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Une analyse des résultats après progression de la maladie dans le cadre de l'étude MM-015 a été présentée lors de la 54e réunion annuelle de l'American Society of Hematology

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Celgene International Sàrl (NASDAQ : CELG) a annoncé aujourd'hui les résultats issus d'une analyse des résultats après progression de la maladie, constatés dans le cadre de l'étude MM-015, un essai clinique de phase

Celgene International Sàrl (NASDAQ : CELG) a annoncé aujourd'hui les résultats issus d'une analyse des résultats après progression de la maladie, constatés dans le cadre de l'étude MM-015, un essai clinique de phase III portant sur le traitement continu au REVLIMID® (lénalidomide), en association avec le melphalan et la prednisone (MPR-R, n=152), comparé à un cycle fixe de MPR suivi d'un placébo (n=153) ou à un traitement au melphalan et prednisone suivi d'un placébo (MP, n-154), chez des patients atteints d'un myélome multiple récemment diagnostiqué.

L'analyse définitive de cette étude a déjà démontré une amélioration de la survie sans progression de la maladie (SSP) chez les patients traités par MPR-R par rapport à ceux traités par MP (31 mois contre 13 mois ; P < 0,001).

Dans cette analyse après progression, les patients atteints d'une maladie évolutive avaient la possibilité de participer à une phase d'extension ouverte, recevant du lénalidomide (25 mg par jour les jours 1 à 21 d'un cycle de 28 jours) avec ou sans dexaméthasone (40 mg par jour les jours 1 à 4, 9 à 12 et 17 à 20 d'un cycle de 28 jours) ou une autre thérapie antimyélome hors du protocole. Davantage de patients du groupe MP (82 %, soit 126 patients sur 154) et du groupe MPR (77 %, soit 118 patients sur 153) ont reçu un traitement de deuxième intention que du groupe MPR-R (53 %, soit 81 patients sur 152). Dans cette analyse, les patients du groupe traité par MPR-R recevant une thérapie de seconde intention ont présenté des délais plus courts avant progression de la maladie, que ceux de l'étude initiale (20 mois contre 29 mois), tandis que les patients traités par MPR et MP ont présenté des délais identiques avant progression (14 mois contre 15 mois, et 14 mois contre 14 mois, respectivement). La maintenance avant traitement au lénalidomide dans la thérapie de première intention n'a pas semblé stimuler de rechutes résistant au traitement, puisque le délai entre la thérapie de seconde et de troisième intention était similaire pour tous les groupes : MPR-R : 14 mois ; MPR : 16 mois ; MP : 15 mois.

Les patients traités en seconde intention avec des thérapies à base de lénalidomide ont présenté des délais plus longs avant progression de la maladie (MPR-R : 18 mois ; MPR : 23 mois ; MP : 18 mois) que ceux traités avec des thérapies à base de bortézomib (MPR-R : 14 mois ; MPR : 16 mois ; MP : 12 mois) ou avec une autre thérapie (MPR-R : 6 mois ; MPR : 4 mois ; MP : 6 mois).

Parmi les effets indésirables hématologiques de grade 3/4, nouvellement survenus ou aggravés, rapportés par les patients traités en seconde intention avec du lénalidomide associé à la dexaméthasone figurent la neutropénie (MPR-R, 5 % ; MPR, 11 % ; MP, 24 %), la thrombocytopénie (MPR-R, 14 % ; MPR, 8 % ; MP, 8 %) et l'anémie (MPR-R, 5 % ; MPR, 2 % ; MP, 8 %). Parmi les effets indésirables non hématologiques de grade 3/4, nouvellement survenus ou aggravés, figurent la fatigue (MPR-R, 10 % ; MPR, 2 % ; MP, 4 %), la thrombose veineuse profonde (MPR-R, 5 % ; MPR, 2 % ; MP, 3 %) et les infections (MPR-R, 5 % ; MPR, 0 % ; MP, 5 %).

Ces données sont issues d'un essai expérimental. REVLIMID® n'est pas approuvé pour le traitement des myélomes multiples nouvellement diagnostiqués.

