs de plus de 30 jours, à l’exclusion des prêts totalement assurés, a baissé dans tous les portefeuilles grand public par rapport au trimestre de l’exercice précédent, atteignant des niveaux bas record dans le portefeuille des cartes de crédit aux États-Unis. Par ailleurs, le déclin des soldes réservables critiqués et des prêts, baux et propriétés saisies non productifs s’est poursuivi, en baisse de 16 % et 29 %, respectivement, par rapport à la période de l’exercice précédent.

Les créances irrécouvrables nettes ont atteint 1,0 milliard USD au troisième trimestre 2014, en baisse par rapport à 1,1 milliard USD au deuxième trimestre 2014 et 1,7 milliard USD au troisième trimestre 2013. La provision pour pertes sur créances a augmenté de 636 millions USD au troisième trimestre 2014 comparé à 296 millions USD au troisième trimestre 2013, en raison des 400 millions USD de coûts supplémentaires associés à la portion allègement du règlement DoJ. Au cours du premier trimestre 2014, la libération des réserves a été de 407 millions USD, contre 1,4 million USD au troisième trimestre 2013

Le ratio de la provision pour pertes sur prêts et baux sur la couverture des créances irrécouvrables nettes annualisées a été de 3,65 fois au troisième trimestre 2014, comparé à 3,67 fois au deuxième trimestre 2014 et 2,90 fois au troisième trimestre 2013. Cette augmentation en glissement annuel est attribuable à l’amélioration des montants nets passés par pertes et profits discutés ci-dessus. Le rapport entre la provision et la couverture des créances irrécouvrables nettes annualisées, excluant le portefeuille de crédit douteux racheté (PCR), a été de 3,27 fois, 3,25 fois et 2,42 fois pour les périodes correspondantes, respectivement.

Les prêts ou baux non productifs et les propriétés saisies ont atteint 14,2 milliards USD au 30 septembre 2014, en baisse par rapport aux 15,3 milliards USD du 30 juin 2014, et aux 20,0 milliards USD du 30 septembre 2013.

^{1 Les ratios de capitaux réglementaires sont préliminaires.}

^{2 Le 1er janvier 2014, la réglementation de Bâle 3 est entrée en vigueur sous réserve des dispositions de transition principalement liées aux déductions réglementaires et aux ajustements affectant les actions ordinaires et le capital de 1re catégorie.}

^{3 Les ratios de capitaux propres de 1re catégorie selon Bâle 3 sur une base entièrement intégrée sont des mesures financières non PCGR. Pour les rapprochements aux mesures financières PCGR, voir la page 18 de ce communiqué de presse. Les estimations sur une base entièrement intégrée en vertu de Bâle 3 de la société sont basées sur sa compréhension actuelle des approches normalisées et avancées des règles de Bâle 3, en présumant toutes les approbations du modèle réglementaire connexes, hormis la réduction potentielle des actifs pondérés en fonction des risques résultant du retrait de la surcharge de mesure du risque global. Les règles de Bâle 3 nécessitent l’accord des régulateurs bancaires sur certains modèles utilisés dans le cadre des calculs des actifs pondérés en fonction des risques. Si ces modèles ne sont pas approuvés, le ratio du capital de la société sera probablement influencé de manière négative, ce qui dans certains cas pourrait être significatif.}

^{4 Le ratio des capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires et la valeur comptable tangible par action sont des mesures financières non PCGR. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24 de ce communiqué de presse.}

Le ratio du capital en actions ordinaires de 1re catégorie selon l’approche normalisée de Bâle 3 pour la mesure des actifs pondérés en fonction du risque a été de 12,0 % au 30 septembre 2014, et au 30 juin 2014.

Bien que les approches normalisées et avancées sur une base entièrement intégrée de Bâle 3 ne prennent effet qu’en 2018, la société fournit aux investisseurs les estimations suivantes à des fins de comparaison.

Le ratio du capital en actions ordinaires de 1re catégorie selon l’approche normalisée sur une base entièrement intégrée de Bâle 3 a été de 9,6 % au 30 septembre 2014, comparé à 9,5 % au 30 juin 2014^(D).

Le ratio du capital en actions ordinaires de 1re catégorie estimé selon l’approche avancée sur une base entièrement intégrée de Bâle 3 a été de 9,6 % au 30 septembre 2014, comparé à 9,9 % au 30 juin 2014^(D).

