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L'Assemblée vote la confiance
François de Rugy vient de proclamer les résultats du vote de l'Assemblée nationale. 566 députés ont voté, 437 ont exprimé un choix. 370 ont voté la confiance au gouvernement tandis que 67 la lui ont refusé.
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Le résultat du vote de confiance sera connu vers 18h45
Selon le journaliste de BFMTV, Thierry Arnaud, le résultat du vote de confiance sera proclamé par François de Rugy, avec un peu de retard, à 18h45.
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Edouard Philippe, de retour à la tribune, répond
Edouard Philippe est de nouveau à la tribune. Il répond aux critiques, notamment issues des rangs des Républicains.
"Que M. Mélenchon soit contre les ordonnances, rien d'anormal / Pour d'autres c'est plus surprenant" Philippe brocarde ses amis LR
— Jean-Baptiste Garat (@Figarat) 4 juillet 2017 -
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Les députés "insoumis" brandissent le Code du travail
Répétant le geste qu'ils avaient exécuté la veille, place de la République, les députés de la "France insoumise" ont brandi le Code du travail dans l'Hémicycle.
"Ns ne sommes peut-être rien à vos yeux, mais demain nous serons tout", dit Mélenchon. Les dép FI brandissent le code du travail. #DirectAN pic.twitter.com/aW5QW76JSq
— Maxence Kagni (@maxenceka) 4 juillet 2017 -
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Jean-Luc Mélenchon répond à la pique du chef de l'Etat et file la métaphore
Rappelant qu'Emmanuel Macron, la veille à Versailles, avait fustigé l'absence des "Insoumis" au Congrès et avait dit que les hommes de la Révolution française Siéyès et Mirabeau n'en auraient pas fait de même, Jean-Luc Mélenchon a noté que les deux personnages n'avaient "été réunis que devant le roi." Evoquant Louis XVI, il s'est souvenu que le monarque avait écrit dans son carnet de chasse à la date du 14 juillet: "Rien". "Méfiez-vous de rien", a prévenu Jean-Luc Mélenchon. Revenant sur les députés de la Constituante, il a déclaré: "Nous prenons à Siéyès l’idée que le Tiers-Etat sera bientôt toute l’Assemblée. Nous en sommes en quelque sorte l’avant-poste." Outré des propos récents d'Emmanuel Macron donnant l'impression d'opposer les gens "qui ont réussi" et ceux qui "ne sont rien", il a dit reprendre à Mirabeau son sens de la formule et proposer la sienne: "Les riens lui disent: "Nous ne sommes peut-être rien à vos yeux mais demain nous serons tout."
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Jean-Luc Mélenchon se lance dans sa diatribe
Le chef de file des "Insoumis" vient de se lancer dans sa réponse très attendue au discours de politique générale d'Edouard Philippe. Il a commencé par l'humour: "Je n’ai que dix minutes. Que reste-t-il même de l’apparence d’un débat parlementaire ? Je n’ai même pas le temps de vous faire des compliments." Confirmant qu'aucun membre de son groupe ne voterait la confiance, il a affirmé: "Nous ne sommes pas qu’une opposition, nous sommes l’alternative au monde que vous proposez. (...) Agir comme vous le faites c’est tirer un feu d’artifices dans une poudrière. Vous entrez dans le régime du coup de force permanent." Il a également critiqué la ligné "moyenne européenne" selon lui adoptée par le Premier ministre: "Une ligne moyenne européenne qui coule la nation, étrangle la Grèce. Nous n’avons pas élu madame Merkel!" Il a également dépeint le remplacement de l'état d'urgence par une nouvelle loi sécuritaire comme "une victoire l'ennemi".
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Christian Jacob s'emporte contre Edouard Philippe
Christian Jacob, président du groupe "LR" avait lui aussi pris la parole à la tribune de l'Assemblée nationale. C'est tout en ironie et en amertume qu'il a salué Edouard Philippe, ex-"Les Républicains", pour ses nouvelles fonctions. Déplorant les "conditions de son départ", il a enchaîné: "J’espère qu’en vous regardant dans la glace vous pensez à vos collègues dont votre nomination a causé la perte."
Christian Jacob félicite, à sa manière, @EPhilippePM pour sa nomination au poste de premier ministre #DPG #DirectAN pic.twitter.com/fke6dladoY
— LCP (@LCP) 4 juillet 2017 -
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Edouard Philippe a assuré qu'il voulait "taxer la pollution plutôt que le travail"
Le chef du gouvernement a donné un volet écologique à son discours de politique générale.