À propos de REVLIMID®

REVLIMID est approuvé en association avec la dexaméthasone pour le traitement des patients atteints d'un myélome multiple ayant bénéficié au préalable d'au moins un autre traitement dans près de 70 pays d'Europe, du continent américain, du Moyen-Orient et d'Asie, ainsi que pour le traitement des patients dont la maladie a progressé à l'issue d'un traitement en Australie et en Nouvelle-Zélande.

REVLIMID est également approuvé aux États-Unis, au Canada, en Suisse, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans plusieurs pays d'Amérique latine, ainsi qu'en Malaisie et en Israël, dans les cas d'anémie dépendante des transfusions due à un syndrome myélodysplasique de risque faible ou intermédiaire 1 associé à une délétion 5q avec ou sans anomalies cytogénétiques. Des demandes d'autorisation de mise sur le marché sont actuellement en cours d'évaluation dans plusieurs autres pays.

Depuis 1998, Celgene est la société pionnière dans la création d'environnements dans lesquels les patients peuvent bénéficier en toute sécurité de nos traitements modificateurs de la maladie. De ce fait, des centaines de milliers de patients à travers le monde ont eu accès aux bénéfices cliniques de nos traitements par le biais de nos programmes de gestion du risque basé sur la performance, notamment S.T.E.P.S.®, RevAssist® et RevMate®, qui constituent la base de notre engagement en faveur de la sécurité des patients.

Informations réglementaires pour Revlimid aux États-Unis

REVLIMID® (lénalidomide) est approuvé, en combinaison avec la dexaméthasone, pour le traitement des patients atteints d'un myélome multiple (MM) ayant bénéficié d'au moins un traitement préalable.

REVLIMID® (lénalidomide) est indiqué pour le traitement des patients atteints d'anémie avec dépendance transfusionnelle due à des syndromes myélodysplasiques de risque faible à intermédiaire 1 associés à une délétion 5q avec ou sans autres anomalies cytogénétiques.

Informations importantes de sécurité

AVERTISSEMENT : RISQUE POUR LE FOETUS, TOXICITÉ HÉMATOLOGIQUE, THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE ET EMBOLIE PULMONAIRE

Ne pas utiliser REVLIMID pendant la grossesse. Des anomalies des membres ont été signalées à la suite du traitement par lénalidomide, un analogue du thalidomide, dans une étude développementale sur les singes. Le thalidomide est un tératogène humain connu qui provoque de graves malformations congénitales susceptibles d'être fatales. La prise de lénalidomide en cours de grossesse peut provoquer des malformations congénitales, voire entraîner la mort du foetus en développement. Les femmes en âge de procréer doivent obtenir deux tests de grossesse négatifs avant de commencer un traitement par REVLIMID. Elles doivent utiliser deux formes de contraception ou s'abstenir en permanence de tout rapport hétérosexuel pendant le traitement par REVLIMID et pendant les quatre semaines qui suivent. Pour éviter l'exposition du foetus au lénalidomide, REVLIMID n'est disponible que dans le cadre d'un programme de distribution restrictif spécifique appelé « RevAssist® ».

Des informations à propos du programme RevAssist sont disponibles à l'adresse Internet www.REVLIMID.com ou en appelant le fabricant, au numéro vert suivant : 1-888-423-5436.

TOXICITÉ HÉMATOLOGIQUE (NEUTROPÉNIE ET THROMBOCYTOPÉNIE)

REVLIMID peut provoquer une neutropénie et une thrombocytopénie graves. Un retard/une réduction de dose a été requis(e) chez 80 % des patients souffrant de syndromes myélodysplasiques à délétion 5q au cours de l'étude principale. Un(e) deuxième retard/réduction de dose a été requis(e) chez 34 % des patients. Une toxicité hématologique de grade 3 ou 4 a été observée chez 80 % des patients participant à l'étude. Une numération globulaire complète hebdomadaire est requise chez les patients traités pour des syndromes myélodysplasiques à délétion 5q pendant les 8 premières semaines de la thérapie et au moins une fois par mois par la suite. Une interruption et/ou réduction de dose peut être nécessaire chez certains patients. Certains patients peuvent nécessiter un apport de produits sanguins ou de facteurs de croissance (voir DOSAGE et ADMINISTRATION).

THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE ET EMBOLIE PULMONAIRE

REVLIMID présente un risque considérablement accru et démontré de thrombose veineuse profonde (TVP) et d'embolie pulmonaire (EP) chez les patients atteints d'un myélome multiple traités au REVLIMID et à la dexaméthasone. Il est recommandé aux patients et aux médecins de surveiller l'apparition de tout signe ou symptôme de thrombo-embolie. Les patients doivent être avertis de la nécessité de s'adresser à un médecin en cas d'apparition de symptômes tels qu'un essoufflement, une douleur thoracique ou l'apparition d'un oedème au niveau du bras ou de la jambe. L'effet de la prescription d'une thérapie prophylactique anticoagulante ou inhibant l'agrégation plaquettaire associée au REVLIMID afin d'atténuer le risque d'accident veineux thrombo-embolique n'est pas connu. La prudence est de mise avant l'adoption de mesures prophylactiques et un examen préalable des facteurs de risque sous-jacents de chaque patient est requis.

CONTRE-INDICATIONS :

Grossesse, catégorie X :

  • Le lénalidomide est contre-indiqué chez les femmes enceintes et chez les femmes susceptibles de le devenir. Les femmes en âge de procréer peuvent être traitées au lénalidomide, à condition que des précautions adéquates soient prises afin d'éviter toute grossesse.

Réactions allergiques :

  • REVLIMID est contre-indiqué chez les patients ayant démontré une hypersensibilité (par exemple, œdème de Quincke, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique) au lénalidomide.

MISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONS :

Risque pour le fœtus :

  • REVLIMID peut nuire au fœtus lorsqu'il est administré à une femme enceinte.
  • REVLIMID est un analogue du thalidomide, un tératogène humain connu qui provoque des malformations congénitales susceptibles d'être fatales. Une étude sur le développement embryofœtal de primates non humains indique que le lénalidomide entraîne des malformations chez la progéniture des singes femelles ayant été traitées pendant la grossesse, semblables aux malformations congénitales observées chez les humains à la suite d'une exposition au thalidomide pendant la grossesse. Si le REVLIMID est utilisé pendant la grossesse, il est susceptible de provoquer des malformations congénitales ou des décès chez un nouveau-né en cours de développement.
  • Il est recommandé aux patientes en âge de procréer d'éviter toute grossesse pendant un traitement par REVLIMID. Deux méthodes de contraception efficaces doivent être utilisées par les patientes en âge de procréer pendant au moins 4 semaines avant de commencer une thérapie au REVLIMID, pendant le traitement, au cours des interruptions thérapeutiques et pendant au moins 4 semaines après la fin du traitement.
  • Patients hommes : les données cliniques ont démontré la présence du lénalidomide dans le sperme humain. Les patients hommes prenant le REVLIMID ne doivent pas faire don de leur sperme. Les hommes traités au REVLIMID doivent toujours utiliser un préservatif en latex lors de tout rapport sexuel avec une femme en âge de procréer, même s'ils ont subi une vasectomie réussie.

Risques génésiques et conditions spécifiques de prescription (programme RevAssist) :

  • Compte tenu de cette toxicité potentielle et afin d'éviter toute exposition fœtale, REVLIMID n'est disponible que dans le cadre d'un programme de distribution restrictif baptisé « RevAssist ». Les prescripteurs et pharmaciens inscrits à ce programme peuvent prescrire et délivrer le produit aux patients inscrits qui satisfont à toutes les conditions du programme RevAssist.

Toxicité hématologique – myélome multiple :

  • REVLIMID peut provoquer une neutropénie et une thrombocytopénie graves.
  • Une numération globulaire complète est requise toutes les 2 semaines, pendant les 12 premières semaines, pour les patients traités par REVLIMID pour le myélome multiple, puis mensuellement par la suite.
  • Dans le cadre des études communes portant sur le myélome multiple, les toxicités hématologiques de grades 3 et 4 étaient plus fréquentes chez les patients traités avec une combinaison thérapeutique de REVLIMID et de dexaméthasone que chez ceux traités uniquement par dexaméthasone.
  • Une interruption et/ou réduction de dose peut être nécessaire chez certains patients.

Thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire :

  • Des thrombo-embolies veineuses (principalement thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire) ont été observées chez des patients atteints de myélome multiple traités par une polythérapie au lénalidomide et chez des patients atteints de syndrome myélodysplasique traités par une monothérapie au lénalidomide.

Réactions allergiques :

  • Des œdèmes de Quincke et des réactions dermatologiques graves, notamment le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et le syndrome de Lyell (SL), ont été signalés. Ces évènements peuvent être mortels. Les patients qui présentent des antécédents d'éruptions cutanées de grade 4 associées au traitement au thalidomide ne doivent pas être traités par REVLIMID. L'interruption ou la suspension du traitement par REVLIMID doit être envisagée en cas d'éruptions cutanées de grades 2 et 3. Le traitement doit être interrompu en cas d'œdème de Quincke, d'éruptions cutanées de grade 4, de dermatose exfoliative ou bulleuse, ou si l'on soupçonne un syndrome de Stevens-Johnson ou un syndrome de Lyell, et ne doit pas être repris, même après la disparition de ces réactions.
  • Les gélules de REVLIMID contiennent du lactose. Une analyse des risques et des avantages d'un traitement au REVLIMID doit être réalisée chez les patients intolérants au lactose.

Syndrome de lyse tumorale :

  • Des cas mortels de syndrome de lyse tumorale ont été signalés en cours du traitement sous lénalidomide. Les patients à risque de syndrome de lyse tumorale sont ceux qui présentent une masse tumorale élevée avant le traitement. Ces patients nécessitent une surveillance rapprochée et des précautions appropriées.

Réaction de flambée tumorale :

  • La réaction de flambée tumorale s'est produite pendant l'usage expérimental du lénalidomide pour traiter la leucémie lymphoïde chronique (LLC) et le lymphome ; elle se caractérise par un gonflement et une sensibilité des ganglions lymphatiques, une fièvre légère, des douleurs et des éruptions cutanées. Le traitement de la leucémie lymphoïde chronique ou du lymphome par le lénalidomide en dehors d'un essai clinique correctement surveillé est déconseillé.

Hépatotoxicité :

  • Des cas d'anomalies biologiques transitoires du foie (principalement des transaminases) ont été signalés chez certains patients traités au lénalidomide. Le traitement au lénalidomide doit être interrompu et redémarré une fois que les niveaux retombent à leur valeur de base. Des réexpositions probantes sans récurrence d'élévation biologique du foie ont été signalées chez certains patients.

Autres malignités principales

  • Les patients atteints de myélome multiple traités au lénalidomide pendant les études, comprenant du melphalan et une transplantation de cellules souches, présentaient une incidence élevée d'autres malignités principales, particulièrement de leucémie aiguë myéloblastique (LAM) et de lymphome hodgkinien, par rapport aux patients des groupes de contrôle ayant suivi un traitement similaire, mais sans lénalidomide. Surveillez le développement de malignités secondaires chez les patients. Prenez en considération l'avantage potentiel du lénalidomide et le risque de malignités secondaires lorsqu'un traitement au lénalidomide est envisagé.

INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES :

  • Une surveillance périodique des concentrations plasmatiques de digoxine, conformément à un jugement clinique et en fonction des pratiques cliniques standards chez les patients recevant ce médicament, est recommandée en cours d'administration de REVLIMID.
  • On ignore s'il existe une interaction entre la dexaméthasone et la warfarine. La surveillance étroite des PT et de l'INR (rapport normalisé international) est recommandée chez les patients atteints de myélome multiple recevant simultanément de la warfarine.
  • Les agents érythropoïétiques, ou d'autres agents susceptibles d'augmenter le risque de thrombose, tels des thérapies à base d'œstrogène, doivent être utilisés avec prudence chez les patients atteints de myélome multiple recevant du lénalidomide associé à la dexaméthasone.