Le 3 septembre 2014, les régulateurs bancaires américains ont adopté une règle finale révisant la définition et la portée du dénominateur du ratio de levier supplémentaire (SLR). La règle finale spécifie le calcul de l’exposition de levier financier, la fréquence de calcul et les informations requises ^(E).

Au 30 septembre 2014, le SLR estimé de la Société mère était d’environ 5,5 %, ce qui dépasse le minimum de 5,0 % prescrit pour les sociétés de portefeuille bancaires. Le 1er octobre, Bank of America a terminé avec succès la fusion entre FIA ​​Card Services, National Association (FIA) et Bank of America, National Association (BANA) en ligne avec la stratégie de l’entreprise visant à rationaliser et à simplifier la structure de l’entité juridique. Le SLR pro-forma estimé pour l’entité combinée a atteint environ 6,8 % au 30 septembre 2014 ^(E).

Au 30 septembre 2014, l’excédent mondial des sources de liquidités a atteint 429 milliards USD comparé à 431 milliards USD au 30 juin 2014, et 359 milliards USD au 30 septembre 2013. Le délai de financement était de 38 mois au 30 septembre 2014, par rapport à 38 mois au 30 juin 2014 et 35 mois au 30 septembre 2013.

Les actifs en fin de période ont diminué de 47 milliards USD par rapport au trimestre précédent pour atteindre 2,1 trillions, reflétant principalement la poursuite des efforts pour optimiser le bilan de la liquidité et des réductions des risques de marché et de crédit. Au cours du trimestre, la Société a transféré certains prêts hypothécaires résidentiels moins liquides vers des titres de créance plus liquides. En outre, la Société a réduit les actifs liés aux actions et vendu 2,5 milliards USD de prêts en souffrance et improductifs au cours du troisième trimestre 2014.

Le nombre d’actions ordinaires émises et en circulation en fin de période était de 10,52 milliards au 30 septembre 2014 comme au 30 juin 2014 et de 10,68 milliards USD au 30 septembre 2013.

La valeur comptable par action^(F) était de 14,13 USD au 30 septembre 2014, par rapport à 14,24 USD au 30 juin 2014 et 13,62 USD au 30 septembre 2013. La valeur comptable par action était de 21,03 USD au 30 septembre 2014, par rapport à 21,16 USD au 30 juin 2014 et 20,50 USD au 30 septembre 2013.

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Remarques finales

(A) La base EPI (équivalent pleinement imposable) est une mesure financière non PCGR. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24 de ce communiqué de presse. Le revenu net d’intérêts sur une base PCGR était de 10,2 milliards USD, 10,0 milliards USD et 10,3 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement. Le revenu net des intérêts sur une base EPI excluant les ajustements liés au marché représente une mesure financière non PCGR. Les ajustements liés au marché de la dépense d’amortissement de prime et de l’inefficacité des couvertures étaient de (0,1) milliard USD, (0,2) milliard USD, et 0,0 milliard USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement. Le revenu total, net des charges d’intérêts, sur une base PCGR a atteint 21,2 milliards USD, 21,7 milliards USD et 21,5 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement.

(B) Le chiffre d’affaires des ventes et négociations, hors impact AVP net, est une mesure financière non PCGR. Les gains (pertes) AVP totalisaient 205 millions USD, 69 millions USD et (444) millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013. Durant le premier trimestre 2014, la gestion des dettes structurées et de l’AVP associé a été transférée des Autres postes aux Marchés mondiaux pour mieux aligner le risque de performance de ces instruments. Comme tel, l’AVP net représente le total combiné de l’AVP net sur les produits dérivés et les dettes structurées. Certains résultats de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

(C) Les charges autres que d’intérêts hors litiges sont une mesure financière non PCGR. Les charges autres que d’intérêts incluant les litiges étaient de 19,7 milliards USD, 18,5 milliards USD et 16,4 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement. Les frais autres que d’intérêt excluant les litiges étaient de 14,2 milliards USD, 14,6 milliards USD et 15,3 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement. Les frais de litiges étaient de 5,6 milliards USD, 4,0 milliards USD et 1,1 milliard USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013, respectivement.

