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31.700 manifestants à Paris selon un cabinet indépendant
Selon le cabinet Occurence, la manifestation parisienne a rassemblé 31.700 participants.
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À Paris, 21.000 manifestants selon la Préfecture, 80.000 selon la CGT
La préfecture de Police a dénombré 21.000 participants à Paris. La CGT compte 250.000 manifestants dans toute la France dont 80.000 à Paris. La manifestation du 5 mai, à l'initiative du député Insoumis François Ruffin, avait, sans bataillons CGT, rassemblé entre 40.000 et 160.000 personnes, selon les sources.
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Incident Place de la République
Alors que le cortège arrivait place de la République, un manifestants vêtu de noir et cagoulé est monté sur la statue et a tagué sous les vivats de la foule: "La République aussi coupe des mains #Zad #Collomb". L'inscription se réfère à l'accident survenu à Notre-Dame-des-Landes cette semaine, dans lequel un manifestant a perdu sa main en ramassant une grenade des forces de l'ordre.
Manifestations anti-Macron: des tensions observées dans le cortège parisien pic.twitter.com/cHsvYuhzoP
— BFMTV (@BFMTV) 26 mai 2018 -
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Premières tensions avec "un petit groupe, vêtu en noir"
Sur son compte Twitter, Cécile Bouanchaud, journaliste pour LeMonde.fr, évoque "un petit groupe, vêtu plus en noir, équipe de lunettes veut aller au devant des forces de l'ordre". Un photographe de l'AFP a pris un cliché de ce groupe qui tentait d'entrer dans le cortège. Depuis la salle de commandement de la préfecture de police, le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb déclarait vouloir "éviter autant que faire se peut le phénomène black blocs" (ndlr militants radicaux de l'ultra gauche).
En marge du cortège de tete, un groupe plus équipés contre les charges policières, foulard noir, lunettes, casque pour certains, invectivent les forces de l'ordre situés aux abords du parcours. #manif26mai #Mareepopulaire pic.twitter.com/i3dZnM7mIl
— Cécile Bouanchaud (@CBouanchaud) 26 mai 2018 -
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"Quelques dizaines" de personnes ont été interpellées
Quelques dizaines de personnes ont été interpellées en début de manifestation à Paris, en marge du défilé, a-t-on appris auprès de la préfecture de police qui ne donne pas de chiffre précis. Une heure après le début de la manifestation, la PP indiquait l'interpellation de 32 personnes, notamment pour port d'arme, rébellion ou participation à un groupement en vue de commettre des violences.
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À Marseille, Jean-Luc Mélenchon harangue la foule
Alors que le cortège démarrait pour se dirigeait vers le Vieux-Port, Jean-Luc Mélenchon s'est juché une caisse de bois pour haranguer la foule. "Formez ce Front populaire (...) pour que l'on commence l'ère du partage, du renouveau, d'une autre société", a-t-il lancé à la foule. "Les Marseillais, les premiers, vous ont ouvert le chemin du rassemblement des partis, des syndicats, des associations du peuple tout entier !", a déclamé le chef de file des Insoumis.
À Marseille, Jean-Luc Mélenchon harangue la foule #MareePopulairehttps://t.co/m7Ax6YKZRN pic.twitter.com/Fho7EFy305
— BFMTV (@BFMTV) 26 mai 2018 -
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"1.000 couteaux brandis par Emmanuel Macron", selon Benoît Hamon
Pour le numéro un communiste Pierre Laurent, présent à Paris, "la colère sociale est en train de monter" face à un pouvoir "qui n'écoute personne dans un système monarchique". Benoît Hamon, fondateur du mouvement Générations, espère "qu'il y aura une belle marée populaire" contre les "1.000 couteaux brandis par Emmanuel Macron contre nos services publics, contre les solidarités, contre ce qui faisait en France qu'on faisait encore société".
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24 interpellations à Paris
La préfecture de police a fait part de 24 interpellations avant le début de la manifestation, sans en indiquer les motifs. Plusieurs milliers de personnes sont partis de la gare de l'Est en direction de la place de la Bastille.
24 personnes interpellées en marge de la manifestation anti-Macron à Paris pic.twitter.com/pc9aN7vd6g
— BFMTV (@BFMTV) 26 mai 2018 -
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Air France ou Aéroports de Paris, retraités, chercheurs, hospitaliers...
La manifestation parisienne de la "marée populaire", à l'appel d'une soixantaine de syndicats, partis de gauche et associations contre la politique d'Emmanuel Macron, s'est ébranlée peu après 14H30. Dans le cortège se mêlent salariés d'Air France ou d'Aéroports de Paris, retraités, chercheurs, hospitaliers... "Jamais on n'avait vu autant d'organisations manifester ensemble, donc c'est une belle journée", s'est réjoui Benoît Hamon (Génération.s).
