Selon une étude de Damovo Global Services : 86 % des multinationales n’ont pas un contrôle total de leur infrastructure voix malgré le coût élevé des immobilisations
Une nouvelle étude européenne commandée par Damovo Global Services, un chef de file de la fourniture de solutions et services de communications destinés aux entreprises, a révélé que 86 % des multinationales
Une nouvelle étude européenne commandée par Damovo Global Services, un chef de file de la fourniture de solutions et services de communications destinés aux entreprises, a révélé que 86 % des multinationales n’avaient pas un contrôle total de leur infrastructure voix. Cela malgré un coût quotidien moyen de 200 000 € pour l’entreprise si les communications vocales venaient à ne plus fonctionner.
Des multinationales du Royaume-Uni, d’Allemagne, de France, de Belgique et de Suisse ont pris part à l’étude, effectuée par le cabinet de recherche indépendant Coleman Parkes.
Près de neuf organisations sur dix ne bénéficient pas d’une visibilité et d’une gestion complètes de la voix en dépit du fait que 81 % des multinationales aient affirmé que la voix était essentielle et que 35 % aient admis qu’elles subiraient un impact grave ou fatal pour l’entreprise si leur système de communications vocales venait à tomber en panne. Les principales conséquences de cela sont : une perte de productivité (57 %), une perte de clients (55 %), une perte de revenus (47 %) et une atteinte à la réputation (40 %).
Plus de la moitié des multinationales (57 %) prévoient des mises à niveau de leurs systèmes vocaux dans les trois à cinq prochaines années. Les difficultés potentielles incluent : la complexité liée à la mise à niveau de multiples technologies vocales sur différents sites, la menace d’interruptions de service et le manque d’expertise en interne.
Mary Bradshaw, directeur général de Damovo Global Services, a déclaré : « Les résultats de l’étude incitent fortement à la réflexion. Nous avons toujours compris l’importance de la voix. Cette étude ne fait que valider cette idée car 81 % des interrogés considèrent la voix comme un élément critique pour leur organisation. Ce qui est stupéfiant, c’est que seulement 14 % ont un contrôle total de cette fonction critique. C’est un problème commercial sérieux. Les organisations s’exposent à la perte potentielle de clients et de revenus.
« Alors que bon nombre d’organisations internationales gèrent de manière centrale leur infrastructure voix, il leur manque toujours un contrôle total. Cela est compréhensible. La voix est complexe à gérer, en particulier à une échelle mondiale sur de multiples plateformes technologiques.
« Cette étude met également en lumière les préoccupations des multinationales concernant à la fois le choix de la bonne stratégie voix et la minimisation du risque et des perturbations de l’activité lors des mises à niveau. Les organisations peuvent atténuer les risques en adoptant une approche échelonnée des mises à niveau technologiques, en travaillant avec un partenaire qui connaît les communications vocales et les exigences variables des différents territoires.
« Chez Damovo, nous pensons que cela ne consiste pas seulement à soutenir l’entreprise, mais aussi à comprendre les objectifs et difficultés de l’organisation. Ce n’est qu’à ce moment-là que nous développons la bonne stratégie et la mettons en œuvre à un rythme confortable. »
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