(D) Les capitaux propres de 1re catégorie et les actifs pondérés en fonction des risques sur une base entièrement intégrée selon Bâle 3 sont des mesures financières non PCGR. Pour un rapprochement des mesures financières PCGR, voir la page 18 de ce communiqué. Les estimations sur une base entièrement intégrée en vertu de Bâle 3 de la société sont basées sur sa compréhension actuelle des approches normalisées et avancées des règles de Bâle 3, en présumant toutes les approbations du modèle réglementaire connexes, hormis la réduction potentielle des actifs pondérés en fonction des risques résultant du retrait de la surcharge de mesure du risque global. Ces estimations évolueront avec le temps à mesure que les activités de la société changent et en réponse à une réglementation ultérieure ou la clarification des organismes de réglementation des États-Unis. Les règles de Bâle 3 nécessitent l’accord des régulateurs bancaires sur certains modèles utilisés dans le cadre des calculs des actifs pondérés en fonction des risques. Si ces modèles ne sont pas approuvés, le ratio du capital de la société sera probablement influencé de manière négative, ce qui dans certains cas pourrait être significatif. La société continue d’évaluer l’impact potentiel des règles proposées et pense qu’elle sera en conformité avec toutes les règles définitives d’ici les dates d’effet proposées.

(E) Le ratio de levier supplémentaire est fondé sur des estimations de notre compréhension actuelle des règles récemment finalisées émises par les organismes de réglementation bancaire, le 3 Septembre 2014. Le ratio estimé est mesuré à l’aide du capital de première catégorie calculé en fin de trimestre sur une base de Bâle 3 entièrement intégrée. Le dénominateur est calculé comme la moyenne quotidienne de la somme des actifs figurant au bilan ainsi que la moyenne simple de certaines expositions hors-bilan à la fin de chaque mois durant le trimestre, y compris, entre autres éléments, les transactions de financement des dérivés et des titres. Le SLR de la Société mère est exprimé sur une base pro forma pour refléter la fusion du 1er octobre 2014 fusion entre FIA ​​Card Services, National Association (FIA) et Bank of America, National Association (BANA), notre filiale bancaire attitrée. Le SLR estimé de la Société mère tant pour FIA Card Services, National Association (FIA) que pour Bank of America, National Association (BANA) sur une base rapportée était supérieur à 6,0 % au 30 septembre 2014.

(F) La valeur comptable tangible par action ordinaire est une mesure financière non PCGR. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent cette mesure différemment. La valeur comptable par action était de 21,03 USD au 30 septembre 2014, par rapport à 21,16 USD au 30 juin 2014 et 20,50 USD au 30 septembre 2013. Pour de plus amples informations, se reporter aux pages 22-24 de ce communiqué de presse.

(G) Le revenu net des charges d’intérêts débiteurs, sur une base EPI, hors AVP et produits des placements en capitaux propres ; le revenu hors intérêt hors AVP et produits des placements en capitaux propres, sont des mesures financières non conformes aux PCGR. Le revenu total, net des charges d’intérêts, sur une base PCGR a atteint 21,4 milliards USD et 21,7 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014 et 30 septembre 2013, respectivement. Le revenu hors intérêts a atteint 11,0 milliards USD, et 11,3 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014 et 30 septembre 2013, respectivement. Les gains (pertes) AVP ont atteint 205 millions USD, et (444) millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014 et 30 septembre 2013, respectivement. Les gains des placement en actions ont atteint 9 millions USD et 1,2 milliard USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014 et 30 septembre 2013, respectivement.

(H) Les charges autres que d’intérêts Actifs patrimoniaux et Gestion hypothécaire (APGH), hors litiges, sont une mesure financière non PCGR. Les charges APGH autres que d’intérêts ont atteint 6,6 milliards USD, 5,2 milliards USD et 2,5 milliards USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014, et 30 septembre 2013, respectivement. Les frais de litige APGH ont atteint 5,3 milliards USD, 3,8 milliards USD et 336 millions USD durant les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014, et 30 septembre 2013, respectivement.

(H) Classifications selon Dealogic au 1er octobre 2014.

(J) Le chiffre d’affaires de ventes et de négociations FICC, hors AVP net, est une mesure financière non PCGR. L’AVP net inclus dans le chiffre d’affaires FICC était des gains (pertes) de 134 millions USD, 56 millions USD et (393) millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014, et 30 septembre 2013, respectivement.

