La cigarette électronique : un marché en pleine expansion
Le Tribunal de Marseille a récemment condamné des confrères pour l’utilisation de composants controversés lors de la commercialisation de cigarettes électroniques. Or, Jacques Le Houezec affirme que le CBD, qui est un dérivé du cannabis, ne présente aucun effet euphorisant et n’est pas néfaste sur le métabolisme. Il rajoute qu’en réalité, la condamnation est basée sur les propos mensongers relatifs aux supposés bienfaits médicinaux liés aux produits mis en vente.
Il continue en expliquant que la nicotine ou le tabac qu’on retrouve à la fois dans les cigarettes classiques et électroniques ne sont pas dangereux. En effet, ce serait la combustion végétale des composants qui est aurait le plus d’effets négatifs. Or, ce processus n’est pas présent lors du vapotage. Se basant sur les campagnes anglaises comme Stoptober, le conseiller en santé publique rajoute que la cigarette électronique serait un moyen particulièrement efficace pour arrêter de fumer.
S’intéressant à la vente de cigarette électronique uniquement, le chef d’entreprise Stéphane Roverso consent aux explications de Jacques Le Houezec. Comme ce dernier, il clame son incompréhension des directives européennes qui régissent la commercialisation de la vapoteuse. En plus de l’interdiction de toute forme de promotion, elle est soumise à une limitation stricte de 10 ml de liquide par fiole et de 20 mg de nicotine par millilitre. Les deux hommes espèrent une évolution du cadre législatif.