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Pour le porte-parole du groupe "LREM", les deux discours étaient "complémentaires"
Hervé Berville, porte-parole de "La République en marche", a estimé que les discours du Premier ministre et du président étaient "complémentaires". "C'était deux exercices différents qui demandent des qualités et des messages différents. Aujourd’hui, le Premier ministre a donné le calendrier et les mesures présentées."
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La question du logement abordée
Edouard Philippe a également abordé le chapitre de la construction de logements en France.
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Marc Fesneau, président du groupe Modem, est à la tribune
Marc Fesneau, chef des troupes du Modem, a pris la parole dans l'Hémicycle: "Les Français ont fait le choix d’une alternance véritable et d’un bouleversement du paysage politique. Ce bouleversement n’est pas le fruit du hasard. Il est la conséquence directe d’années d’échecs, de promesses non tenues". Il a ajouté: "La première tâche qui attend le gouvernement, qui attend cette nouvelle assemblée, est celle de retrouver la confiance de nos concitoyens". Il a appelé à une "meilleure représentativité des grands courants de la vie politique, réduction du nombre de parlementaires et renforcement de leurs moyens".
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"L'insoumise" Clémentine Autain acte qu'elle ne voit pas le monde "de la même manière qu'Edouard Philippe"
La députée "insoumise" élue dans la Seine-Saint-Denis a donné son sentiment sur la parole d'Edouard Philippe: "On ne regarde pas le monde la même manière. Nous disons qu’il faut partager les richesses et redistribuer les biens de manière plus vertueuse. C’est un bien français d’être attaché aux solidarités. Lui veut dilapider ces services publics, il a même parlé de privatisation. Et il n’est jamais question de s’en prendre à ceux qui ont le plus. "
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La réforme de l'ISF a été reportée
Pour le chantier de la réforme de l'ISF, le gouvernement attendra 2019.
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Laure de La Raudière choisit l'abstention
Sur les bancs du Palais Bourbon, Laure de La Raudière a choisi la "construction" avec d'autres députés de droite et du centre, mais s'agissant de la confiance, elle choisit "l'abstention". "Comme la majorité des députés de son groupe", précise le communiqué porteur de cette nouvelle. Il s'agit pour elle de ne pas donner de "blanc-seing" au gouvernement.
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Richard Ferrand poursuit son discours
Pendant ce temps, Richard Ferrand a poursuivi son discours au sein de l'Assemblée nationale. "Nous devons construire de nouvelles solidarités collectives et de nouvelles sécurités individuelles attachées aux parcours, pas aux statuts. (...) Sachez Edouard Philippe que vous trouverez à vos côtés le groupe majoritaire pour donner vie à ce programme", a-t-il assuré.
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Eric Woerth va "s'abstenir" même si le discours l'aurait "plutôt poussé à voter contre"
Le député "Les Républicains" a choisi le sarcasme: "J’avais décidé d’abstenir je vais rester là-dessus même si ce discours raté aurait pu me pousser à voter contre. Il y a une cohérence à rater deux discours pour l’exécutif. Beaucoup de députés n'étaient pas loin de l'endormissement". Il a attaqué les priorités du gouvernement: "Est-ce que la priorité du gouvernement est vraiment d’augmenter la CSG et de baisser le pouvoir d’achat des retraités ?"
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La fiscalité au centre du discours de politique générale
La fiscalité a été au coeur de la prise de parole du chef de gouvernement. Diverses mesures ont ainsi été annoncées dans ce domaine.
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Eric Coquerel pointe le risque d'une "paralysie économique du pays"
Le député "insoumis" élu en Seine-Saint-Denis, Eric Coquerel, s'est lui aussi inscrit en faux du contenu du discours d'Edouard Philippe. "L’activité économique de ce pays sera à nouveau paralysée par ces politiques. Il n’y a rien de surprenant", a-t-il regretté.
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"Une soumission à la feuille de route de Bruxelles" pour Marine Le Pen
Marine Le Pen s'est aussi présentée dans la salle des quatre colonnes. "Après le discours gazeux du président de la République, là, on était au ras des pâquerettes", a-t-elle déclaré avant de déplorer "des promesses très durs notamment pour les classes populaires et moyennes". Elle craint "la disparition progressive d'emplois publics". Elle a ajouté: "C’est extrêmement inquiétant. Il n'y a pas un mot sur l’insécurité qui ravage notre pays et sur les moyens de mener la lutte contre le fondamentalisme islamique." Elle a vu dans ce discours le signe d'une "soumission imposée à la feuille de route de Bruxelles."