UTILISATION CHEZ DES POPULATIONS PARTICULIERES :

Mères allaitantes :

-- L'absence de passage de REVLIMID dans le lait maternel n'a pas été démontrée

  • Étant donné les effets indésirables potentiels chez le nouveau-né, il est nécessaire de se prononcer en faveur de l'interruption de l'allaitement ou du médicament, en prenant en compte l'importance du traitement pour la mère.

Utilisation gériatrique :

  • Les patients âgés étant plus enclins aux insuffisances rénales, la posologie doit faire l'objet d'une attention particulière et la fonction rénale doit être surveillée.

Insuffisance rénale :

  • REVLIMID étant principalement excrété sous forme non modifiée par voie rénale, il est recommandé d'adapter la dose initiale de REVLIMID afin d'obtenir une exposition appropriée au médicament chez les patients atteints d'une insuffisance rénale modérée (CLcr 30-60 mL/min) ou grave (CLcr < 30 mL/min), ainsi que chez les patients sous dialyse.

EFFETS INDÉSIRABLES :

Myélome multiple

  • Dans le groupe traité par REVLIMID/dexaméthasone, 269 patients (76 %) ont fait l'objet d'au moins une interruption avec ou sans réduction de dose de REVLIMID, contre 199 patients (57 %) dans le groupe traité par placebo/dexaméthasone.
  • Parmi les patients ayant fait l'objet d'une interruption avec ou sans réduction de dose, soit 76 % (269 patients sur 353) contre 57 % (199 patients sur 350), 50 % des patients du groupe traité par REVLIMID/dexaméthasone a fait l'objet d'au moins une autre interruption avec ou sans réduction de dose, contre 21 % de ceux du groupe traité par placebo/dexaméthasone.
  • La plupart des effets indésirables et des effets indésirables de grades 3 et 4 étaient plus fréquents chez les patients atteints de myélome multiple ayant reçu une polythérapie REVLIMID/dexaméthasone, en comparaison avec le groupe traité par placebo/dexaméthasone.
  • La neutropénie de grade 3/4 est survenue chez 33,4 % des patients du premier groupe, contre 3,4 % chez ceux du second; la neutropénie fébrile est survenue pour 2,3 % contre 0 %, respectivement.
  • La thrombose veineuse profonde a été enregistrée comme réaction médicamenteuse indésirable grave (7,4 %) ou de grade 3/4 (8,2 %) dans le premier groupe de patients, contre respectivement 3,1 % et 3,4 % dans le second. Les interruptions de traitement causées par la TVP ont affiché des niveaux comparables dans ces deux groupes.
  • L'embolie pulmonaire (EP) a été constatée comme réaction médicamenteuse indésirable grave (3,7 %) ou de grade 3/4 (4 %) chez les patients du premier groupe, contre respectivement 0,9 % et 0 % chez ceux du second. Les interruptions de traitement causées par l'embolie pulmonaire ont affiché des niveaux comparables dans les deux groupes.
  • Les effets indésirables signalés chez ≥15 % des patients atteints de myélome multiple (groupe de patients traités par REVLIMID/dexaméthasone contre ceux traités par dexaméthasone/placebo) sont les suivants : fatigue (44 % contre 42 %), neutropénie (42 % contre 6 %), constipation (41 % contre 21 %), diarrhée (39 % contre 27 %), crampes musculaires (33 % contre 21 %), anémie (31 % contre 24 %), pyrexie (28 % contre 23 %), œdème périphérique (26 % contre 21 %), nausées (26 % contre 21 %), douleurs dorsales (26 % contre 19 %), infection des voies respiratoires supérieures (25 % contre 16 %), dyspnée (24 % contre 17 %), étourdissements (23 % contre 17 %), thrombocytopénie (22 % contre 11 %), éruptions cutanées (21 % contre 9 %), tremblements (21 % contre 7 %), perte de poids (20 % contre 15 %), rhinopharyngite (18 % contre 9 %), vision trouble (17 % contre 11 %), anorexie (16 % contre 10 %), et dysgueusie (15 % contre 10 %).