(K) Le chiffre d’affaires de ventes et de négociations d’actions, hors AVP net, est une mesure financière non PCGR. Les gains (pertes) AVP s’élevaient à 71 millions USD, 13 millions USD et (51) millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014, et 30 septembre 2013, respectivement.

(L) Le revenu des Marchés mondiaux hors AVP net, le résultat net hors AVP net et l’impact, sur l’actif d’impôt différé, des ajustements du taux de l’impôt sur les sociétés au Royaume-Uni durant le troisième trimestre 2013, sont des mesures financières non conformes aux PCGR. Les gains (pertes) AVP ont atteint 205 millions USD, et (444) millions USD pour les trois mois clos les 30 septembre 2014 et 30 septembre 2013, respectivement. L’impact sur l’impôt différé actif de l’ajustement du taux de l’impôt sur les sociétés au Royaume-Uni a été de 1,1 milliard USD pour les trois mois clos le 30 septembre 2013.

Remarque : Le président-directeur général Brian Moynihan et le directeur financier Bruce Thomson commenteront les résultats du troisième trimestre 2014 à l’occasion d’une téléconférence à 8 h 30, heure de New York, aujourd’hui.

La présentation et le matériel de support sont accessibles en ligne sur le site Web des relations avec les investisseurs de Bank of America sur http://investor.bankofamerica.com. Pour une connexion à la téléconférence, en mode audio uniquement, composez le 1.877.200.4456 (États-Unis) ou le 1.785.424.1732 (international), puis le code de la conférence : 79795. Veuillez appeler 10 minutes avant le début de la téléconférence.

Une retransmission sera disponible via une webémission sur le site Internet « Investor Relations » de Bank of America. Une retransmission de la téléconférence sera également disponible à partir de midi, le 16 octobre jusqu’à minuit, le 24 octobre, en composant le 800.753.8546 (États-Unis) ou le 1.402.220.0685 (pour l’international).

Bank of America
Bank of AmericaBank of America est l’une des plus importantes institutions financières internationales, offrant aux particuliers, aux petites et moyennes entreprises ainsi qu’aux grandes sociétés une gamme complète de produits et services bancaires, d’investissement, de gestion d’actifs, ainsi que d’autres produits et services de gestion financière et des risques. La société offre un service de proximité inégalé aux États-Unis, desservant près de 48 millions de particuliers et de petites entreprises avec environ 4 900 agences bancaires de détail et environ 15 700 distributeurs automatiques de billets, ainsi qu’une banque en ligne primée servant 31 millions d’utilisateurs actifs et plus de 16 millions d’utilisateurs mobiles. Parmi l’une des plus importantes sociétés de gestion de patrimoine, Bank of America est un chef de file mondial des services bancaires aux entreprises et des services d’investissement et de négociations couvrant un large éventail de classes d’actifs et s’adressant aux sociétés, gouvernements, institutions et particuliers dans le monde entier. Bank of America offre à près de 3 millions de propriétaires de petites entreprises la meilleure assistance du secteur grâce à une gamme de produits et services en ligne innovants et faciles à utiliser. La société dessert sa clientèle via des opérations déployées dans plus de 40 pays. Les actions de Bank of America Corporation (NYSE : BAC) sont cotées à la bourse de New York.

Énoncés prospectifs
Bank of America et sa direction peuvent formuler certains énoncés constituant des « énoncés prospectifs » au sens de la loi Private Securities Litigation Reform Act de 1995. Ces énoncés sont identifiables par le fait qu’ils ne mentionnent pas strictement des faits historiques ou actuels. Ces énoncés prospectifs utilisent souvent des termes, tels que « prévoit », « cible », « s’attend à », « espère », « estime », « envisage », « planifie », « a pour objectif de », « pense », « continue » et d’autres expressions du même genre, ou des verbes au futur ou au conditionnel, tels que « devoir », « pouvoir » et « être ». Les énoncés prospectifs formulés représentent les attentes, plans ou prévisions actuels ou les prévisions de résultats et bénéfices futurs de Bank of America, ainsi que des conditions économiques et commerciales ultérieures et d’autres questions semblables. Ces énoncés ne garantissent pas les résultats et les performances futurs et impliquent certains risques, incertitudes et hypothèses difficiles à prévoir et souvent incontrôlables par Bank of America. Les résultats réels peuvent sensiblement différer des résultats exprimés ou impliqués par l’une de ces déclarations prospectives.

