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A voir: l'intégralité de l'allocution d'Emmanuel Macron
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Wall Street chute lourdement
A la clôture, malgré les mesures monétaires annoncées par la Fed, les indices américains sont en forte baisse.
-Le Dow chute de 9,99%, soit plus de 2500 points, c'est sa pire séance depuis le krach de 1987
-Le S&P 500 cède 9,51%
-Le Nadaq lâche 9,43%
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Allocution d'Emmanuel Macron
Le gouvernement va préparer un plan de relance national et européen. L'Europe doit réagir "fort et vite", affirme le président de la République estimant que les décisions prises par la Banque centrale européenne ne seraient pas "suffisantes" face à la crise du coronavirus.
"J'ai demandé au gouvernement de préparer d'ores et déjà un plan de relance national et européen cohérent avec nos priorités et nos engagements pour la France", a déclaré le président français. "Nous devons aussi porter une réponse européenne. La banque centrale a déjà aujourd'hui fait part de ses premières décisions. Seront-elle suffisantes ? Je ne le crois pas", a-t-il ajouté. -
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Allocation d'Emmanuel Macron
Le président de la République appelle à la "mobilisation générale" pour l'économie. "Tout sera mis en oeuvre pour protéger les salariés et les entreprises, quoi qu'il en coûte".
-Un dispositif majeur de chômage partiel sera mis en place pour les salariés contraints de rester chez eux, l'Etat prenant en charge le coût.
"Dès les jours à venir, un mécanisme exceptionnel et massif de chômage partiel sera mis en oeuvre" qui ira "beaucoup plus loin" que les annonces déjà faites par le gouvernement pour "préserver les emplois et les compétences", a affirmé le président lors de son allocution télévisée.
-Toutes les entreprises pourront reporter sans justification le paiement des impôts et cotisations prévus en mars.
"Je veux pour nos forces économiques des mesures simples: les échéances qui sont dues dans les prochains jours et les prochaines semaines seront suspendues pour toutes celles et ceux qui en ont besoin", a-t-il ajouté.
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Allocation d'Emmanuel Macron
Le président de la République demande aux entreprises de permettre à leurs employés de travailler à distance quand c'est possible.
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Wall Street dévisse
A une heure de la clôture, les indices américains restent en forte baisse, le rebond observé après les annonces de la Fed n'a pas tenu.
Le Dow Jones perd 8%
Le S&P 500 lâche 7,5%
Le Nasdaq cède 7,4%
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Les plus fortes baisses du CAC 40
Lire également notre article sur les chutes historiques de la Bourse de Paris
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Wall Street se reprend un peu grâce à la Fed
La Bourse de New York effaçait une partie de ses pertes jeudi à la mi-séance, réagissant à la décision de la Réserve fédérale d'injecter 1.500 milliards de dollars de plus sur le marché monétaire pour répondre à l'impact économique du coronavirus.
La Fed va offrir jeudi 500 milliards de dollars à échéance de trois mois et offrira vendredi 500 milliards à trois mois et 500 milliards à un mois. Elle injectera chaque semaine 500 milliards à trois mois et 500 milliards à un mois jusqu'au 13 avril.
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Jeudi noir pour les Bourses européennes
La Bourse de Paris s'écroule de 12,28% (-565 points à 4.044,26 points) la plus forte baisse de son histoire
La Bourse de Londres chute de 9,81%, sa pire séance depuis octobre 2017. Depuis le début de l'année, le FTSE-100 a fondu de près de 30%.
La Bouse de Francfort lâche 12,24%, pire séance depuis 1989
La Bourse de Milan s'effondre de 16,92%, pire chute historique
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Le taux à 10 ans français s'envole
Le taux français à 10 ans flambe et prend 47% pour se négocier à -0,163%.
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La crise en 3 chiffres
-30%: A Wall Street, l'indice vedette Dow Jones a enchaîné les séances noires, s'effondrant de quelque 23% depuis le début de l'année. La crise s'est encore accélérée après la décision mercredi de Donald Trump de suspendre l'entrée des Européens aux Etats-Unis. Tendance encore plus lourde en Europe, où Paris, Francfort, Londres, Milan et Madrid ont tous dévissé d'environ 30% depuis le début de l'année: un véritable krach.
-100 milliards de dollars: Liaisons suspendues, voyageurs tétanisés et annulations d'événements: la pandémie pourrait coûter plus de 100 milliards de dollars au transport aérien, plongeant le secteur dans une situation "presque sans précédent", a averti l'Association internationale du transport aérien (Iata).