Syndromes myélodysplasiques

  • La thrombocytopénie (61,5 %, soit 91 patients sur 148) et la neutropénie (58,8 %, soit 87 patients sur 148) sont les effets indésirables les plus fréquemment observés dans la population atteinte de syndromes myélodysplasiques à délétion 5q.
  • Les effets indésirables de grade 3 et 4 constatés chez ≥ 5 % des patients atteints de SMD à délétion 5q sont la neutropénie (53 %), la thrombocytopénie (50 %), la pneumonie (7 %), l'éruption cutanée (7 %), l'anémie (6 %), la leucopénie (5 %), la fatigue (5 %), la dyspnée (5 %), et les douleurs dorsales (5 %).
  • Les autres effets indésirables signalés chez ≥ 15 % des patients atteints de SMD à délétion 5q (REVLIMID) sont les suivants : diarrhée (49 %), prurit (42 %), éruptions cutanées (36 %), fatigue (31 %), constipation (24 %), nausées (24 %), rhinopharyngite (23 %), douleurs articulaires (22 %), pyrexie (21 %), douleurs dorsales (21 %), œdème périphérique (20 %), toux (20 %), étourdissements (20 %), céphalées (20 %), crampes musculaires (18 %), dyspnée (17 %), pharyngite (16 %), épistaxis (15 %), asthénie (15 %) et infection des voies respiratoires supérieures (15 %).

DOSAGE ET ADMINISTRATION :

  • Le traitement est maintenu ou modifié en fonction des résultats des examens cliniques et de laboratoire. Des modifications posologiques sont recommandées en cas de neutropénie ou de thrombocytopénie de grade 3 ou 4, ainsi que de toute autre toxicité de grade 3 ou 4 considérée comme liée au REVLIMID.
  • Pour les autres toxicités de grade 3 ou 4 considérées comme liées au REVLIMID, il est recommandé d'interrompre le traitement et de le reprendre au dosage inférieur, une fois la toxicité revenue à un grade inférieur ou égal à 2.

Veuillez consulter les informations de prescription complètes, y compris les encadrés sur les MISES EN GARDE, les CONTRE-INDICATIONS, les MISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONS et les EFFETS INDÉSIRABLES.

À propos de Celgene International Sàrl

Celgene International Sàrl, située à Boudry dans le Canton de Neuchâtel, en Suisse, est une filiale à part entière de Celgene Corporation et son siège international. Celgene Corporation, basée à Summit, dans le New Jersey, est une société pharmaceutique internationale intégrée spécialisée dans la découverte, le développement et la commercialisation de traitements novateurs de lutte contre le cancer et les maladies inflammatoires au moyen de la régulation génique et protéinique. Pour de plus amples renseignements, visitez le site Internet de la société à l'adresse www.celgene.com.

Énoncés prospectifs

Ce communiqué de presse contient des énoncés prospectifs qui relatent généralement des faits non historiques. Les énoncés prospectifs peuvent être identifiés par l'utilisation des termes « s'attend à », « anticipe », « pense que », « envisage », « estime », « prévoit », « perspectives » et par l'emploi d'expressions similaires. Les énoncés prospectifs s'appuient sur les projets, estimations, suppositions et projections actuels de la direction et ne sont valables qu'à la date de leur formulation. Nous n'assumons aucune obligation de mise à jour d'un quelconque énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouvelles informations ou d'événements futurs, sauf dans la mesure où la loi l'exige. Les énoncés prospectifs impliquent des risques et des incertitudes inhérents, dont la plupart sont difficilement prévisibles et qui sont généralement en dehors de notre contrôle. Les résultats ou issues réels peuvent différer sensiblement de ceux sous-entendus dans les énoncés prospectifs en raison de l'impact d'un certain nombre de facteurs. Bon nombre de ces facteurs sont évoqués plus en détail dans notre rapport annuel sur le formulaire 10-K et dans nos autres rapports déposés auprès de la Securities and Exchange Commission.

Le texte du communiqué issu d'une traduction ne doit d'aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d'origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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