Il est conseillé au lecteur de ne pas trop se fier outre mesure aux énoncés prospectifs et de considérer tous les risques et impondérables mentionnés ci-dessous ainsi que ceux qu’analyse en détail la rubrique 1A, « Risk Factors » du rapport annuel 2013 de Bank of America sur formulaire 10-K, ainsi que tout autre document ultérieur déposé par Bank of America auprès de la Commission sur les valeurs immobilières : la capacité de la Société à résoudre les revendications de rachat sur déclarations et garanties déposées par les rehausseurs de crédit, les assureurs privés, et d’autres investisseurs, y compris à la suite de toute décision de justice défavorable, et le risque que la Société soit confrontée à des plaintes associées à la gestion hypothécaire, aux obligations, à la fraude, aux indemnités ou à d’autres réclamations initiées par une ou plusieurs compagnies sponsorisées par le gouvernement, par des rehausseurs de crédit, des assureurs privés et par d’autres investisseurs ; l’éventualité de ne pas obtenir l’approbation définitive par le tribunal des règlements négociés ; l’éventualité que la décision du tribunal concernant le règlement avec la banque BNY Mellon soit, entièrement ou partiellement, annulée en appel ; l’éventualité que surviennent des sinistres, des dommages-intérêts, des pénalités et amendes résultant de litiges en cours ou futurs et de procédures réglementaires ; l’éventualité que la Commission européenne impose des mesures correctives dans le cadre de son enquête sur les pratiques anticoncurrentielles de la Société ; le résultat possible des enquêtes et investigations concernant le LIBOR, et d’autres taux de référence et de change ; l’éventualité que surviennent des pertes sur déclarations et garanties futures en excédent du passif enregistré par la Société et de l’éventail estimé de pertes possibles pour les déclarations et garanties ; l’éventualité que la Société ne recouvre pas ses réclamations d’assurance hypothécaire ; l’éventualité que surviennent de futures réclamations, dommages-intérêts, pénalités et amendes en excédent du passif enregistré par la Société et de l’éventail estimé de pertes possibles pour les expositions de contentieux ; les incertitudes quant à la stabilité financière des juridictions étrangères, le risque que ces juridictions ne puissent pas rembourser leur dette souveraine et les contraintes associées aux marchés financiers, à l’euro et à la zone euro, et les expositions directes, indirectes et opérationnelles de la Société à de tels risques ; les incertitudes liées au calendrier et au rythme de la politique de la Réserve fédérale en matière de diminution de l’assouplissement quantitatif, et l’impact sur les taux d’intérêt mondiaux, les taux de change et les conditions économiques dans un certain nombre de pays ; la possibilité d’enquêtes ou d’investigations futures sur les activités de saisie en cours ou complétées ; l’éventualité que des retards inattendus dans les activités de saisie aient une incidence sur le taux de réductions des coûts liés à la gestion des défaillances ; les incertitudes concernant le calendrier et l’impact des exigences réglementaires (y compris celles de Bâle 3) en termes de capital et de liquidités ; l’impact négatif sur les activités et les bénéfices de la Société de la Réforme Dodd-Frank concernant Wall Street et du Consumer Protection Act, y compris suite à des interprétations et des réglementations supplémentaires et le succès des actions de la Société pour atténuer de tels impacts ; l’impact potentiel de la mise en œuvre et du respect de la règle Volcker ; l’impact potentiel de la future réglementation sur les produits dérivés ; les changements défavorables dans les notes de crédit attribuées à la Société par les principales agences de notation de crédit ; les estimations de juste valeur de certains actifs et passifs de la société ; des atteintes à la réputation de la Société pouvant résulter de la publicité négative, des amendes et des pénalités de violations de la réglementation et des procédures judiciaires ; l’aptitude de la Société à réaliser pleinement les économies de coûts et d’autres bénéfices anticipés dans le segment LAS, y compris en conformité avec les délais actuels anticipés ; une panne ou une défaillance opérationnelle ou de sécurité des systèmes ou des infrastructures de la Société, ou de tiers avec lesquels nous exerçons nos activités, y compris à la suite de cyber-attaques ; l’impact sur les activités de la Société, sur sa situation financière et ses résultats d’exploitation d’un contexte potentiel de taux d’intérêt plus élevés ; et d’autres problématiques similaires.