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Didier Fasquelle se sent revenu "cinq ans en arrière"
Le député "Les Républicains" s'est aussi montré très dur à l'égard de son ancien collègue au sein du parti. "Il y a des choses qui vont dans le bon sens mais pour le reste j ai eu l’impression d’en être revenu cinq ans en arrière, au discours de Jean-Marc Ayrault", a-t-il dit.
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La promesse numérique du Premier ministre
Parmi les grandes annonces d'Edouard Philippe aujourd'hui, on a noté la promesse d'un internet très haut débit pour tous dès 2022.
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Richard Ferrand s'exprime à la tribune de l'Assemblée
Le président du groupe "LREM" a pris la parole à la tribune de l'Hémicycle à la suite du Premier ministre. "La majorité travaillera de toutes ses forces avec Edouard Philippe et le Gouvernement dans une logique de co-construction. (...) Les Français n'attendent pas de nous un panurgisme majoritaire, pas plus qu'ils n'attendent de l'obstruction surjouée", a-t-il notamment déclaré.
Les Français n'attendent pas de nous un panurgisme majoritaire, pas plus qu'ils n'attendent de l'obstruction surjouée. #DPG
— Richard Ferrand (@RichardFerrand) 4 juillet 2017 -
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Pour Nicolas Dupont-Aignan, c'est "en marche vers la récession"
Nicolas Dupont-Aignan, député "Debout la France" élu dans l'Essonne, a lancé: "Il y a de belles intentions mais derrière il y a une purge faite de hausses d’impôts et de réduction des dépenses. Ça va tuer la croissance. C’est vraiment l’addition de Bruxelles. C’est en marche vers la récession !" Il ne votera pas la confiance au gouvernement: "Je voterai contre de toutes mes forces car je pense que dans six mois les Français seront dans la rue tellement la potion est amère."
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Guillaume Peltier dénonce un "discours de comptable"
Le député "Les Républicains", Guillaume Peltier, a visiblement peu goûté le discours du Premier ministre. S'il a reconnu que "certaines mesures" convenaient à son camp, il a jugé la forme "aride et désertique". "C’était une addition de mesurettes, un discours de comptable, de juriste, de financier, très loin de l'audace nécessaire pour redresser le pays", a-t-il jugé.
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Fin du discours d'Edouard Philippe
"J'ai l'honneur d'engager la responsabilité du gouvernement sur la présente déclaration de politique générale", a conclu le chef du gouvernement.
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Le RSI sera supprimé
Le Régime social des indépendants (RSI) sera supprimé à partir de 2018 et adossé au régime général de la Sécurité sociale, a confirmé le Premier ministre.
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La fiscalité de l'essence et du diesel sera la même dans cinq ans
La "montée en puissance de la fiscalité carbone sera accélérée", la convergence "diesel essence" sera atteinte avant la fin du quinquennat, les déchets mis en décharge seront divisés par deux et 100% des plastiques seront recyclés d'ici 2025, a fait savoir Edouard Philippe.
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Un plan d'investissement de 50 milliards d'euros
"Nous lancerons un grand plan d’investissement de 50 milliards d’euros dans les domaines de la transition écologique, du développement des compétences, de la santé, des transports, de l’agriculture, et de la modernisation de l’État. J’ai missionné Jean Pisani-Ferry pour le concevoir et préparer son déploiement", a indiqué Edouard Philippe.
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Report de la réforme de l'ISF et du CICE
Le crédit d'impôt compétitivité emploi sera transformé en allègement de charges pérenne, une mesure qui entrera en vigueur en 2019. Tout comme la réforme de l'ISF, recentrée sur le patrimoine immobilier. En outre, le taux de l'impôt sur les sociétés sera porté progressivement à 25%, à l'horizon 2022.
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Une "baisse de la pression fiscale" durant le quinquennat
Edouard Philippe s'est engagé à "faire baisser la pression fiscale d'un point de PIB en cinq ans", soit une baisse d'impôts de 20 milliards d'euros au cours du quinquennat.
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Philippe promet une baisse drastique de la dépense publique
Le Premier ministre veut stabiliser la dépense publique en 2018 par rapport à 2017, et la faire baisser de 3 points de PIB d'ici à la fin du quinquennat. Pour cela, la masse salariale du secteur public sera allégée, a-t-il dit. En outre, Edouard Philippe s'est engagé à ramener le déficit public en dessous de la barre des 3% du PIB avant l afin de l'année.