Toujours beaucoup de créativité dans les banderoles et pancartes... celle du PCF que voici #manif26mai @BFMTV pic.twitter.com/cMLokFTvBy
— Anne Saurat-Dubois (@annesaurat) 26 mai 2018 -
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Jean-Luc Mélenchon à Marseille
"J'irais rejoindre le carré de tête" a déclaré Jean-Luc Mélenchon, président du groupe FI (France Insoumise) à l'Assemblée Nationale, qui estime que cette manifestation n'appartient à personne. Selon le député marseillais, "le pays est riche et doit partager".
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Le cortège parisien se prépare à partir vers la Bastille
Le cortège parisien va partir dans quelques instants. Les manifestants se rassemblent boulevard Magenta. Clémentine Autain, députée FI, déclare son intention de faire reculer Emmanuel Macron. "On commence à ouvrir quelques brèches", a déclaré Clémentine Autain. Pour Olivier Besancenot (NPA), "c'est un jour important et les Français nous soutiennent. Macron est déterminé, mais nous aussi".
"Nous voulons faire reculer Emmanuel Macron, on commence à ouvrir quelques brèches", lance la députée FI Clémentine Autain pic.twitter.com/O5PX5UTp0C
— BFMTV (@BFMTV) 26 mai 2018 -
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1.900 manifestants à Grenoble, selon la police
"Il était un petit Macron, il était un petit Macron, qui n'avait ja-ja-jamais galéré...", chantait à Grenoble le cortège de manifestants, 1.900 selon la police. "Faisons dérailler le gouvernement", pouvait-on y lire sur une banderole. "On vient pour exprimer un ras-le-bol général", expliquait Hugo, bibliothécaire de 28 ans, "le service public est en déliquescence, les hôpitaux disparaissent, la culture aussi".
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À Lyon, guinguette et cartes postales
À Lyon, dans une ambiance de guinguette et avec 1.200 personnes selon la police, une jeune "postière" invitait les manifestants à écrire des cartes postales au président de la République. "Ce mouvement peut servir à enraciner les convictions des gens. Mais (...) que le président change d'opinion, faut pas rêver", a lâché à l'AFP Thierry Soulard, ancien magistrat.
On y est! #MareePopulaire pic.twitter.com/Ctshb32LRW
— SAF-LYON (@SafLyon) 26 mai 2018 -
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Pas de cortège de tête à Paris
Le cortège parisien partira de la Gare de l'Est à 14h30 pour se rendre Place de la Bastille. La manifestation, sans cortège de tête peut-être pour éviter de heurter les susceptibilités. Comme pour la "fête à Macron" du 5 mai, un char ouvrira la manifestation, suivi d'un cortège "citoyen", puis de syndicats, associations et, finalement, partis.
#Paris : plans pour le cortège de la #MareePopulaire #StopMacron du #26Mai au départ de la Gare de l'est à 14h30 pic.twitter.com/4MYZTXajbu
— Maree populaire (@MareePopulaire) 25 mai 2018 -
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Forte mobilisation policière
2500 agents des forces de l'ordre sont mobilisés pour prévenir les dérapages comme ceux qui ont eu lieu lors des dernières manifestations. Le 1er mai, 200 personnes ont été interpellées et 24 personnes Le 22 mai.
VIDEO - Manifestation anti-Macron: quelle sécurité pour les marées populaires ? https://t.co/7eAPTObjKi pic.twitter.com/xQfskBxXoI
— BFMTV (@BFMTV) 26 mai 2018 -
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Près de 40.000 personnes attendues à Paris
Quelque 30 à 40.000 personnes sont attendues ce samedi à Paris par les organisateurs de la "marée populaire". Plus de 60 syndicats, associations et partis, dont la France insoumise, ont appelé à défiler. L'Unsa, la CFDT, FO et le PS ont refusé d'y participer. La manifestation du 5 mai, à l'initiative du député Insoumis François Ruffin, avait, sans bataillons CGT, rassemblé entre 40.000 et 160.000 personnes, selon les sources.
Manifestations anti-Macron: à Paris, le cortège se prépare pic.twitter.com/UCAqdDg7ws
— BFMTV (@BFMTV) 26 mai 2018 -
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Une soixantaine de syndicats, partis politiques et associations
Des "marées populaires" avec des dizaines de milliers de personnes sont attendues samedi à Paris et en province, à l'appel d'une soixantaine de syndicats, partis politiques et associations, pour protester contre la politique d'Emmanuel Macron, qui répond par avance que "ça ne l'arrêtera pas".
Mélenchon qui promet "une marée humaine": "Ça ne nous arrête pas", réagit Emmanuel Macron pic.twitter.com/Nc4hjZR6Yi
— BFMTV (@BFMTV) 25 mai 2018
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