Ces déclarations prospectives ne valent qu’à la date de leur publication et Bank of America ne s’engage aucunement à actualiser l’une de ces déclarations prospectives afin de refléter l’effet des circonstances ou des événements survenus après la date de publication de la déclaration prospective.

BofA Global Capital Management Group LLC (BofA Global Capital Management) est une division de gestion d’actifs de Bank of America Corporation. Les entités BofA Global Capital Management offrent des services et des produits de gestion d’investissement aux investisseurs institutionnels et individuels.

Bank of America Merrill Lynch est le nom commercial des activités Services bancaires mondiaux et Marchés mondiaux de Bank of America Corporation. Les prêts, produits dérivés et autres activités bancaires commerciales sont effectués par des banques affiliées de Bank of America Corporation, y compris Bank of America, N.A., qui fait partie de la FDIC. Les activités liées aux titres, aux conseils financiers et autres activités bancaires d’investissement sont exercées par des banques d’investissement affiliées appartenant à Bank of America Corporation (« Banques d’investissement affiliées »), parmi lesquelles figurent Merrill Lynch, Pierce, Fenner & Smith Incorporated, qui sont des sociétés de courtage agréées membres de la FINRA et de la SIPC. Les produits d’investissement offerts par les Banques d’investissement affiliées : Ne sont pas assurés par la FDIC * Peuvent perdre de la valeur * Ne sont pas garantis par une banque. Les courtiers-négociants de Bank of America Corporation ne sont pas des banques, mais des entités légales séparées de leurs affiliés bancaires. Les obligations des courtiers-négociants sont distinctes de celles de leurs affiliés bancaires (sauf indication contraire explicite) et ces affiliés bancaires ne sont pas responsables des titres vendus, offerts ou recommandés par les courtiers-négociants. Ce qui précède vaut également pour d’autres sociétés affiliées qui ne sont pas des banques.

Pour d’autres actualités sur Bank of America, veuillez consulter la salle de presse à l’adresse http://newsroom.bankofamerica.com.

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(1) Les bénéfices (pertes) dilués par action ordinaire excluent tout instrument de capitaux propres dont l’effet est antidilutif sur les bénéfices par action. Aucune action ordinaire potentielle n’était dilutive au troisième trimestre 2014 en raison de la perte nette applicable aux actionnaires ordinaires.

(2) Le rendement des capitaux propres tangibles moyens et la valeur comptable tangible par action ordinaire sont des mesures financières non définies par les PCGR. Nous pensons que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de la Société. Il est possible que d’autres entreprises définissent ou calculent les mesures financières non PCGR différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24.

(3) Les ratios n’incluent pas les prêts comptabilisés selon l’option de juste valeur pendant la période. Les ratios des montants passés par pertes et profits sont annualisés pour la présentation trimestrielle.

(4) Les soldes ne comprennent pas les cartes de crédit en souffrance des particuliers, les prêts aux particuliers garantis par des biens immobiliers dont les remboursements sont assurés par la Federal Housing Administration et les accords de confirmation à long terme assurés par les individus (prêt immobilier pleinement assuré), et en général, les autres prêts aux particuliers et commerciaux non garantis par des biens immobiliers ; les prêts douteux rachetés, même si le client est en souffrance ; les prêts non performants détenus en vue de la vente ; les prêts non performants consentis en vertu de l’option de juste valeur et les prêts de restructuration de dette de débiteurs n’accumulant pas d’intérêt supprimés des portefeuilles douteux avant le 1er janvier 2010.

(5) Les ratios de capital réglementaires sont préliminaires.

(6) Le 1er janvier 2014, les normes de Bâle 3 ont pris effet, sous réserve des dispositions de transition principalement liées aux déductions de normalisation et aux ajustements affectant le capital en actions ordinaires de 1re catégorie et le capital de 1re catégorie. Nous avons présenté un bilan selon les normes de Bâle 1 (qui prenait en compte les règles définitives du risque de marché) au 30 septembre 2013. Les capitaux propres de 1re catégorie et les actifs pondérés en fonction des risques sur une base entièrement intégrée selon Bâle 3 sont des mesures financières non PCGR. Pour les rapprochements aux mesures financières PCGR, voir ce qui précède. Les estimations sur une base entièrement intégrée en vertu de Bâle 3 de la société sont basées sur sa compréhension actuelle des approches normalisées et avancées des règles de Bâle 3, en présumant toutes les approbations du modèle réglementaire connexes, hormis la réduction potentielle des actifs pondérés en fonction des risques résultant du retrait de la surcharge de mesure du risque global. Les règles de Bâle 3 nécessitent l’accord des régulateurs bancaires sur certains modèles utilisés dans le cadre des calculs des actifs pondérés en fonction des risques. Si ces modèles ne sont pas approuvés, le ratio du capital de la société sera probablement influencé de manière négative, ce qui dans certains cas pourrait être significatif.