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La prime d'activité sera également augmentée
"Nous augmenterons aussi la prime d’activité, car le message aux Français est clair : le travail doit payer", a promis Edouard Philippe. Sans pour autant donner plus de détails sur cette hausse.
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Les cotisations salariales seront supprimées, la CSG augmentée
"La suppression des cotisations salariales sur l’assurance maladie et l’assurance chômage, financée par un transfert sur la CSG, redonnera dès 2018 du pouvoir d’achat", a affirmé le Premier ministre.
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BfmbusinessBfmbusinessUne concertation prévue pour réformer la taxe d'habitation
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Le baccalauréat sera réformé
Edouard Philippe a assuré que le baccalauréat serait réformé à l'horizon 2021. "Une concertation sera lancée dès la rentrée prochaine, pour resserrer les épreuves finales autour d'un plus petit nombre de matières et définir ce qui relève du contrôle continu", a-t-il déclaré.
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La sortie de l'état d'urgence prévue le 1er novembre "au plus tard"
"Le Président de la République nous a demandé de préparer la sortie de l’état d’urgence au plus tard le 1er novembre prochain, avec un projet de loi renforçant l’efficacité de notre arsenal législatif contre le terrorisme, sous le contrôle rigoureux du juge", a fait savoir le chef du gouvernement.
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Le budget de la Défense porté à 2% du PIB
Comme annoncé, la France portera "l'effort de Défense à 2% du PIB d'ici 2025" a indiqué Edouard Philippe.
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Lunettes, soins dentaires et auditifs bientôt remboursés intégralement
Le Premier ministre a promis que, "d'ici la fin du quinquennat", les Français ne devraient plus payer de reste à charge pour les lunettes, les soins dentaires et les aides auditives.
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L'accès au très haut débit pour tous "d'ici 2022"
Edouard Philippe a promis que l'accès au très haut débit serait garanti sur l'ensemble du territoire à l'issue du quinquennat.
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Certains minimas sociaux bientôt revalorisés
La revalorisation de l'allocation adulte handicapé et minimum vieillesse interviendra "dès 2018", a assuré Edouard Philippe.
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Le paquet de cigarettes porté progressivement à 10 euros
C'est l'objectif du gouvernement en matière de lutte contre le tabagisme, a affirmé le Premier ministre. Le prix du paquet de cigarettes est actuellement d'environ 7 euros.
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Des vaccins pour la petite enfance deviendront obligatoires
Soulignant que certaines maladies "se développent à nouveau sur notre territoire, Edouard Philippe a indiqué que les vaccins pour la petite enfance "qui sont unanimement recommandés par les autorités de santé deviendront obligatoires l'an prochain".
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"Je vois une Assemblée qui ressemble à la France"
Le chef du gouvernement s'est félicité de la composition de la nouvelle Assemblée. "Je vois une Assemblée renouvelée, rajeunie et féminisée", a-t-il déclaré, y voyant "une Assemblée qui ressemble à la France".
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Le Premier ministre rend hommage à ses prédécesseurs
Edouard Philippe a indiqué avoir lu toutes les déclarations de politique générale, "de Michel Debré en 1959 à Bernard Cazeneuve", son prédécesseur à Matignon. Il a également rendu hommage à Alain Juppé, son mentor, et à Michel Rocard, décédé il y a un an.
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Edouard Philippe prend la parole
Le Premier ministre a pris la parole du haut de la tribune, débutant avec quelques mots en hommage à Simone Veil, sous des applaudissements nourris.
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Ouverture de la session extraordinaire
Le président de l'Assemblée nationale François De Rugy a déclaré ouverte la session extraordinaire, avant de demander aux députés de poser pour la traditionnelle photo panoramique de l'hémicycle.
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Edouard Philippe est à l'Assemblée
Le Premier ministre est arrivé au Palais Bourbon. Souriant, il a effectué son entrée suivi de Nicolas Hulot et de...Jean-Luc Mélenchon.
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À Macron les grands principes, à Philippe les annonces concrètes
Si le chef de l’État a, selon ses termes, "fixé le sens du quinquennat" lundi à Versailles, il reviendra ce mardi à son Premier ministre de présenter la feuille de route du gouvernement.
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Gattaz met la pression avant le discours du Premier ministre
Quelques heures avant le discours d’Edouard Philippe, le président du Medef a appelé le gouvernement à ne pas repousser les réformes. Le patron des patrons s’est notamment dit inquiet du possible report des mesures concernant le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) ou l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF).
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