-33 dollars: Le cours du baril de "light sweet crude" (WTI), référence américaine du pétrole brut, a plongé à 32,98 dollars mercredi contre un peu plus de 61 dollars en début d'année. Outre l'impact économique du nouveau coronavirus, la dégringolade des cours a été amplifiée par le bras de fer que se livrent l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, deux acteurs majeurs au sein de l'Opep.
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A l'approche de la clôture, les bourses européennes capitulent
-A Paris, le CAC 40 cède 11%
-A Londres, le FTSE lâche 10%
-A Francfort, le DAX perd 10,5%
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Bruno le Maire satisfait des mesures de la BCE
"Les mesures prises par Christine Lagarde apportent aux PME la trésorerie dont elles ont impérativement besoin dans cette période de crise. Ces mesures devront être complétées par des mesures budgétaires et de trésorerie massives coordonnées à l’échelle européenne", dit le ministre de l'Economie dans un communiqué.
"Il y a urgence à frapper fort au niveau européen pour soutenir nos entreprises et leurs salariés", ajoute-t-il.
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Le bitcoin s'effondre de 25%
Le cours du bitcoin, première et principale cryptomonnaie, perdait environ 25% jeudi et évoluait autour de 6.000 dollars pour un bitcoin, un niveau plus vu depuis mai.
"Les investisseurs s'éloignent du bitcoin alors qu'avoir du liquide semble la meilleure stratégie au vu de la panique actuelle", a expliqué à l'AFP Mohamed Zidan, analyste pour Think Markets, précisant que le bitcoin "a échoué à son premier vrai test de valeur refuge". -
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La Bourse de Chicago ferme son parquet, celle de New York prend des précautions
Face aux risques du nouveau coronavirus, la Bourse de Chicago (matières premières) a prévu de fermer vendredi soir son parquet, tandis que le New York Stock Exchange multiplie les mesures de précaution dans son mythique bâtiment de Wall Street.
Ces deux endroits restent parmi les derniers marchés financiers au monde où des courtiers sont présents physiquement pour acheter ou vendre des titres.
L'opérateur de la bourse de Chicago a expliqué dans un communiqué mercredi soir vouloir "réduire les gros rassemblements pouvant contribuer à la propagation du coronavirus". Tous les ordres passés habituellement par les courtiers sur le parquet pourront se faire par voie électronique.
Le New York Stock Exchange, de son côté, se prépare depuis plusieurs semaines au cas où son bâtiment devrait être affecté, menant notamment des tests pour des échanges entièrement électroniques.
"Même si nous testons constamment la résilience de nos systèmes afin qu'ils puissent opérer entièrement de façon électronique au besoin - ce que nous avons fait avec succès pas plus tard que le week-end dernier - nous prenons également les mesures nécessaires pour nous assurer que notre salle de marché emblématique reste ouverte pendant cette période volatile", a souligné le NYSE dans un message transmis à l'AFP.
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Les principales annonces de la BCE
-Les taux directeurs inchangés
-Un programme de prêts ciblés sur les PME, pour que les banques aident les entreprises frappées par l'épidémie à boucler leurs fins de mois.
-120 milliards d'euros supplémentaires d'ici la fin de l'année pour acheter de la dette, particulièrement celle "du secteur privé".
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L'indice de la peur s'envole
L'indice de la volatilité (VIX), surnommé "indice de la peur", flambe de près de 20% à 64,55 après avoir atteint un plus haut à 69,26. Il est au plus haut depuis novembre 2008 et proche de son record absolu.
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Les mesures de la BCE sont "limitées", selon un analyste
"Les mesures annoncées (par la BCE) sont assez limitées", explique à l'AFP Alexandre Baradez, analyste chez IG France. Il considère qu'il s'agit d'une "première étape" et que l'institution "garde des cartouches" pour la suite.
Quant aux 120 milliards d'euros supplémentaires pour acheter de la dette, l'analyste estime que c'est "une enveloppe pas énorme, très loin des niveaux qu'on avait atteints sur le QE (Quantitative Easing) pendant la crise de 2015" et "pas de nature à rassurer le marché".
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La Bourse de Sao Paulo suspendue deux fois
Les échanges ont été suspendus une deuxième fois jeudi à la Bourse de Sao Paulo, la première Bourse d'Amérique latine, celle-ci ayant encaissé une chute supérieure à 15% dès la reprise de la séance, après une première pause de 30 minutes.
Peu après l'ouverture, la Bourse de Sao Paulo s'était enfoncée, chutant de 11,65%, avant que les échanges ne soient suspendus pour la 3e fois de la semaine.Avant la deuxième suspension des échanges jeudi, l'indice Ibovespa cédait 15,43%, à 72.016 points, son plus faible niveau depuis juin 2018.
