Prêt étudiant : la solution qui absorbe les contraintes
Le prêt étudiant constitue une aide précieuse pour mener ses études à leur terme. Il est une clef pour s’affranchir autant d’un poids financier que des soucis de gestion, sans pour autant assombrir l’avenir, tant les remboursements s’avèrent modestes.
Cyril a opté pour le prêt étudiant au regard des avantages dont il a eu connaissance. L’échéance de son installation à Lille approche. La négociation est bien engagée avec sa banque et le contrat bientôt signé. Mais Cyril aimerait qu’on lui récapitule toutes les procédures et conditions de ce prêt dont il attend beaucoup pour la réussite de ses études…
Le choix de la franchise
On a donné à Cyril la possibilité de rembourser son prêt selon deux options. Avec l’option « franchise totale », il n’aurait à payer pendant ses études que les seules primes d’assurances liées au prêt. Avec la « franchise partielle », il aurait à verser non seulement les primes d’assurances mais aussi les intérêts en cours, une option moins onéreuse au final si l’on fait le compte total de ce que lui aura coûté le prêt. Quel que soit son choix, le remboursement du capital ne sera déclenché qu’à la fin de ses études. Et il n’aurait donc que ce capital à payer s’il choisissait la franchise partielle.
Le montant et la durée du prêt
Le principe du prêt étudiant, tel que sa banque le lui a proposé, autorise Cyril à emprunter un maximum de 15 000 €, remboursables sur une période maximum de 12 ans. Pour ses quatre années d’études prévues, Cyril a estimé ses besoins à 12 000 €. À cette échéance, et si son plan de carrière se déroule comme prévu, il pense raisonnablement qu’il pourra s’acquitter de cette somme sur huit ans, soit 1 500 € de capital à rembourser chaque année. Cela représente 125 € par mois, auxquels il ajouterait les intérêts s’il optait pour la franchise totale.
Du déblocage des fonds au remboursement
Contrat signé, Cyril va pouvoir toucher les fonds demandés. Il peut préférer un versement intégral. Ou demander un versement partiel, trimestriel, semestriel ou annuel. Il a finalement calculé qu’il pouvait rembourser à la fois l’assurance et le montant des intérêts, parce qu’il a déjà prévu de consacrer une partie de ses vacances d’été et de Noël à un job de vendeur. Dès la fin de ses études, le premier remboursement du capital interviendra. Comme il estime trouver rapidement au moins un CDD dans sa branche d’activité, il pourra même effectuer avant l’échéance du prêt un remboursement anticipé partiel ou total. Enfin, ultime avantage du prêt étudiant : Cyril n’aura jamais eu à justifier de la nature des dépenses qu’il aura faites durant ses études. C’est aussi cela la liberté.