(7) Le ratio de capital-actions ordinaire de 1re catégorie est égal aux capitaux propres de 1re catégorie à l’exclusion des actions privilégiées, titres fiduciaires privilégiés, titres hybrides et participations minoritaires, divisés par les actifs pondérés en fonction du risque.

(8) Le ratio des capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires est égal aux capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires en fin de période, divisés par les immobilisations corporelles en fin de période. Les capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires sont équivalents aux capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires en fin de période, divisés par les immobilisations corporelles de fin de période. Les capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires et les immobilisations corporelles sont des mesures financières non PCGR. Nous pensons que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de la Société. Il est possible que d’autres entreprises définissent ou calculent les mesures financières non PCGR différemment. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24.

s/o = sans objet

n/s = non significatif

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

(1) La base d’imposition comparable est une mesure de performance qu’utilise la direction dans l’exploitation de la société et qu’elle juge de nature à donner aux investisseurs une image plus précise de la marge d’intérêt à des fins de comparaison.

⁽²⁾ Le rendement du capital alloué moyen est calculé en divisant le résultat net ajusté en fonction du coût des crédits sur fonds et revenus et certaines charges liées aux immobilisations incorporelles, par le capital alloué moyen. Le capital alloué et les rendements connexes sont des mesures financières non PCGR. La Société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de ses segments. Il est possible que d’autres entreprises définissent ou calculent ces mesures différemment. (Voir Pièce documentaire A : Rapprochements non PCGR - Rapprochements aux mesures financières PCGR, voir pages 22 à 24)

n/s = non significatif

Certains montants de la période précédente ont été reclassés parmi les segments pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

(1) La base d’imposition comparable est une mesure de performance qu’utilise la direction dans l’exploitation de la société et qu’elle juge de nature à donner aux investisseurs une image plus précise de la marge d’intérêt à des fins de comparaison.

⁽²⁾ Le rendement du capital alloué moyen est calculé en divisant le résultat net ajusté en fonction du coût des crédits sur fonds et revenus et certaines charges liées aux immobilisations incorporelles, par le capital alloué moyen. Le capital alloué et les rendements connexes sont des mesures financières non PCGR. La Société considère que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire des résultats de ses segments. Il est possible que d’autres entreprises définissent ou calculent ces mesures différemment. (Voir Pièce documentaire A : Rapprochements non PCGR - Rapprochements aux mesures financières PCGR, voir pages 22 à 24)

n/s = non significatif

Certains montants de la période précédente ont été reclassés parmi les segments pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

(1) La base EPI est une mesure financière non définie par les PCGR. La base EPI est une mesure de performance qu’utilise la direction dans l’exploitation de la société et qu’elle juge de nature à donner aux investisseurs une image plus précise de la marge d’intérêt à des fins de comparaison. Pour un rapprochement avec les mesures financières PCGR, voir les pages 22 à 24.

(2) À partir de 2014, les dépôts porteurs d’ intérêts placés dans la Réserve fédérale et certaines banques centrales non américaines sont inclus dans les actifs productifs. Certains résultats de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.

La Société évalue ses activités à l’aide d’une base équivalente pleinement imposable, une mesure financière non PCGR. La Société estime que la gestion des activités avec un revenu net des intérêts sur une base équivalente pleinement imposable donne une idée plus précise de la marge d’intérêts à des fins de comparaison. Le chiffre d’affaires total, net des charges d’intérêts, inclut le revenu net des intérêts sur une base équivalente pleinement imposable et le revenu autre que d’intérêts. La Société considère les ratios et les analyses connexes (à savoir, les ratios d’efficacité et le rendement net d’intérêt) sur une base équivalente pleinement imposable. Afin de dériver la base équivalente pleinement imposable, le revenu net des intérêts est ajusté pour refléter le revenu non imposable sur une base comparable hors taxes avec une augmentation correspondante de la charge d’impôt sur le revenu. Dans le cadre de ce calcul, la Société utilise le taux d’imposition fédéral prévu par la loi de 35 %. Cette mesure garantit la comparabilité du revenu net des intérêts émanant des sources imposables et non imposables. Le ratio d’efficacité mesure les coûts consacrés pour générer un dollar de chiffre d’affaires, et le rendement net d’intérêt mesure les points de base perçus par la Société sur le coût des fonds.