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Christine Lagarde tance les gouvernements européens
La présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, a fustigé jeudi "la complaisance et la lenteur" des gouvernements "en particulier en zone euro" face au coronavirus, une critique inhabituellement vive des Etats.
"J'espère fortement que lors de la réunion de l'Eurogroupe lundi", il y aura "une avancée décisive et déterminée" vers "cette réponse budgétaire ambitieuse et collective que nous avons réclamée", a-t-elle déclaré. -
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Le taux italien flambe
Le taux italien à 10 ans flambe et prend 45% pour se négocier à 1,724%.
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L'euro chute face au dollar
L'euro perdait près de 1% face au dollar jeudi, alors que la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde a qualifié la pandémie de coronavirus de "choc majeur" pour l'économie en zone euro.
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Le CAC 40 rouge sang
L'indice parisien chute de plus de 10% tandis que le Dow Jones lâche près de 8%
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Quelles aides pour les PME?
Depuis octobre, la BCE mène sa troisième campagne de prêts géants aux banques (dits TLTRO), à des taux très avantageux, à condition que les banques prêtent à leur tour aux ménages ou aux entreprises.
Pour éviter une vague de défaillances liées à l'épidémie, les gardiens de l'euro ont décidé jeudi d'accorder des "conditions nettement plus favorables" aux banques lors des prochaines vagues de prêts qui seront opérées entre juin 2020, quand une importante échéance d'un TLTRO plus ancien va arriver à échéance, et juin 2021.
Cette mesure est destinée à "soutenir les prêts accordés à ceux qui sont le plus affectés par le coronavirus, particulièrement les petites et moyennes entreprises", explique l'institution.
Les banques qui prêteront assez d'argent dans l'économie pourront emprunter à la BCE à un taux jusqu'à 25 points de base inférieur à celui du taux de dépôt, maintenu jeudi à -0,50%. Résultat : les banques recourant au TLTRO seront de fait rémunérées par la BCE quand elles prêtent de l'argent. -
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Pour Lagarde, "l'économie rebondira"
Pour Christine Lagarde, le choc "est grave" mais "temporaire". "Si les mesures appropriées sont prises, l'économie rebondira".
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La BCE sabre les prévisions de croissance européennes
L'institution s'attend maintenant à une croissance de l'économie de la zone de 0,8% cette année, contre 1,1% prévu antérieurement, et de 1,3% pour l'année prochaine, contre 1,4%. L'institut d'émission a confirmé sa prévision de croissance pour 2022, à +1,4%.
Christine Lagarde, présidente de la BCE, a déclaré que les risques pesant sur ces perspectives étaient "clairement à la baisse" et que l'épidémie de coronavirus avait ajouté un élément négatif "significatif". "La croissance en zone euro devrait reprendre son essor à moyen terme", a-t-elle ajouté lors de la conférence de presse qui a suivi la réunion de politique monétaire.
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"Un choc majeur" pour Christine Lagarde
"L'épidémie de coronavirus Covid-19 a été un choc majeur pour les perspectives de croissance de l'économie mondiale et de l'économie de la zone euro et il a fait grimper la volatilité sur les marchés.
"Même si l'épidémie sera temporaire par nature, elle aura un impact significatif sur l'activité économique, entraînant notamment un ralentissement de la production en raison du dérèglement des chaînes d'approvisionnement ainsi qu'une réduction de la demande interne comme externe résultant de l'effet négatif des nécessaires mesures de confinement".
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La livre sterling chute face au dollar
La livre sterling continuait de s'affaiblir face au dollar et à l'euro, tombant à des niveaux plus vus depuis octobre, dans un marché fébrile. Vers 13H45 GMT (14H45 à Paris), la livre perdait 1,31% face au billet vert, à 1,2652 dollar, un niveau plus vu depuis octobre, et 0,92% face à la devise européenne, à 88,72 pence pour un euro, une heure après être tombée à un plus bas en cinq mois également.
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La BCE voit une "considérable aggravation" des perspectives de croissance
La Banque centrale européenne constate une "considérable aggravation des perspectives de croissance à court terme" en zone euro, en raison de l'impact de l'épidémie de coronavirus, a déclaré jeudi sa présidente, Christine Lagarde. Non seulement l'épidémie affecte les chaînes d'approvisionnement, "perturbant les plans de production dans le secteur manufacturier", mais "les mesures nécessaires de confinement" bouleversent bien plus largement l'activité, a souligné Mme Lagarde.
