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Les BFM Awards, "un bol d'oxygène dans l'univers économique actuel"

Bernard Arnault, lauréat de l'award du manager BFM, arrivant à la salle Gaveau.

Bernard Arnault, lauréat de l'award du manager BFM, arrivant à la salle Gaveau. - -

Les participants racontent la neuvième cérémonie des BFM Awards, qui s'est tenue lundi 18 novembre à la salle Gaveau à Paris. Témoignages.

Pour la première fois, les BFM Awards ont quitté le traditionnel théâtre Marigny pour cause de travaux, et se sont délocalisées à la salle Gaveau, à Paris.

Mais le reste n’a pas changé. "Il fait toujours froid le soir des BFM Awards", remarque un invité régulier.

Il y a les habitués, comme Maxime Lombardini, directeur général de Free. "Je viens depuis toujours. Je découvre à chaque fois des sociétés dont je ne connaissais pas l’activité, et des managers peu mis en avant. Surtout, c’est un grand bol d’oxygène dans l’univers économique actuel."

Ceux qui viennent pour la première fois se disent aussi satisfaits. "Une très bonne initiative", dit Laurent Solly, qui dirige les activités françaises de Facebook. "Cela donne du courage dans une France atteinte de sinistrose", renchérit Didier Quillot, ancien patron d’Orange puis de Lagardère Active devenu "jeune entrepreneur".

De son côté, le directeur général de la Banque publique d'investissement Nicolas Dufourcq dit "venir parler à la France" pour insuffler un peu d’optimisme: "je suis le chief optimist officer", sourit-il.

"Formidable et motivant"

Franck Louvrier, président de Publicis Events, abonde: "c’est une initiative formidable et motivante. C’est essentiel de mettre en avant des gens qui réussissent, surtout dans le climat morose dans lequel nous sommes", ajoute l’ancien porte-parole de Nicolas Sarkozy.

Geoffrey La Rocca, co-fondateur de la start up Madeleine Market, en est déjà à ses cinquièmes BFM Awards: "c’est mon bol d’air de l’année. Quant on a 26 ans, c’est vivifiant de voir ces capitaines d’industrie ou entrepreneurs."

Reviennent aussi des anciens lauréats, comme Max Guazzini, ancien président de NRJ puis du Stade Français. "J’aime bien NextRadioTV, je me sens un peu de la famille", sourit-il.

Jamal Henni et Antoine Delpierre (vidéo)