La Société évalue également ses activités en fonction des ratios suivants qui prennent en compte les fonds propres tangibles, une mesure financière non PCGR. Les fonds propres tangibles représentent le montant rajusté des fonds propres des actionnaires ou des capitaux propres attribuables aux actionnaires ordinaires, qui a été réduit par les écarts d’acquisition et les actifs incorporels (à l’exception des droits de gestion hypothécaires), déduction faite des passifs des impôts différés afférents. Le rendement des capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires ordinaires mesure la contribution aux résultats de la Société sous forme de pourcentage des capitaux propres moyens rajustés attribuables aux actionnaires ordinaires. Le ratio des capitaux propres tangibles attribuables aux actionnaires ordinaires représente les capitaux propres ajustés attribuables aux actionnaires ordinaires en fin de période, divisés par le total des actifs moins les écarts d’acquisition et des actifs incorporels (hors droits de gestion hypothécaires), déduction faite des passifs des impôts différés afférents. Le rendement des capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires mesure la contribution aux résultats de la Société sous forme d’un pourcentage des capitaux propres moyens globaux ajustés attribuables aux actionnaires. Le ratio des fonds propres tangibles représente le total des capitaux propres ajustés attribuables aux actionnaires en fin de période, divisé par le total des actifs moins les écarts d’acquisition et les actifs incorporels (hors droits de gestion hypothécaire), déduction faite des passifs des impôts différés afférents. La valeur comptable tangible par action ordinaire représente les capitaux propres ajustés attribuables aux actionnaires ordinaires divisés par les actions ordinaires en circulation en fin de période. Ces mesures servent à évaluer l’utilisation des actions par la Société. De plus, les modèles de rentabilité, relationnels et d’investissements ont tous recours au rendement sur les capitaux propres tangibles moyens attribuables aux actionnaires comme mesures clés pour soutenir nos objectifs de croissance globaux.

En outre, la Société évalue ses résultats par segment d’exploitation sur la base des mesures qui utilisent le capital alloué moyen. Pour allouer le capital à ses segments d’exploitation, la Société utilise une méthodologie qui considère l’effet des besoins en capital réglementaire en plus des modèles de capital internes fondés sur le risque. Les modèles internes du capital à risque de la Société utilisent une méthodologie ajustée en fonction du risque intégrant les éléments de risque de crédit, du marché, des taux d’intérêt, commercial et opérationnel de chaque segment. Le rendement du capital alloué moyen est calculé en divisant le résultat net ajusté en fonction du coût des crédits sur fonds et revenus et certaines charges liées aux immobilisations incorporelles, par le capital moyen alloué. Le capital alloué, le capital et les rendements connexes sont des mesures financières non PCGR. Le capital alloué est sujet à des modifications périodiques et la société procède à des ajustements en fonction de multiples considérations, dont, notamment et sans limitation, les expositions et le profil de risque de ses segments d’activité, les contraintes réglementaires et les plans stratégiques. Dans le cadre de ce processus, durant le premier trimestre 2014, la Société a ajusté le montant du capital alloué à ses segments d’activité. Ce changement a engendré une réduction du capital non alloué qui se reflète dans le segment Autres postes, ainsi qu’une augmentation globale du montant du capital alloué aux segments d’activité. Les périodes antérieures n’ont pas été affectées.

Les tableaux ci-dessous et aux pages 23 à 24 présentent les rapprochements de ces mesures non-PCGR avec les mesures financières définies par les PCGR pour les neuf mois clos les 30 septembre 2014 et 2013 et les trois mois clos les 30 septembre 2014, 30 juin 2014 et 30 septembre 2013. La Société pense que l’utilisation de ces mesures financières non PCGR permet une évaluation plus claire de ses résultats. Il se peut que d’autres entreprises définissent ou calculent leurs données financières supplémentaires différemment.

Certains montants de la période précédente ont été reclassés pour correspondre à la présentation de la période actuelle.