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Les Bourses mondiales plongent
Après avoir été en repli de plus de 11%, le CAC 40 remonte très légèrement la pente à -9,41%.
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Wall Street chute lourdement
A la clôture, malgré les mesures monétaires annoncées par la Fed, les indices américains sont en forte baisse.
-Le Dow chute de 9,99%, soit plus de 2500 points, c'est sa pire séance depuis le krach de 1987
-Le S&P 500 cède 9,51%
-Le Nadaq lâche 9,43%
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Allocation d'Emmanuel Macron
Le président de la République appelle à la "mobilisation générale" pour l'économie. "Tout sera mis en oeuvre pour protéger les salariés et les entreprises, quoi qu'il en coûte".
-Un dispositif majeur de chômage partiel sera mis en place pour les salariés contraints de rester chez eux, l'Etat prenant en charge le coût.
"Dès les jours à venir, un mécanisme exceptionnel et massif de chômage partiel sera mis en oeuvre" qui ira "beaucoup plus loin" que les annonces déjà faites par le gouvernement pour "préserver les emplois et les compétences", a affirmé le président lors de son allocution télévisée.
-Toutes les entreprises pourront reporter sans justification le paiement des impôts et cotisations prévus en mars.
"Je veux pour nos forces économiques des mesures simples: les échéances qui sont dues dans les prochains jours et les prochaines semaines seront suspendues pour toutes celles et ceux qui en ont besoin", a-t-il ajouté.
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Jeudi noir pour les Bourses européennes
La Bourse de Paris s'écroule de 12,28% (-565 points à 4.044,26 points) la plus forte baisse de son histoire
La Bourse de Londres chute de 9,81%, sa pire séance depuis octobre 2017. Depuis le début de l'année, le FTSE-100 a fondu de près de 30%.
La Bouse de Francfort lâche 12,24%, pire séance depuis 1989
La Bourse de Milan s'effondre de 16,92%, pire chute historique
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La crise en 3 chiffres
-30%: A Wall Street, l'indice vedette Dow Jones a enchaîné les séances noires, s'effondrant de quelque 23% depuis le début de l'année. La crise s'est encore accélérée après la décision mercredi de Donald Trump de suspendre l'entrée des Européens aux Etats-Unis. Tendance encore plus lourde en Europe, où Paris, Francfort, Londres, Milan et Madrid ont tous dévissé d'environ 30% depuis le début de l'année: un véritable krach.
-100 milliards de dollars: Liaisons suspendues, voyageurs tétanisés et annulations d'événements: la pandémie pourrait coûter plus de 100 milliards de dollars au transport aérien, plongeant le secteur dans une situation "presque sans précédent", a averti l'Association internationale du transport aérien (Iata).
-33 dollars: Le cours du baril de "light sweet crude" (WTI), référence américaine du pétrole brut, a plongé à 32,98 dollars mercredi contre un peu plus de 61 dollars en début d'année. Outre l'impact économique du nouveau coronavirus, la dégringolade des cours a été amplifiée par le bras de fer que se livrent l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, deux acteurs majeurs au sein de l'Opep.
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Les principales annonces de la BCE
-Les taux directeurs inchangés
-Un programme de prêts ciblés sur les PME, pour que les banques aident les entreprises frappées par l'épidémie à boucler leurs fins de mois.
-120 milliards d'euros supplémentaires d'ici la fin de l'année pour acheter de la dette, particulièrement celle "du secteur privé".
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Le taux italien flambe
Le taux italien à 10 ans flambe et prend 45% pour se négocier à 1,724%.
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"Un choc majeur" pour Christine Lagarde
"L'épidémie de coronavirus Covid-19 a été un choc majeur pour les perspectives de croissance de l'économie mondiale et de l'économie de la zone euro et il a fait grimper la volatilité sur les marchés.
"Même si l'épidémie sera temporaire par nature, elle aura un impact significatif sur l'activité économique, entraînant notamment un ralentissement de la production en raison du dérèglement des chaînes d'approvisionnement ainsi qu'une réduction de la demande interne comme externe résultant de l'effet négatif des nécessaires mesures de confinement".
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La BCE voit une "considérable aggravation" des perspectives de croissance
La Banque centrale européenne constate une "considérable aggravation des perspectives de croissance à court terme" en zone euro, en raison de l'impact de l'épidémie de coronavirus, a déclaré jeudi sa présidente, Christine Lagarde. Non seulement l'épidémie affecte les chaînes d'approvisionnement, "perturbant les plans de production dans le secteur manufacturier", mais "les mesures nécessaires de confinement" bouleversent bien plus largement l'activité, a souligné Mme Lagarde.
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